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Avenue Aristide-Briand (Les Pavillons-sous-Bois)

L'avenue Aristide-Briand est un important axe de communication des Pavillons-sous-Bois. Elle suit le tracé de la route nationale 3.

Avenue Aristide-Briand
Image illustrative de l’article Avenue Aristide-Briand (Les Pavillons-sous-Bois)
Situation
CoordonnĂ©es 48° 54′ 33″ nord, 2° 30′ 12″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
Ville Les Pavillons-sous-Bois
Début Avenue du Général-Gallieni à Bondy
Fin Avenue du Consul-Général-Nordling à Livry-Gargan
Morphologie
Type Avenue
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Avenue Aristide-Briand
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
(Voir situation sur carte : ĂŽle-de-France)
Avenue Aristide-Briand

Situation et accès

Commençant à la limite de Bondy, cette avenue se dirige en ligne droite vers l'est. Elle forme le point de départ de l'avenue Jean-Jaurès et celle de l'allée Pierre-et-Marie-Curie, puis atteint Livry-Gargan. Elle traverse ensuite la route départementale 78, où se rencontrent l'avenue Jules-Guesde et l'avenue Victor-Hugo. Elle passe ensuite la ligne 4 du tramway d'Île-de-France longée par le boulevard Pasteur.

Laissant sur sa droite la route départementale 943, elle se termine au croisement de la route départementale 970.

Origine du nom

Plaque de l'avenue.

Cette avenue a été renommée en hommage à Aristide Briand (1862-1932), ministre et président du Conseil.

Historique

L'avenue Aristide-Briand s'est successivement appelĂ©e: « Route Royale de Meaux Â», « route ImpĂ©riale de Meaux Â», « route d'Allemagne Â», « route de Paris Â», puis « route Nationale 3 Â»[1].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Pavillon d'entrée du domaine du Raincy, construit en 1770.
  • Au lieu-dit la Fourche, angle de l'avenue Jean-Jaurès, se trouvent deux pavillons de garde bâtis en 1770 qui marquaient l'entrĂ©e du domaine du Raincy[2] - [3]. Ces pavillons ont donnĂ© son nom Ă  la ville des Pavillons-sous-Bois.
  • Église Notre-Dame-de-Lourdes[4].
  • Au numĂ©ro 91, les bâtiments du centre municipal de santĂ© datent de la fin du XIXe siècle. Il s'agissait Ă  l'origine d'un dispensaire et de bains-douches. Ă€ cet endroit fut aussi Ă©difiĂ© en 1919 un monument aux morts en hommage aux soldats de la première guerre mondiale. Ce monument fut par la suite dĂ©placĂ© vers l'ancien cimetière des Pavillons-sous-Bois.
  • Établissement de bains-douches construit dans les annĂ©es 1930[5], devenu la Maison des jeunes puis la crèche municipale.

Notes, sources et références

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