Abadla
Abadla est une commune de la wilaya de Béchar, située à 90 km au sud-ouest de Béchar et à 150 km au nord-ouest de Béni AbbÚs[2] - [3] - [4].
Abadla | |
Barrage de Djorf Torba | |
Noms | |
---|---|
Nom arabe | ۧÙŰčۚۧۯÙŰ© |
Nom amazigh | â”⎱⎰⎷â”⎰ |
Administration | |
Pays | Algérie |
RĂ©gion | Saoura |
Wilaya | BĂ©char |
DaĂŻra | Abadla |
Président de l'APC Mandat |
M. Abdelmalek Benabderrahmane 2007-2012 |
Code postal | 08003 |
Code ONS | 0817 |
DĂ©mographie | |
Population | 13 636 hab. (2008[1]) |
Densité | 4,8 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 31° 01âČ 00âł nord, 2° 44âČ 00âł ouest |
Superficie | 2 870 km2 |
Localisation | |
Localisation de la commune dans la wilaya de BĂ©char. | |
Relief
Abadla est placĂ©e sur un vaste plateau oĂč passe la route no 6 reliant les wilayas du sud-ouest Adrar et Tindouf avec les wilayas du nord de lâAlgĂ©rie. La ville a connu un dĂ©veloppement qui se compose de nouvelles citĂ©s se distinguant par leurs fonctions. L'ancienne ville se trouve sur la rive gauche de l'oued de Guir.
Création de la commune
La commune dâAbadla a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1963, conformĂ©ment au dĂ©cret du , qui est venu rĂ©organiser les limites territoriales des communes pour ramener leur nombre Ă 676[5]. Abadla se prĂ©sentait donc comme un petit centre urbain, de crĂ©ation rĂ©cente, postĂ©rieure Ă lâoccupation française. Les premiers nomades regroupĂ©s dans le cadre de la politique de sĂ©dentarisation « 1958 » Ă©taient venus sâinstaller au nord et Ă lâest de ce quartier oĂč Ă©taient construites des maisons en argile ainsi que des Ă©quipements administratifs et sociaux formant la crĂ©ation de la ville dâAbadla.
Abadla a été promue au rang de daïra lors du dernier découpage administratif de , qui visait à créer un pÎle de compétitivité rassemblant les institutions étatiques.
Climat
Le climat peu clĂ©ment est de type saharien aggravant la situation hydrologique comme l'atteste la diminution des aires de pĂąturages des dromadaires, des moutons et des chĂšvres depuis quelques annĂ©es. Il est caractĂ©risĂ© par une ariditĂ© croissante d'annĂ©e en annĂ©e, les pluies n'atteignent pas 50 mm/an et la tempĂ©rature varie entre 10° et 45°. Les vents sont violents en avril et mai, ils soufflent en permanence, provoquent des tempĂȘtes de sable[6].
Table climatique
Abadla a un climat désertique. Il n'y a pratiquement aucune précipitation pendant l'année. D'aprÚs Köppen et Geiger, le climat y est classé BWh. Abadla affiche une température annuelle moyenne de 21,9 °C. Sur l'année, la précipitation moyenne est de 69 mm.
Janvier | Février | Mars | Avril | Mai | Juin | Juillet | Août | Septembre | Octobre | Novembre | Décembre | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température moyenne (°C) | 10.2 | 13.2 | 16.9 | 21.2 | 25.7 | 30.4 | 34.6 | 33.5 | 28.7 | 22.2 | 15.6 | 11.2 |
Température minimale moyenne (°C) | 3.1 | 5.8 | 9.6 | 13.7 | 18 | 22.8 | 26.7 | 26 | 21.6 | 15.2 | 9.2 | 4.3 |
Température maximale (°C) | 17.4 | 20.7 | 24.2 | 28.8 | 33.4 | 38.1 | 42.5 | 41.1 | 35.8 | 29.2 | 22 | 18.2 |
Température moyenne (°F) | 50.4 | 55.8 | 62.4 | 70.2 | 78.3 | 86.7 | 94.3 | 92.3 | 83.7 | 72.0 | 60.1 | 52.2 |
Température minimale moyenne (°F) | 37.6 | 42.4 | 49.3 | 56.7 | 64.4 | 73.0 | 80.1 | 78.8 | 70.9 | 59.4 | 48.6 | 39.7 |
Température maximale (°F) | 63.3 | 69.3 | 75.6 | 83.8 | 92.1 | 100.6 | 108.5 | 106.0 | 96.4 | 84.6 | 71.6 | 64.8 |
Précipitations (mm) | 7 | 5 | 8 | 5 | 4 | 3 | 2 | 3 | 6 | 9 | 10 | 7 |
Plaine d'Abadla
La plaine d'Abadla est encerclĂ©e par plusieurs chaĂźnes montagneuses. Les forĂȘts constituent un facteur essentiel de maintien de la fertilitĂ© et protĂšgent l'oued Guir contre l'Ă©rosion Ă©olienne et hydrique. Elle comprend en outre deux autres dĂ©pendances : dayet djilala « jâleila » et dayet tiour.
