Brachystelma exile

C'est petite herbe pérenne tubéreuse[2].

En danger critique d'extinction du fait de sa relative rareté, l'espèce a été observée au Cameroun (Région de l'Adamaoua), au sud-est du Nigeria et en République centrafricaine[3].

• (en) A. A. Bullock, « Notes on African Asclepiadaceae », in Kew Bulletin, vol. 17, n^o 1, 1963, p. 183-196, [lire en ligne]
• (en) A. A. Bullock, « Asclepiadaceae », in Frank Nigel Hepper (dir.), Flora of West Africa, vol. 2, 1963, p. 85-103
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 75
• (en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Brachystelma exile Bullock », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 90-91 (ISBN 9781842464298)

• (fr) Référence Catalogue of Life : Brachystelma exile Bullock (Nom accepté: Ceropegia exilis (Bullock) Bruyns) Non Valide (consulté le 23 janvier 2018)
• (en) Référence Catalogue of Life : Ceropegia exilis (Bullock) Bruyns (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 23 janvier 2018)
• (en) Référence The Plant List : Brachystelma exile Bullock (source : KewGarden WCSP) (consulté le 23 janvier 2018)
• (en) Référence Tropicos : Brachystelma exile Bullock (+ liste sous-taxons) (consulté le 23 janvier 2018)
• (en) Référence UICN : espèce Brachystelma exile Bullock Bullock (Syn. de Brachystelma exile) (consulté le 23 janvier 2018)
• Spécimen (Global Plants, JSTOR)