Buck Clarke

Buck Clarke naît à Washington, le 2 octobre 1933. Il commence très tôt à travailler dans un magasin d'affichage[2]. Le père de son employeur est un cousin de Duke Ellington. Il a 15 ans quand son chef commence à lui faire écouter de la musique de jazz, et notamment des musiciens tels que Duke Ellington, Oscar Peterson, Allen Jones et Dizzy Gillespie[2]. Son intérêt pour la musique, déjà développé lors de son adolescence, continue à croître, jusqu'à faire de lui un « accro au jazz ». Il obtient finalement un emploi au club « D.C. » où il append à jouer des congas[2]. L'un de ses premiers concerts est un spectacle appelé Jig Show, durant lequel des danseurs et des comédiens se produisent pendant qu'il joue[2]. Il voyage à travers le monde, allant à des endroits tels que la Nouvelle-Orléans, où il joue de la rumba pour la première fois[2]. Nombre de personnes ont encouragé le jeune Clarke à jouer de « vrais instruments », mais il reste fidèle à sa préférence pour les bongos[2].

Quand il a 16 ou 17 ans, il joue avec Charlie Parker[2]. Clarke exprime ses sentiments en se produisant toujours avec le groupe The Washingtonians de Wess Anderson qui comprend Eddie Jones et Charlie Parker[2] ; ce dernier déclare que pour lui Clarke était « époustouflant et bouleversant[2] ». Il joue avec les New York Jazz Messengers alors qu'il a 19 ou 20 ans[2]. Il est également un temps membre d'un groupe de huit musiciens s'entraidant pour apprenant à jouer en groupe[2].

Il souffre de diabète, ce qui en 1986 le contraint à être amputé de sa jambe[3]. Il est mort le 11 octobre 1988 à Los Angeles[1].

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