La plaine dâAbadla, au sens large, se prĂ©sente comme une vaste dĂ©pression limitĂ©e Ă lâouest par la hamada du Guir, au nord par le Chebket Manounat (monts du Gara el Betick) et Ă lâest par les hauteurs tabulaires qui constituent les Gours MĂ©ziouket.
Les Gravures Ruspestres Ă Abadla
Les gravures rupestres montrent aussi que le bĆuf Ă bosse Ă©tait connue des habitants de cette contrĂ©e.La vallĂ©e infĂ©rieur de l'oued de guir Ă donc toujours Ă©tĂ© en cours des ages, une rĂ©gion favorable Ă l'Ă©levage.https://nacibilias.skyrock.com/1767436950-les-gravures-rupestres-a-abadla.html
Les nombreuses gravures rupestres que l'on rencontre sur les roches dominant de l'oued Zouzfana montrent que jadis à bosse était rencontré dans la région, il serait donc intéressant de tenter l'introduction de cet animal dans la Vallée de Guir dés que la production en plantes fourragÚres sera devenue suffisante.
Les collines de Hassi Ratma montrent aussi la premiĂšre observation des gravures rupestres et des nombreux Tumulus « tombes » offrant un recueil appuyant sur lâexistence des formes similaires dans le Sahara.
LâĂ©tude agro-pĂ©dologique de la plaine dâAbadla
La plaine dâAbadla fait partie des grands projets de dĂ©veloppement de lâagriculture menĂ©s par lâĂtat algĂ©rien[7]. LâĂ©tude agro-pĂ©dologique de la plaine dâAbadla rĂ©alisĂ©e en 1971 par le groupement SOGETHA â SOGREAH, met en relief le caractĂšre fertile des terres de cette zone. Pourtant et aprĂšs plusieurs dĂ©cennies dâexploitation de ces terres, il est relevĂ© quâune bonne partie des terres nâest plus cultivĂ©e en raison de lâapparition et le dĂ©veloppement de phĂ©nomĂšnes de dĂ©gradation quâils soient naturels ou anthropiques. En fait, la salinitĂ© constitue lâun des phĂ©nomĂšnes de dĂ©gradation les plus remarquables ; dâailleurs il Ă©volue et progresse sans cesse du fait de la combinaison de plusieurs facteurs dont : âą la mauvaise utilisation des terres ; âą la dĂ©tĂ©rioration et parfois carrĂ©ment la destruction des rĂ©seaux de drainage ; âą la mauvaise pratique culturale, etc.âŠ). LâĂ©volution spatiale de la salinitĂ© aboutit non seulement Ă la « dĂ©figuration » de lâespace agricole mais entraĂźne Ă©galement lâabandon des terres par les agriculteurs, accentuant ainsi la dĂ©sertification dâune partie du pĂ©rimĂštre. Aussi et pour permettre la prise en charge de la problĂ©matique de la dĂ©gradation des terres agricoles dans ce pĂ©rimĂštre, la DSA et lâINSID ont convenu ( dans le cadre de lâinstruction ministĂ©rielle no 467 du 07/10/1998 ) de mener une campagne de mesures et de diagnostic en vue de caractĂ©riser lâĂ©tat actuel de la salinitĂ© et dâĂ©valuer lâĂ©tat physique du rĂ©seau de drainage au niveau du pĂ©rimĂštre irriguĂ© dâAbadla.
La vallée de Guir
La vallĂ©e du Guir se situe Ă une centaine de kilomĂštres au sud-ouest de BĂ©char prĂšs de la frontiĂšre marocaine[8]. Cette vallĂ©e encore appelĂ©e « Plaine dâAbadla » est arrosĂ©e par un oued important : le Guir qui vient du Haut Atlas marocain: il se grossit des oueds marocains Aslfti et Bou-Anane. Au sortir du plateau crĂ©tacĂ© du Chebket Mennounat, il devient le principe fĂ©rtilleant de cette vaste plaine quaternaire en sây attardant et en la pĂ©nĂ©trant de ses multiples bras sinueux. Longue de 70 kilomĂštres, la vallĂ©e atteint une largeur de 20 kilomĂštres prĂšs de la commune dâAbadla; elle est dominĂ©e Ă lâouest par une immense hamada, Ă lâest par des plateaux tabulaires (gara). Le sol alluvionnaire du Nord provient des limons charriĂ©s par lâoued en crue quâune trĂšs faible pente (2 Ă 3 mm.) laisse dĂ©poser. Les alluvions recouvrent des terrains primaires du type westphalien. Le Guir ne coule plus ici que par intermittence lors des crues qui, dâune façon gĂ©nĂ©rale, viennent trois fois par an :en automne « octobre, novembre », au printemps « mars, avril » et en « juin ». Mais les eaux chlorurĂ©es apportĂ©es par lâoued Bou-Anane peuvent saturer çà et lĂ le sol qui, lâĂ©tĂ© se blanchit dâefflorescences salines; il va sans dire que cette salure nuit grandement Ă la flore, nây laissant pousser que des plantes Ă chameaux. Plus au sud, le Guir sâunit Ă la Zousfana pour donner la Saoura. Cette vallĂ©e est envahie par des bosquets de tamaris et des touffes de « guettaf » qui abritent une vĂ©gĂ©tation spontanĂ©e, fort recherchĂ©e des moutons et des chevaux; non consommĂ©e, elle sĂšche sur place et constitue 1â« haĂŻchair » trĂšs apprĂ©ciĂ© Ă©galement. Ailleurs, quand le terrain nâest pas salĂ©, il est emblavĂ© et les bonnes annĂ©es, la rĂ©colte des cĂ©rĂ©ales y est important. Le climat est chaud et sec. La plaine dâAbadla Ă©tait couverte autrefois de riches pĂąturages oĂč vivait lâĂ©lĂ©phant; des gravures rupestres attestent que lâon y Ă©levait le bĆuf Ă bosse. Toute cette vallĂ©e est devenue le fief de nomades pasteurs : les Doui-Menia.
