AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Agence spatiale algérienne

L'Agence spatiale algĂ©rienne (ASAL ; en arabe : Ű§Ù„ÙˆÙƒŰ§Ù„Ű© Ű§Ù„ÙŰ¶Ű§ŰŠÙŠŰ© Ű§Ù„ŰŹŰČŰ§ŰŠŰ±ÙŠŰ©, en berbĂšre : ├⎰⎌┓┍┍┓├ â”œâŽ°âŽ·â”ŁâŽ°â”ąâ””â”‰â”œ ┏ ├⎰┍┍┓┏├) est l'agence spatiale responsable du programme spatial algĂ©rien. L'Agence spatiale algĂ©rienne est un Ă©tablissement public national Ă  caractĂšre spĂ©cifique, dotĂ© de la personnalitĂ© morale et de l'autonomie financiĂšre. Elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e auprĂšs du chef du gouvernement par le dĂ©cret prĂ©sidentiel no 02-48 du .

Agence spatiale algérienne
Nom officiel (ar) Ű§Ù„ÙˆÙƒŰ§Ù„Ű© Ű§Ù„ÙŰ¶Ű§ŰŠÙŠŰ© Ű§Ù„ŰŹŰČŰ§ŰŠŰ±ÙŠŰ©
(ber) ├⎰⎌┓┍┍┓├ â”œâŽ°âŽ·â”ŁâŽ°â”ąâ””â”‰â”œ ┏ ├⎰┍┍┓┏├
Nom en français Agence spatiale algérienne
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
SiĂšge social 14, rue Omar Aissaoui, El Hammadia, Bouzareah, Alger
Création
Budget annuel 360 millions $ (2015)
Directeur général Azzedine Oussedik
Site Internet www.asal.dz

L'ASAL conçoit et met en Ɠuvre de la politique nationale de promotion et de dĂ©veloppement de l'activitĂ© spatiale. Son objectif principal est de faire de l'outil spatial un vecteur performant de dĂ©veloppement Ă©conomique, social et culturel du pays et d'assurer la sĂ©curitĂ© et le bien-ĂȘtre de la communautĂ© nationale.

Historique

Le programme spatial algĂ©rien a dĂ©butĂ© en 1987, avec la crĂ©ation du Centre national des techniques spatiales (CNTS)[1]. L'Agence spatiale algĂ©rienne est crĂ©Ă©e par dĂ©cret prĂ©sidentiel le , en tant qu'Ă©tablissement public national Ă  caractĂšre spĂ©cifique, avec pour objectif la conception et la mise en Ɠuvre de la politique algĂ©rienne dans le domaine spatial[2].

En septembre 2017, l'agence spatiale algĂ©rienne signe un accord de partenariat avec le ministĂšre de l'Environnement et des Ă©nergies renouvelables d'AlgĂ©rie pour lui mettre Ă  disposition ses outils aĂ©rospatiaux[3]. À partir d'aoĂ»t 2019, la direction gĂ©nĂ©rale des forĂȘts algĂ©rienne a accĂšs aux services de l'ASAL[4]. En septembre 2020, l'ASAL signe un accord de coopĂ©ration avec le ministĂšre de la culture et des arts algĂ©rien pour protĂ©ger et prĂ©server le patrimoine culturel et la biodiversitĂ© dans le pays[5] (une cartographie archĂ©ologique est Ă©tablie dĂšs septembre 2020[6]).

De 2002 à 2019, l'agence est passée de 100 à 600 chercheurs et ingénieurs[7].

En juin 2023, l'ASAL a signĂ© avec l'agence spatiale russe roscosmos un accord spatial qui prĂ©voit notamment des Ă©changes scientifiques et techniques, ainsi qu’une assistance de roscosmos pour la formation du personnel algĂ©rien dans le domaine de l’industrie spatiale[8].

L'ASAL coopÚre également avec les agences spatiales italiennes, Française, Chinoise et Sud-Coréenne[8].

