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Avenue Joseph-Le Brix

L'avenue Joseph-Le Brix est une voie publique de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France. Elle traverse le quartier de la Roseraie, dans le secteur 4 - Est.

Avenue Joseph-Le Brix
Image illustrative de l’article Avenue Joseph-Le Brix
Le bas de l'avenue Joseph-Le Brix.
Situation
CoordonnĂ©es 43° 37′ 25″ nord, 1° 27′ 55″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
MĂ©tropole Toulouse MĂ©tropole
Ville Toulouse
Secteur(s) 4 - Est
Quartier(s) Roseraie
Début no 13 rue des Myosotis et no 19 avenue du Président-Gaston-Doumergue
Fin no 55 avenue de Lavaur
Morphologie
Type Avenue
Longueur 571 m
Largeur 12 m
Transports
Métro de Toulouse Métro Ligne A du métro de Toulouse (à proximité)
Liste des lignes de bus de Toulouse​​​​​​​​​​​​​​​ Bus 1936 (à proximité)
Odonymie
Nom actuel 1933
Nom occitan '
Histoire et patrimoine
Création 1933
Notice
Archives 315554009625
GĂ©olocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Avenue Joseph-Le Brix
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Avenue Joseph-Le Brix

Situation et accès

Voies rencontrées

L'avenue Joseph-Le Brix rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

  1. Rue des Myosotis (g)
  2. Avenue du Président-Gaston-Doumergue (d)
  3. Rue de la CĂ´te-d'Or (g)
  4. Rue du Coustou (d)
  5. Rue des Coquelicots (g)
  6. Rue des Pâquerettes (g)
  7. Rue des Bleuets (g)
  8. Rue des Panoramas (d)
  9. Avenue de Lavaur

Odonymie

La rue a reçu le nom de Joseph Le Brix (1899-1931), officier de marine et aviateur. Entre 1927 et 1928, il fait avec Dieudonné Costes le premier tour du monde aérien avec escale, à bord d'un Breguet 19. En 1931, financé par le milliardaire François Coty, il forme un équipage avec René Mesmin et Marcel Doret sur un Dewoitine D.33. Le 12 septembre, alors qu'il survole l'Oural, le moteur cale : Joseph Le Brix et René Mesmin meurent dans l'accident. Les obsèques nationales ont lieu à la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 25 septembre 1931.

L'avenue a toujours perdu ce nom : la décision en est prise en 1933. Il est remarquable qu'elle se prolonge au sud par l'avenue Marcel-Doret.

Patrimoine et lieux d'intérêt

Lotissement de la S.I.T.E.E.V.

Le lotissement est créé le 1er décembre 1930 par la Société immobilière toulousaine pour l'extension et l'embellissement de la ville (S.I.T.E.E.V.), constituée pour l'aménagement des nouveaux quartiers de la Roseraie et de Jolimont[1]. Le premier est délimité par la rue de Caumont et le chemin des Argoulets à l'est, l'avenue de Lavaur au sud, l'avenue Joseph-Le Brix et le chemin Michoun à l'ouest, l'avenue de la Roseraie, la rue Théodore-Lenotre et la route d'Agde au nord.

no 3 : maison.
  • no 3 : maison (1939)[2].
  • no 8 : maison (vers 1930)[3].
  • no 10 : maison (vers 1930)[4].
  • no 24-24 bis : maison Toulze (1937)[5].

Cité familiale de la Roseraie

La cité familiale de la Roseraie est créée en 1935 par la société de l'Épargne le long de la rue des Pâquerettes. Le plan des maisons en est confié aux frères Antonin et Pierre Thuriès.

  • no 19 : maison (1935, Antonin et Pierre Thuriès)[6].
  • no 21 : maison (deuxième moitiĂ© du XXe siècle)[7].

Maisons

  • no 12 : maison (deuxième moitiĂ© du XXe siècle)[8].
  • no 28 : maison californienne (1964-1966, Pierre Lafitte)[9].

Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

  • Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, 2 vol., Ă©d. Milan, Toulouse, 1989 (ISBN 978-2-8672-6354-5).

Article connexe

Liens externes

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