Arsène Néel
Arsène Néel (né le à Verson (Calvados), mort le à Rouen) est un commerçant et homme politique, maire provisoire de Rouen en 1922.
| Arsène Néel | |
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| Fonctions | |
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| Maire de Rouen | |
| – (6 mois et 13 jours) |
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| Prédécesseur | Lucien Valin |
| Successeur | Louis Dubreuil |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Verson |
| Date de décès | |
| Lieu de décès | Rouen |
| Nationalité | Française |
| Profession | Commerçant |
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| Maires de Rouen | |
Biographie
Arsène Pierre Néel nait le à Verson de Jean Baptiste Arsène Néel, cultivateur et de Rose Désirée Malvoisin. Après ses études, il se fixe à Rouen et dirige rapidement une importante maison de bonneterie et lingerie rue Jeanne-d'Arc. Il épouse Louise Marie Joséphine Monnier, fille de Léon Monnier, et auront deux enfants, Pierre Louis Arsène Néel (1885-1914) mort pour la France pendant la Première Guerre mondiale, et une fille.
Le , il est élu conseiller municipal. Il est réélu en mai 1908 et décembre 1919. Mobilisé le , il est affecté comme capitaine du 21e régiment d'infanterie territoriale commissaire d'une gare de ravitaillement. Il est libéré du service en novembre 1917. Il devient adjoint le et premier adjoint le .
Durant la maladie de Lucien Valin, il remplit les fonctions de maire. Après la démission de celui-ci, il devient maire provisoire du 21 avril au . Le , il démissionne de son poste de premier adjoint[1]. Il demeure au no 36 rue Jeanne-d'Arc.
Il meurt le à Rouen. Ses obsèques sont célébrées dans l'église Saint-Vincent de Rouen et il est inhumé à Gaillon.
Distinction
Chevalier de la Légion d'honneur ()[2] à titre militaire pendant la Première Guerre mondiale[3].
Notes et références
- « Démission de M. Néel », Journal de Rouen, no 310, , p. 2 col. 4-5 (lire en ligne)
- « Cote 19800035/193/25176 », base Léonore, ministère français de la Culture
- « Légion d'honneur », Journal de Rouen, no 315, , p. 2 col. 1-2 (lire en ligne)
Annexes
Bibliographie
- « M. Arsène Néel ancien adjoint au maire de Rouen », Journal de Rouen, no 233, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )