Bruno Groening
Bruno Groening, né Bruno Grönkowski à Oliwa (arrondissement de Dantzig, Royaume de Prusse) le et mort à Paris 9e le [1] d'un cancer de l'estomac, est un prédicateur et guérisseur spirituel allemand. Ne possédant ni formation universitaire théologique, ni médicale, il se présente comme un « instrument » au seul service de Dieu, dans le but d'aider l'humanité[2].
Naissance | |
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Décès |
(à 52 ans) 9e arrondissement de Paris |
Nom de naissance |
Bruno Bernhart Grönkowski |
Nationalité | |
Activité |
Conflit |
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Biographie
Enfance
Bruno Gröning (né Bruno Grönkowski) est le quatrième de sept enfants d'une famille modeste. Selon ses dires, il aurait eu au plus jeune âge l'intime conviction d'avoir pour mission d'aider les hommes à retrouver, grâce à la force de Dieu, santé et salut. Il pensait avoir la capacité de soulager animaux et êtres humains et affirmait ressentir cela comme un devoir et un don de Dieu[3].
Seconde guerre mondiale
Durant la Seconde Guerre mondiale, enrôlé dans la Wehrmacht, il déclare refuser de tuer et, pour cette raison, est plusieurs fois, devant ses camarades, menacé du conseil de guerre. Au cours d'une bataille, il est blessé et fait prisonnier de guerre par les Russes. Une communauté se crée autour de lui à la suite de guérisons supposées vécues par des personnes qui étaient malades ou déclarées incurables.
Après guerre
Plusieurs témoignages de guérisons sont transmis à Bruno Gröning à sa demande. Beaucoup de ces témoignages sont consignés et diffusés sur le site web[4] du Cercle des amis de Bruno Gröning, dans des films documentaires produits par ce cercle[5] - [6], ainsi que dans des livres publiés par les éditions Grete Haüsler (maison d'édition destinée à promouvoir la vision du monde de Bruno Gröning[7] - [8]).
À partir de mars 1949, quelques journaux commencent à parler de lui, d'abord au sujet de guérisons qui auraient eu lieu durant ses interventions publiques, ensuite à propos de l'opposition qu'il suscite auprès des autorités médicales et politiques. Ces oppositions débouchent sur de très importantes difficultés administratives, avec la police et avec la justice. Des procédures sont lancées à son encontre pour pratique illégale de médecine.
En 1958, alors que, avec le soutien de membres éminents de cette profession, il passe avec succès tous les examens de Heilpraktiker (praticien de médecines alternatives) réclamés par les autorités pour que ses activités soient acceptées par l'État, ce dernier choisit finalement de lui refuser administrativement le statut de Heilpraktiker. Puis la justice le condamne, pour violation de la « loi sur les praticiens paramédicaux » à une peine de prison avec sursis et une amende. Après avoir déclaré qu'il mourrait des suites des interdictions de pouvoir exercer la mission d'aide de toute sa vie mais qu'il continuerait à aider et à agir après son décès.
Diffusion après son décès
Pendant les dix ans qui suivent le décès de Bruno Gröning, les activités concernant son enseignement fonctionnent au ralenti.
Grete Haüsler, l'une des principales collaboratrices de Gröning, prolongeant le travail fait dans les communautés mises en place à l'époque, fonde en 1979 le Cercle des amis de Bruno Gröning.
Dirigé par Dieter Haüsler depuis le décès en 2007 de Grete Haüsler, ce cercle continue de diffuser la vision du monde de Bruno Gröning, via des ouvrages, photographies et recueils de formation. Le Cercle des amis de Bruno Gröning compte en 2022 plus de 80 000 membres à travers le monde. Ces membres sont organisés en communautés, plusieurs fois accusés de dérives sectaires[9] - [10]. En conformité avec la vision du monde de Gröning, les communautés se réunissent toutes les trois semaines pour « capter ensemble le courant divin (Heilstrom) »[11].
Thèses principales
- Selon Bruno Gröning, la captation de la force naturelle et divine a toujours existé. Son oubli par l'homme aurait nécessité d'en reprendre l'enseignement. Une « force universelle », serait en permanence à la disposition de tous les êtres. Seul l'oubli de cette réalité, associé à l'habitude de la soumission à l'intellect, le priverait, contrairement aux animaux et aux plantes, du bénéfice de cette force, en commençant par lui faire oublier son corps, ses émotions ou ressentis[12].
- Les maladies ne feraient pas partie de l'homme mais seraient des « corps étrangers » dus à divers désordres (tensions, stress, etc.). Ces désordres seraient d'abord la conséquence de la distance prise par l'homme vis-à-vis de la nature, de l'univers, donc aussi vis-à-vis de Dieu.