Organisation

L'Agence spatiale algĂ©rienne est constituĂ©e d’une structure centrale et de quatre entitĂ©s opĂ©rationnelles.

Organisation administrative

L'agence est dotĂ©e d'un conseil d'administration et d'un conseil scientifique et technique. Elle a Ă  sa tĂȘte un directeur gĂ©nĂ©ral nommĂ© par le prĂ©sident de la RĂ©publique. Les membres du conseil d'administration sont, outre le directeur gĂ©nĂ©ral et un reprĂ©sentant du chef du gouvernement, les ministres dĂ©tenant les principaux portefeuilles susceptibles d'ĂȘtre concernĂ©s par les applications satellitaires reprĂ©sentant 15 dĂ©partements ministĂ©riels. L'agence comprend un comitĂ© scientifique composĂ© d’experts dans les domaines des technologies et applications spatiales.

Centre des techniques spatiales (CTS)

Le Centre des techniques spatiales (CTS) est chargĂ© de mener toutes les actions d’études et de recherches scientifiques et techniques dans les domaines :

  • de la technologie spatiale, notamment les techniques liĂ©es aux capteurs, aux radiomĂštres, aux tĂ©lĂ©communications spatiales, aux stations terriennes de rĂ©ception et de contrĂŽle ainsi qu’aux engins et instruments d’observation de la terre et de l'atmosphĂšre ;
  • de la physique de la tĂ©lĂ©dĂ©tection aĂ©rospatiale, du bilan d'Ă©nergie au sol et de la physique de l'atmosphĂšre ;
  • de la mĂ©thodologie de traitement des images satellitaires et du traitement des banques de donnĂ©es images ;
  • de la gĂ©odĂ©sie spatiale et des systĂšmes de rĂ©fĂ©rences, des techniques et systĂšmes de navigation par satellites, de la radio-astronomie et l'altimĂ©trie spatiale, de la dĂ©termination du champ de pesanteur et du gĂ©oĂŻde, et des applications gĂ©odynamiques ;
  • de la gĂ©omatique, des bases de donnĂ©es et systĂšmes d’informations gĂ©ographiques, des mĂ©thodes d’acquisition (topographique, photogrammĂ©trie, tĂ©lĂ©dĂ©tection et cartographie), de traitement et de restitution des donnĂ©es gĂ©ographiques.

Centre des applications spatiales (CAS)

Le Centre des applications spatiales (CAS) est chargĂ© de mettre en Ɠuvre les actions d'exploitation des satellites et des systĂšmes dĂ©coulant des programmes spatiaux, en relation avec les diffĂ©rents secteurs utilisateurs.

Le centre assure la rĂ©alisation des projets opĂ©rationnels sectoriels et intersectoriels basĂ©s sur la tĂ©lĂ©dĂ©tection et les systĂšmes d’information gĂ©ographique, particuliĂšrement dans les domaines de l'environnement et des risques naturels, de l'agriculture et des ressources en eau, de l'amĂ©nagement du territoire et de l'urbanisme ainsi que de la gĂ©ologie et des sciences de la terre.

Centre de développement des satellites (CDS)

Le Centre de dĂ©veloppement des satellites (CDS), inaugurĂ© le , le CDS est implantĂ© dans la commune de Bir El Djir, dans la wilaya d’Oran[9], est une entitĂ© opĂ©rationnelle de l'Agence spatiale algĂ©rienne dont la rĂ©alisation est une action planifiĂ©e dans le Programme Spatial National horizon 2020. Construit sur une superficie de 4,7 hectares, et pourvu d’un espace vie comprenant des logements de fonction et des terrains de sport, le CDS apportera une impulsion certaine au processus de maĂźtrise des technologies spatiales en AlgĂ©rie.

Le CDS est constituĂ© d’infrastructures modernes (ateliers et laboratoires) dĂ©diĂ©s Ă  la conception, l'assemblage des satellites ainsi que des moyens de test et d'essais d'environnement. Le Centre de dĂ©veloppement des satellites (CDS) est chargĂ© de la conception, du dĂ©veloppement et de la rĂ©alisation des systĂšmes spatiaux prĂ©vus dans le cadre du programme spatial national, notamment :

  • la mise Ă  contribution de l'industrie nationale dans les domaines connexes des technologies spatiales, notamment les domaines de la mĂ©canique, de l'Ă©lectronique, de l'optique, de l'informatique et des tĂ©lĂ©communications.
  • la rĂ©alisation des satellites, la conduite des tests fonctionnels sur les satellites (essai d'interfĂ©rence et de compatibilitĂ© Ă©lectromagnĂ©tique, essai de vide thermique, essai de vibration et essai acoustique); l'assurance qualitĂ© des activitĂ©s d'intĂ©gration et d’essai sur les systĂšmes spatiaux; l'Ă©mergence d’un tissu industriel dans les domaines connexes des technologies spatiales, notamment dans les domaines de l'Ă©lectronique, l'informatique, la mĂ©canique, l'optique et des tĂ©lĂ©communications.

Centre d'exploitation des systÚmes de télécommunications (CEST)

Le Centre d'exploitation des systÚmes de télécommunications (CEST) est chargé de la gestion, de l'exploitation et de la commercialisation des produits et services de satellites de télécommunications prévus dans le cadre du programme spatial national, notamment :

  • la gestion technique des infrastructures terrestres de rĂ©ception et de contrĂŽle ;
  • la prise en charge des produits et services des satellites en relation avec les secteurs utilisateurs concernĂ©s ;
  • la dĂ©finition et la mise en Ɠuvre d'une politique de commercialisation des produits et services.

Activités commerciales

L'agence spatiale algérienne commercialise les images de catastrophes naturelles prises par satellites aux pays d'Afrique du nord et du Sahel[10] - [11].

Missions terminées

Cartographie

Image du satellite algérien, Alsat-1.

Alsat-1

Le premier satellite algérien mis sur orbite est Alsat-1, un micro-satellite de cartographie, visant principalement à la gestion des ressources naturelles et à la prévention des catastrophes naturelles comme les inondations et les tremblements de terre.

Il a été intégré par des ingénieurs algériens et britanniques chez SSTL, au Royaume-Uni. La mise sur orbite a été réalisée par un lanceur russe Cosmos-3M, le , de la base de Plesetsk en Russie.

Alsat-1 fait partie du programme Disaster Monitoring Constellation (DMC), visant à prévenir les catastrophes naturelles dans le monde. DMC comprend l'Algérie, le Royaume-Uni, la Chine, le Nigeria et la Turquie. Alsat-1 est le premier satellite lancé de la constellation. Le satellite est arrivée en fin de vie.

Alsat-2A

Le deuxiÚme satellite algérien mis en orbite est Alsat-2A, un satellite d'observation de la Terre à haute résolution. Il a été intégré et testé en France, dans les locaux d'EADS Astrium avec la participation de 29 ingénieurs algériens.

Alsat-2A a été lancé par une fusée PSLV le depuis le Centre spatial de Satish Dhawan situé à Sriharikota prÚs de la métropole de Chennai (sud de l'Inde). Avec une résolution au sol de 2,5 m en mode panchromatique et de 10 m en mode multispectral, il sert à différentes applications notamment la topographie, l'agriculture, la cartographie, le suivi de l'environnement...

Alsat-1B

Alsat-1B est le troisiĂšme satellite algĂ©rien d'observation de la Terre Ă  moyenne rĂ©solution. PlacĂ© en orbite Ă  670 km d’altitude, il fournit des images en mode multispectral (visible et proche infrarouge) et panchromatique.

Il a Ă©tĂ© lancĂ© le Ă  04 h 43 heure algĂ©rienne [9h13, heure indienne] par le lanceur indien PSLV C-35 depuis le site de Sriharikota du Centre Spatial de Satish Dhawan, situĂ© dans la rĂ©gion du ChennaĂŻ au Sud-Est de l’Inde.

L'exploitation de ces images Alsat-1B rĂ©pond entre autres Ă  des objectifs liĂ©s Ă  la protection de l’environnement et des diffĂ©rents Ă©cosystĂšmes naturels, Ă  l’observation des phĂ©nomĂšnes de la dĂ©sertification et Ă  leurs cartographies, Ă  la cartographie de l'occupation des sols, Ă  l'amĂ©nagement des territoires et du littoral et Ă  la prĂ©vention et la gestion des risques naturels.

Alsat-1B fait Ă©galement partie de la constellation internationale DMC (Disaster Monitoring Constellation).

Alsat-2B

Alsat-2B est le quatriĂšme satellite d'observation de la terre Ă  haute rĂ©solution, placĂ© sur une orbite situĂ©e Ă  670 km d’altitude et ce, aprĂšs Alsat-2A en orbite depuis .

Ce satellite a Ă©tĂ© lancĂ©e le Ă  04 h 43, heure algĂ©rienne [9h13, heure indienne] par le lanceur indien PSLV C-35 et ce, depuis le site de Sriharikota du Centre Spatial de Satish Dhawan, situĂ© dans la rĂ©gion du ChennaĂŻ au Sud-Est de l’Inde[12].

Les images prises par Alsat-2B dans les modes multispectral (visible et proche infrarouge) et panchromatique, permettent d'augmenter la fréquence des prises de vue et de renforcer les capacités de couverture du territoire algérien.

L’exploitation des images Alsat-2B Ă  2,5 m en mode panchromatique et en mode couleur rehaussĂ© permettra d’investir des domaines thĂ©matiques et Ă©conomiques importants tels, la planification et l’amĂ©nagement urbains et agricoles des territoires et du littoral, la cartographie et le suivi des infrastructures et des ouvrages d'art, l'Ă©tablissement et la mise Ă  jour du cadastre steppique et saharien et la prĂ©vention et la gestion des risques naturels (inondations, feux des forĂȘts
).

Recherche scientifique

Satellite algérien Alsat-1N.

Alsat-1N

Alsat-1N est un nano-satellite Ă  mission scientifique et de dĂ©monstration technologique dĂ©veloppĂ© dans le cadre de la mise en Ɠuvre de l'accord de coopĂ©ration entre l'Agence spatiale algĂ©rienne (ASAL) et l'Agence spatiale du Royaume-Uni (UKSA), par une Ă©quipe mixte d'ingĂ©nieurs algĂ©ro-britannique.

Ce satellite a été lancé le à 04 h 43 heure algérienne [9 h 13 heure indienne] par le lanceur indien PSLV C-35 et ce, depuis le site de Sriharikota du Centre Spatial de Satish Dhawan, situé dans la région du Chennaï au Sud-Est de l'Inde.

Ce satellite est destinĂ© Ă  l'analyse du comportement de trois charges utiles innovantes (camĂ©ra, mesure de radiation/magnĂ©tomĂštre et film solaire), ainsi que l’exploitation des donnĂ©es gĂ©omagnĂ©tiques terrestres et des images de la terre, fournies Ă  titre dĂ©monstratif. L'exploitation de ces donnĂ©es sera rĂ©alisĂ©e par des Ă©quipes composĂ©es de chercheurs et universitaires algĂ©riens.

Missions en cours

Télécommunications


Alcomsat-1

Alcomsat-1 est le premier satellite de télécommunications de l'Algérie[13]. Il permet la diffusion de 200 à 300 chaßnes de télévision et autant de radios numériques[14] (dans le cadre d'un partenariat avec Télédiffusion d'Algérie[15]). Il a été lancé le par le lanceur Longue Marche 3B à partir de la base de lancement de Xichang en Chine. Il est placé en orbite géostationnaire à une longitude de 24,8° Ouest[16].

Il fait partie de la plateforme satellitaire Dong Feng Hong 4 de 5 200 kg de masse brute et 26 mĂštres d’envergure pour une durĂ©e de 15 ans de durĂ©e de vie en orbite gĂ©ostationnaire. Il s'agit du premier projet de collaboration entre l'ASAL et l'administration spatiale nationale chinoise[16].

Il emporte des transpondeurs en bande KU, pour la tĂ©lĂ©vision, en bade KA pour le V-Sat et les transmissions internet ainsi que des transpondeurs en bandes X, EHF et UHF pour les besoins de l'armĂ©e et des secteurs stratĂ©giques de l'État. Le satellite a une durĂ©e de vie estimĂ©e Ă  15 ans[16].

Le contrĂŽle opĂ©rationnel est assurĂ© par deux stations construites en AlgĂ©rie, l’exploitation et le contrĂŽle du satellite seront effectuĂ©s par les ingĂ©nieurs de l'ASAL, depuis les centres d’exploitation des systĂšmes de tĂ©lĂ©communications de Boughezoul (MĂ©dĂ©a) et de Bouchaoui (Alger)[17].

Les images produites par les satellites algériens sont commercialisées par l'ASAL.

Références

  1. Akram Kharief, « Satellites algériens et composants israéliens », sur www.lesoirdalgerie.com (consulté le )
  2. « Décret présidentiel n° 02-48 du 2 Dhou El Kaada 1422 correspondant au 16 janvier 2002 portant création, organisation et fonctionnement de l'Agence spatiale algérienne », sur Journal officiel de République algérienne,
  3. « Partenariat ministÚre de l'Environnement-Agence spatiale algérienne pour la protection de l'environnement », sur Aps.dz, (consulté le )
  4. Amine Allam, « Feux de forĂȘts : L'agence spatiale algĂ©rienne Ă  la rescousse », sur elesatellite.com, (consultĂ© le )
  5. Amine Allam, « Algérie : le satellite pour préserver le patrimoine culturel », sur Telesatellite.com, (consulté le )
  6. « L’AlgĂ©rie Ă©tablit sa cartographie archĂ©ologique », sur Elwatan.com, (consultĂ© le )
  7. Abderrafik Khenifsa, « Algérie : BientÎt une agence spatiale aprÚs adoption du projet de loi sur les activités spatiales », sur Thd.tn, (consulté le )
  8. Akramov, « L’AlgĂ©rie prend-elle le virage russe pour son programme spatial ? », sur MENADEFENSE, (consultĂ© le )
  9. F_401, « Algérie : inauguration du Centre de développement des satellites à Oran -Le Quotidien du Peuple en ligne », sur french.peopledaily.com.cn (consulté le )
  10. « L’Agence spatiale algĂ©rienne commercialise ses services aux pays d'Afrique du nord et du sahel », sur Aps.dz, (consultĂ© le )
  11. « Le DG de l’ASAL Ă  la presse : les produits de l'Agence spatiale algĂ©rienne commercialisables dans tous les pays du monde », sur Radioalgerie.dz, (consultĂ© le )
  12. « ASAL: Agence Spatiale Algérienne », sur www.asal.dz (consulté le )
  13. Akramov, « Lancement d’Alcomsat-1, quels bĂ©nĂ©fices pour l’ANP ? », sur MENADEFENSE, (consultĂ© le )
  14. Syrine Attia, « L’AlgĂ©rie lance son premier satellite de tĂ©lĂ©communications », sur Jeuneafrique.com, (consultĂ© le )
  15. « Convention entre TDA et ASAL pour une exploitation "optimale" d'Alcomsat-1 », sur Radioalgerie.dz, (consulté le )
  16. « Un centre de lancement de satellites chinois renforce sa coopération spatiale internationale », sur Xinhuanet.com, (consulté le )
  17. « Lancement du satellite algérien Alcomsat-1 depuis la Chine », sur Aps.dz, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.