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Almaz-Antei

Almaz-Antei (en russe : акционерное общество «Концерн воздушно-космической обороны «Алмаз-Антей», société par actions « consortium de défense aérienne et cosmique “Almaz-Antei” ») est la plus grande entreprise du complexe militaro-industriel de la Russie.

Almaz-Antei
logo de Almaz-Antei
illustration de Almaz-Antei
Siège à Moscou

Création 2002
Fondateurs Gouvernement de la fédération de Russie
Personnages clés Sergueï Tchemezov, Ian Novikov
Forme juridique Société par actions
Siège social Moscou
Drapeau de la Russie Russie
Directeurs Sergueï Tchemezov
Activité Industrie de l'armement
Produits Lutte antiaérienne
Société mère Federal Agency for State Property Management (en)
Filiales Tikhomirov Scientific Research Institute of Instrument Design (en)
Effectif 98 100 ()
Site web www.almaz-antey.ru
Fonds propres 115 817 084 000 roubles russes ()[1]
Chiffre d'affaires 136 515 561 000 roubles russes ()[1]
Bilan comptable 430 622 572 000 roubles russes ()[1]
Résultat net 28 096 834 000 roubles russes ()[1]
Un radar 1L122-2E.

Historique

Elle est créée en 2002 par la fusion de plusieurs entreprises dont les NPO « Antei » et « Almaz » et dispose de nombreux sites industriels dont l'aciérie Oboukhov.

En , Almaz-Antei fait partie des entreprises sanctionnées par les États-Unis dans le cadre de la crise ukrainienne[2].

En 2017, Almaz-Anteï, se place place au 10e rang des entreprises mondiales du secteur de l'armement (hors Chine) selon le site spécialisé Defense News avec un chiffre d'affaires de 8,6 milliards de dollars (+ 17 % par rapport à 2016). C'est la première fois que la Russie parvient à hisser l'une de ses entreprises dans le top 10[3].

En 2018, avec l'introduction des principales entreprises chinoises dans le rapport de Defense News, avec un chiffre d'affaires de 9,896 milliards de dollars, elle se classe au 15e rang mondial[4].

Armes

Défense antiaérienne

L'entreprise Almaz-Antei est célèbre pour la construction de différents systèmes de missiles surface-air comme les Buk ou les S-300, S-400 et S-500.

Notes

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