- À l'inverse, le rapprochement avec la nature et l'ordre intérieur, avec l'écoute de son propre corps, faciliterait le retour à une pleine santé, à l'harmonie et au succès des activités entreprises. La réception naturelle de l'énergie divine agirait comme un courant guérisseur[13]. Cette énergie naturelle déclencherait en effet un processus de nettoyage naturel, « d'assainissement ».
- Un apprentissage et une pratique quotidienne de l'enseignement, de façon persévérante et régulière, seraient indispensables au dépassement des anciennes habitudes à l'origine des désordres (telles que l'abus de critiques négatives envers soi-même ou l'extérieur et l'intellectualisation excessive…) La pratique au moins deux fois par jour du Einstellen (mise en réception de la force naturelle), est notamment conseillée, en particulier le matin et soir, ceci durant quelques minutes à une demi-heure, selon le besoin. Toutes les trois semaines, la participation collective à des "heures de communautés" serait également fortement conseillée pour consolider sa force, partager les expériences et apporter son aide à son prochain..
Diffusion de ces thèses
De son vivant, Bruno Gröning enregistrait sur un magnétophone la plus grande partie de ses discours et une partie des propos échangés lors de ses heures de communauté, ceci afin de permettre une diffusion la plus précise de son enseignement et de ses idées. Ces enregistrements ont été retranscrits et, pour la plupart, publiés en allemand, puis traduits dans différentes langues. Les thèses « les plus importantes », nommées « Maximes », ont été rassemblées, sous forme de citations, dans trois petits livrets diffusés en France par la maison d'édition Grete Haüsler, la plupart de ses autres thèses ont été réunies et publiées dans le livre "Je vous donne à savoir", traduit et publié en français en 2023[14].
Controverses
De son vivant, moqueries, réprimandes, entraves et reconnaissances
De sa petite enfance, après 1906, où il portait déjà assistance aux animaux et à son entourage, jusqu'à l'année 1949 où commencent les débuts de son activité publique de conversion et guérison, ses activités ne s'exercent que de façon relativement privée, Bruno Gröning n'est l'objet d'aucune entrave majeure autre que réprimandes, moqueries et critiques.
Ceci à côté de remerciements sincères et écrits de reconnaissance pour l'aide que Bruno Gröning se sentait irrésistiblement poussé souvent à donner.
Ne sachant agir que selon sa plus intime conviction et ne dire que ce qu'il considère vrai, sans souci des désaccords (se disant « n'écouter jamais que Dieu et non les hommes », il est en conséquence, enfant, l'objet de nombreuses et sévères réprimandes de son père et de fréquentes moqueries, voire de violences, de son entourage.
Durant son action publique, de façon générale, Bruno Gröning fera l'objet, d'un côté, d'entraves administratives et juridiques puissantes contre son activité (lesquelles lui seront fatales), jusqu'à la fin de sa vie, et d'un autre côté, de nombreuses reconnaissances retracées, pour partie, par les journaux et livres d'époque, tels des soutiens d'hommes d'Église, de certains médecins, de nombreux Heilpraktiker (professionnels de santé naturelle), et de différentes hautes personnalités.
En remerciement et retour des aides de Dieu reçues par les hommes, avec l'intercession et le concours de Bruno Gröning, celui-ci réclame instamment non de l'argent mais des témoignages par écrit attestant des aides ou guérisons reçues par la force de Dieu. Le recueil de ces témoignages écrit a pour objectif de renforcer la confiance et la foi des hommes dans le bien et de faciliter la diffusion de l'enseignement. La plupart des témoignages écrits ainsi recueillis et collectés sont toujours stockés de nos jours dans un centre d'archivage en Allemagne, dont une partie des témoignages est peu à peu publiée dans les recueils de formation internes, les livres publics par la société d'édition Grete Haüsler ou dans des vidéos publiées sur internet, en particulier en français sur la chaîne YouTube du Cercle des Amis de Bruno Gröning en France.
Interdictions de discours publics, entraves juridiques (1949-1959)
Une fois l'activité de Bruno Gröning devenue soudainement publique, l'adhésion autant que l'opposition à son enseignement vont s'accroître de façon exponentielle, à la mesure des rassemblements de foule suscités, et de l'événement médiatique, administratif et presque politique ainsi créé.
Dès les débuts de son activité devenue désormais publique en 1949 (à la suite d'un article publié dans la presse par le père d'un enfant malade soulagé), cette activité déplace de grandes foules à la recherche d'aide et guérisons et les obstacles voient alors le jour. Bruno Gröning est ainsi rapidement placé devant maintes difficultés de la part, d'un côté, des autorités politiques locales craignant troubles et désordres, d'un autre côté, de certaines autorités médicales en désaccord avec ces événements, bien que Bruno Gröning considère comme indispensable une relation de confiance avec les médecins et la coopération avec ceux-ci.
Ainsi, Bruno Gröning est maintes fois interdit d'activité par les autorités locales, dans les endroits où il commence à faire ses discours et où s'opéreraient, selon des témoignages, des guérisons et transformations spectaculaires dans la foi et la joie. Après la parution de quelques articles à sensation élogieux, il est également l'objet de plusieurs procès, ceci tout au long des dix ans de son action publique[15].
Ainsi se retrouve-t-il en 1951, pour la première fois, au tribunal pour « pratique illégale de l'art de guérir ».
Premier grand procès
Tandis que, en 1949, le ministère de l'intérieur de Bavière considérait avant tout son activité comme œuvre de bénévolat désintéressée, il la considère, au contraire, à partir de 1951, comme « actes thérapeutiques », aux sens légal autrement dit médical du terme. Concernant le contexte juridique en Allemagne, la loi locale avait permis librement l'« art de guérir » jusqu'en 1939. Mais depuis une loi de 1939, au début de la guerre, cette possibilité avait été légalement interdite par les autorités nazies, celle-ci étant dès lors décrétée réservée aux seuls médecins nazis. Bien que le pays est depuis plusieurs années officiellement sorti du nazisme et la guerre est terminée en 1951, c'est, paradoxalement, cette loi qui est pourtant mise en avant pour contester alors l'activité de Bruno Gröning.
En , le tribunal de Munich acquitte l'accusé, son président déclarant que « Le Tribunal trouverait inopportun de condamner l'accusé sur la base d'une expertise unilatérale. Car affirmer que l'activité de Bruno Gröning tombe sous la loi régissant l'art de guérir est plus que douteux, puisqu'elle s'applique à un domaine encore trop peu exploré aujourd'hui. ». En appel, Bruno Gröning est à nouveau acquitté, son activité précédente ayant été déclarée de bonne foi.
Cependant, de par une faiblesse juridique de sa défense ainsi que de déclarations inconsidérées et aveuglées de certains de ses partisans, ce verdict désigne aussi son activité comme procédant à des « actes thérapeutiques ». Bien que celui-ci ne fait uniquement que des discours, prières et requêtes à Dieu, le seul véritable guérisseur avec la nature selon lui, ne diagnostiquant pas ni ne prescrivant. Mais du fait de cette qualification en « actes thérapeutiques », ces activités publiques se voient pratiquement interdites dans toute la région où le verdict a été prononcé[15].
C'est pour cette raison qu'est constituée l'association Gröning, permettant des discours d'ordre spirituel et faciliter les prétendues « guérisons divines » dans un cadre associatif beaucoup plus restreint mais ainsi de caractère « privé ».
Association Gröning
Face aux interdictions dont il est à présent l'objet systématiquement dans son action publique, afin de pouvoir continuer son activité, quoique dans un cadre plus restreint. Bruno Gröning constitue le l'association Gröning, association basée sur des communautés locales se réunissant très régulièrement[16].
Ce moyen doit permettre ainsi de continuer à toucher, par ses discours spirituels et les aides associées, un certain nombre de personnes en quête d'aide, en donnant à son activité un cadre légal et privé. Bruno Gröning est le président de cette association et le journaliste Egon Arthur Schmidt en est alors secrétaire. Ce dernier, après une longue période d'action fidèle et efficace, comme de nombreux responsables de l'entourage de Bruno Gröning, semble plus tard oublier l'intérêt profond du public en détresse pour des préoccupations plus personnelles. Ceci alors que Bruno Gröning ne touche aucune rétribution pour ses activités. La séparation nécessaire avec ce dernier ne peut avoir lieu qu'en 1955[16].
Second grand procès
Le , évaluant l'activité de Bruno Gröning de façon défavorable, gênante et nocive, le ministère public entreprend une nouvelle action en justice contre lui (dont l'on peut retrouver aujourd'hui la plupart des archives écrites, comme celles des journaux d'époque.)
Bien que l'activité de Bruno Gröning ne s'exerce guère désormais sous la forme de discours publics mais plutôt sous la forme de réunions privées en « heures de communauté », cette action en justice serait alors destinée, aux dire de différentes sources « proches du dossier », à lui empêcher désormais toute activité, fut-ce au moyen de l'internement juridique ou psychiatrique[17].
Sur certains motifs juridiques, on l'attaque alors sur deux griefs principaux. Premièrement, on lui reproche, d'enfreindre une loi sur les Heilpraktiker, bien que ces derniers aient défendu la pratique de Bruno Gröning, y compris en lui accordant le diplôme de Heilpraktiker, et bien qu'il ne fasse lui-même que des discours spirituels, sans jamais parler de diagnostics de maladie, expliquant que Dieu seul, avec la nature, permet de guérir l'homme.
Deuxièmement, on l'attaque en justice, au motif du décès, bien des années avant, de la jeune fille Ruth Kuhfuss, souffrant, en 1949, d'une très grave tuberculose pulmonaire. Celle-ci avait alors, obstinément refusé les soins médicaux dont elle avait besoin, y compris les séjours au sanatorium qui auraient pu la soutenir. Bruno Gröning avait lui-même alors déclaré, devant son médecin, comme impossible de lui venir personnellement en aide, et l'avait exhorté à suivre les traitements qui lui étaient prescrits. Tout cela à l'opposé, d'une part, d'une demande très insistante de Emil Kuhfuss son père, influent fonctionnaire à la caisse d'épargne, inquiet à juste titre pour la santé de sa fille et, d'autre part, aux demandes impératives de Otto Mecklenburg (qui se révélera plus tard, selon différents témoins, être un escroc financier), alors lié juridiquement à Bruno Gröning par un contrat censé l'aider et se considérant lui-même comme son « manager ». (Il déclarera même, devant des témoins, voir Bruno Gröning comme « le meilleur cheval de son écurie ». Otto Mecklenburg oblige, à ce titre, Bruno Gröning à rendre visite à la jeune fille à plusieurs reprises pour répondre aux souhaits de son père, tout en demandant pour ces visites, très souvent de fortes sommes d'argent, sans en informer Gröning. Pour obtenir ces visites, il recourt au chantage juridique et financier, le menaçant de porter plainte pour rupture de contrat et de lui faire payer « très cher » un éventuel refus, tout en subtilisant les courriers adressés par Emil Kuhfuss à Bruno Gröning.
Durant la préparation du procès, la défense de Bruno Gröning est entravée, en ce sens que la plupart des témoins à décharge de la défense sont refusés, tandis que la plupart des témoins à charge de l'accusation sont acceptés.
Ce long procès, qui égraine la vie de Bruno Gröning, épuisant physiquement et moralement pour celui-ci, ne prend fin que par sa mort, au début de l'année 1959. Celui-ci avait prédit et annoncé à ses proches ce « retour imminent dans l'au-delà » décrit, selon ses mots, paradoxalement, comme « le plus beau jour de sa vie »[17].
Sensibilité des enjeux
La puissance des réactions contradictoires à l'enseignement de Bruno Gröning peut naturellement s'expliquer par la puissance et la sensibilité des différents enjeux touchés par les sujets concernés. Espoirs ou enthousiasmes, tout comme inquiétudes, méfiances et peurs, sont d'autant plus compréhensibles que l'enseignement de Bruno Gröning, comme d'autres par ailleurs, touche ou peut concerner de nombreux et puissants enjeux :
- enjeux de sécurité et de bon ordre public (administratif, juridique et politique) ;
- enjeux de santé publique (physique, morale) et de bien-être ;
- enjeux religieux, philosophiques, spirituels, de « visions du monde » ;
- enjeux d'intérêts financiers et matériels, liés par exemple aux questions de santé, d'agriculture, d'alimentation, d'énergie... ;
- enjeux de paix entre individus, peuples et États...
Oppositions rationalistes, soupçons ou accusations de dérives sectaires
Si, déjà du vivant de Bruno Gröning, des personnes contestaient, selon la vision de l'univers rationaliste et scientifique, que des aides ou guérisons, scientifiquement inexplicables, puissent intervenir (par « action spirituelle », au moyen d'une « force de la nature » ou de la « force de Dieu »), de la même façon, aujourd'hui, beaucoup contesent toujours, l'éventuelle réalité de mêmes types d'aides et guérisons.
Cette opposition globale s'est, plus particulièrement en France, manifestée notamment par l'activité d'associations spécialisées, par l'accusation, dans les années 90, de plus de mille associations d'activités « sectaires » par une commission de députés de l'assemblée nationale et son rapport parlementaire, notamment sur la base d'accusations portées par l'UNADFI. L'activité de la dite commission a été remplacée aujourd'hui par celle de la Miviludes, mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (auprès du premier ministre), celle-ci a soupçonné le Cercle des amis de Bruno Gröning de « dérives sectaires »[9] - [10].
