Alejandro Silveti
Alejandro Silveti Barry, plus connu sous le nom de « Alejandro Silveti », est un matador Mexicain, né à Mexico le . Il est le cadet d'une grande dynastie de torero mexicains : les Silveti, grand-père, père et frère aîné David Silveti[1].
Alejandro Silveti
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Présentation | |
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Nom de naissance | Alejandro Silveti Barry |
Apodo | Alejandro Silveti Barry |
Naissance | Mexico |
Nationalité | Mexicain |
Carrière | |
Alternative | Irapuato (Mexique; parrain, David Silveti ; témoin, Miguel « Armillita » |
Confirmation d'alternative | 10 décembre 1989 à Mexico Parrain Manolo MartÃnez, témoin El Niño de la Capea, et 14 mai 1994 à Las Ventas parrain David Luguillano |
Fin de carrière | |
Entourage familial | |
Père | Juan Silveti Reynoso |
Famille | grand-père : Juan Silveti Mañón, frère David Silveti, filleul Diego Silveti |
Présentation et carrière
Venu assez tardivement à la tauromachie, il porte son premier habit de lumières à l'âge de 26 ans, le à Uruapan, État de Michoacan. Le il fait sa première présentation dans la Monumental de Mexico devant des novillos de Javier Garfias aux côtés de Manolo Sánchez.
Il prend son alternative le des mains de son frère ainé David Silveti à Irapuato (Mexique face au taureau Gran DinastÃa de la ganaderÃa Begoña. Sa confirmation a lieu le à Mexico avec pour parrain Manolo MartÃnez et pour témoin El Niño de la Capea devant le taureau Cantarito (498 kg) de l'élevage Javier Garfias[1]. Il confirme de nouveau à Las Ventas le 14 mai 1994 devant le taureau Pastelero (531 kg) de l'élevage Peñajara. Sa prestation est sanctionnée deux fois par des silences du public.
Devenu torero pour perpétuer la tradition familiale, Alejandro Silveti n'a jamais vraiment connu le succès. Après quelques corridas au Mexique et en Amérique du sud, il s'est retiré définitivement au cours d'une corrida de depedida dans les arènes de Morelia où il a coupé deux oreilles et la queue. Cette dernière prestation lui a valu une sortie a hombros pour la première fois de sa carrière. Au cours de la cérémonie d'adieu, son frère David lui a coupé la coleta[1]
Bibliographie
- Robert Bérard (dir.), Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, (ISBN 2221092465)
Notes et références
- Bérard 2003, p. 873