Alexander Fiske-Harrison

Fils d'un banquier de la Cité de Londres[8], il est issu d'une très ancienne famille anglaise, selon le site officiel des Fiske-Harrison[9]. La presse espagnole s'est beaucoup fait l'écho de ce gentleman qui entre dans l'arène[10]. Après des études à Eton, Oxford et Londres en biologie et en philosophie il a publié des articles a dans le Sunday Times[11], le New York times[12], le Financial Times[13], et divers magazines: GQ[14], The Spectator. Il est aussi apparu à la télévision américaine CNN[15] et anglaise, la BBC. On l'a vu sur Al-Jazeera, National Public Radio des États-Unis[16] et Australian Broadcasting Corporation[17].

Fiske-Harrison est fiancé à Klarina Pichler[18], joueuse de polo professionnelle autrichienne[19] et capitaine de Las Sacras Romanas - 'Les Saints Romans' - une équipe internationale de polo[20]. Elle est parent éloigné du baron Leonhard Pichler von Weitenegg de la vieille noblesse souabe[21], seigneur de Hornstein[22] et Seibersdorf[23], et conseiller de la chambre de la cour du Ferdinand Ier (empereur du Saint-Empire)[24].

Il a eu pour professeur de tauromachie le matador amateur, Adolfo Suárez Illana, fils de l'ancien président d'Espagne. Il a également appris de ses amis Juan José Padilla, Cayetano Rivera Ordóñez et Eduardo Dávila Miura[25] Il a fait une apparition remarquée en tuant un toro bravo de hierro (fer) de Saltillo de Moreno de la Cova au cours d'une tienta devant le mundillo des toreros et des ganaderos de Séville et de Ronda. Il a déclaré au journal ABC Sevilla, qu'il y avait une certaine hypocrisie vis-à-vis de la corrida en Angleterre, sachant qu'on y sacrifie plus de (es) 850 millones de pollos (850 millions de poulets) pour manger[26].

Le Daily Mail dit qu'Alexander

« (en) : develops a taste for the whole gruesome spectacle, but what makes the book work is that he never loses his disgust for it. (fr) traduction : a pris goût à ce spectacle macabre, et ce qui fait le succès de son livre est qu'il n'a jamais perdu son dégoût pour cela[27]. »

, sans préciser comment se manifestait ce dégoût. En 2011, la presse a beaucoup glosé sur le livre d'Alexander, du Financial Times aux revues littéraires, et jusqu'en 2013[28].

Alexander Fiske-Harrison a donné des conférences sur la tauromachie à l'Université de Séville (en espagnol)[29], à l'Université d'Oxford présenté la culture du taureau à l'Ambassadeur du Royaume d'Espagne au Royaume-Uni, Federico Trillo, dans le Reform Club à Londres[30], et il a reçu un prix pour la publication d'un ouvrage sur les encierros de Cuéllar, un village au Castille-et-León où les encierros sont une des plus anciennes tradition d'Espagne[31]. Il fait partie d'une équipe des coureurs du monde, qui participent à l'encierro des Fêtes de San Fermín à Pampelune[32].

Fiske-Harrison est rédacteur en chef et auteur de The Bulls Of Pamplona, ses co-auteurs dont John Hemingway, petit-fils d'Ernest Hemingway, Beatrice Wells, fille d'Orson Welles, et le maire de Pampelune[33]. Il a également participé à plusieurs anthologies sur le monde du taureau, Olé: Capturing The Passion Of Bullfighters And Aficionados In The 21st Century (Olé, comprendre la passion des toreros et des aficionados au XXI^e siècle et Courir les taureaux avec Hemingway et autres histoires de Pampelune [34]

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  Fiske-Harrison 'toreando' un taureau de Saltillo
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  Fiske-Harrison, la course entre deux taureaux de Torrestrella dans la rue de Estafeta en Pampelune, le 7 juillet 2011, à la veste rouge.

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