Dans le prolongement de ces soupçons et accusations, à l'occasion de l'organisation en par le Cercle des amis de Bruno Gröning, dans le 18e arrondissement de Paris, d'une grande conférence publique parmi de nombreuses autres conférences à travers la France, des élus locaux et des associations de Paris se sont intensément mobilisés pour faire annuler cette conférence, laquelle a donc, effectivement, été annulée par les organisateurs[10].
Actes de reconnaissance individuels ou institutionnels
En raison même des enjeux ci-dessus, l'enseignement de Bruno Gröning, symétriquement, suscite également de nombreux actes de reconnaissance publics, documentés par écrit. Ces actes sont de diverses catégories, tels :
- témoignages d'aides ou de guérisons écrits, commentés et consolidés, pour une petite partie d'entre eux, par des médecins ou différents spécialistes scientifiques ;
- livres, reportages, articles, émissions de radio, de télévision, films (dont certains, parfois, récompensés) ;
Voir aussi
Bibliographie
- Thomas Eich, Je vous donne une petite maxime, tomes 1, 2, 3, citations de Bruno Gröning, éditions Grete Haüsler.
- Cristoph Pesch et Brigit Haüsler, Bruno Gröning - Je vous donne à savoir, Des citations de Bruno Gröning assemblées par sujets, éditions Grete Haüsler, 2023.
- Thomas Eich, Ma vie s'appelle aider. Biographie de Bruno Gröning. Tome 1, éditions Grete Haüsler.
- Thomas Eich, L action de Bruno Gröning de son vivant et de nos jours, éditions Grete Haüsler.
- Grete Haüsler, Connaissances et sagesses, éditions Grete Haüsler.
- Matthias Kamp, Bruno Gröning. Révolution dans la médecine, le regard d'un médecin sur l'enseignement de Bruno Gröning, éditions Grete Haüsler, 2002.
- Marie-France Esperce, Bruno Gröning, guérisseur allemand. La Guérison par voie spirituelle, Paris, Edilivre, 2015.
Filmographie
- Thomas Busse, Film documentaire en 3 parties : Le Phénomène Bruno Gröning (Das phänomen Bruno Gröning), éditions Grete Haüsler (disponible sur le site des éditions, également accessible sur YouTube depuis ).
- Thomas Eich, Film documentaire simple : Aux côtés de Bruno Gröning - Vie et œuvre de Grete Haüsler (An der Seite Bruno Grönings), disponible sur le site des éditions Grete Haüsler.
- Thomas Eich, Film documentaire en 3 parties : Le Phénomène de la guérison (Das phänomen der Heilung), éditions Grete Haüsler (non disponible à l'achat pour le moment mais accessible sur YouTube depuis ).
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Cercle des Amis de Bruno Gröning
Références
- Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris 9e, n° 55, vue 7/31.
- Thomas Eich, Ma vie s'appelle aider, éditions Grete Haüsler, p. 7-8, 15-17.
- Thomas Eich, Ma vie s'appelle aider, éditions Grete Haüsler, p. 15-17.
- site du Cercle .
- Films Le Phénomène Bruno Groening, Aux côtés de Bruno Groening, Le Phénomène de la guérison
- Film Le Phénomène Bruno Groening
- « La maison d’édition Grete Häusler », sur www.gh-verlag.de (consulté le )
- « La maison d’édition Grete Häusler Sarl, rend l’enseignement de Bruno Gröning accessible au grand public », sur www.bruno-groening.org (consulté le )
- « On a infiltré un cercle de "guérisseurs" | #Investigation » (consulté le )
- « Paris: Une secte veut tenir une conférence dans le 18e, des élus s'opposent », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
- Films Aux côtés de Bruno Groening, Le Phénomène de la guérison.
- Thomas Eich (éd.), Je vous donne de petites maximes, éditions Grete Haüsler.
- Ursula Moya et Lucien Peuziat, « Le courant guérisseur selon Bruno Gröning », dans Biocontact, no 198, janvier 2010, p. 14-15
- « Grete Häusler GmbH », sur https://www.gh-verlag.de/ (consulté le ).
- Thomas Eich, L'Action de Bruno Gröning de son vivant et de nos jours, éditions Grete Haüsler, p. 37-38.
- Thomas Eich, L'Action de Bruno Gröning de son vivant et de nos jours, éditions Grete Haüsler, p. 40-42.
- Thomas Eich, L'Action de Bruno Gröning de son vivant et de nos jours, éditions Grete Haüsler, p. 42-46.