Environnement - Tourisme
Abadla bĂ©nĂ©ficie dâune richesse incontestable en raison de son patrimoine naturel (ressources naturelles, faune, flore, paysages), de leur patrimoine culturel (savoir, coutumes, tradition, organisation sociale, musique, artisanat) et de leur patrimoine construit (villages, monuments, architecture locale, etc.)[9]. Il est donc impĂ©ratif de prĂ©server mais aussi de prendre avantage le plus possible de ces atouts, en particulier pour le bĂ©nĂ©fice des populations y vivant.Le principal dĂ©fi consiste Ă freiner â ou tout au moins ralentir â lâexode rural. Elle est aussi renforcĂ© par des infrastructures socioâĂ©conomiques adĂ©quates (telles que routes et rĂ©seaux dâĂ©lectricitĂ©) et services de support fonctionnels (tels que pour la santĂ©, Ă©ducation et vulgarisation agricole)[10].La plaine d'abadla est traversĂ©e sur toute sa longueur par l'Oued Guir, l'un de plus important fleuve du pays, qui le partage en deux parties hydrauliquement indĂ©pendantes les zones du rive gauche et les zones de la rive droite. L'encombrement des arbres de tamarix croissent et forment des ceintures vertes sur les deux rives de l'oued guir qui se dĂ©rivent dans toutes les directions. Les clairiĂšres ont laissĂ©es libres dans les intervalles ou ils sont introduits d'autres vĂ©gĂ©tations de toute nature. Cependant au milieu de la plaine s'Ă©lĂšve des lignes de hautes dunes de sable et vie d'autres animaux herbivores et carnivores.Cette foret de tamarix se poursuit jusquâĂ hauteur de la Garet ben Batel oĂč aprĂšs un mĂ©andre du Guir elle disparaĂźt.Les sols occupĂ©s par cette foret sont des sols alluviaux certainement salĂ©s dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, mais de texture variables.
L'Oued Guir, ce fleuve saharien prend sa source dans le prolongement du Grand Atlas qui forme la ceinture méridionale de la haute Moulouya[11]. AprÚs avoir coule dans un pays trÚs accidenté ou il arrose des nombreux Ksour en partie visités par Schaudt, comme nous le verrons plus loin, sa vallée s'ouvre en arivant au pays des Doui-Menia et permet les irrigations.L'Oued Guir change plusieurs fois son non;aprÚs avoir reçu l'Oued Zousfana à Igli, on l'appelle Oued Saoura.Sa Vallée est une suite d'oasis et de villages, avec de l'eau abondante à chaque étape, et des ressources variées jusq'au Gourara.Le voyageur allemand Rohifs dit qu'on l'appelle Ghaba (la foret) à cause de ses nombreux palmiers.
Les potentialités miniÚres
LâAlgĂ©rie possĂšde dans le Sud Oranaise des grands bassins houillers installĂ©s sur la bordure septentrionale de la plate-forme. Les couches de houille sont minces « moins de 1 m dâĂ©paisseur » mais trĂšs constantes en puissance et en composition ; il sâagit de charbon Ă coke.
Ils apparaissent actuellement rĂ©parties en deux bassins dâimportance inĂ©gale, celui de Bechar au Nord , celui plus Ă©tendu dâAbadla au Sud. Le bord occidental dâune troisiĂšme bassin, celui de Mezarif lâEst au-delĂ des calcaires du CarbonifĂšre infĂ©rieur du Djebel Bechar.
Le bassin houiller d'Abadla
Comme Kenadza, câest un bassin paralique finissant en bassin fermĂ© au Westphalien D.Son charbon contient 31-32 % M.V.il est cokĂ©fiable[12]. Il est divisĂ© en plusieurs bassins par anticlinaux sensiblement NW-SE et par dâautres sensiblements NE-SW.Il est exploitĂ© en deux points : Ksiksou et Manounet.Ce gisement Ă©tant donnĂ© son Ă©tendue, renferme certainement la majeure partie des rĂ©serves en charbon de lâAfrique du Nord, plus dâun milliard de tonnes.
Le CarbonifÚre, le Westphalien, ont été signales au N.W. d'AbadIa, à Ghorassa en 1907. Mais ce fut seulement en 1941 et 1942, aprÚs que fut démontrée l'extension vers Colomb-Béchar des couches Westphaliennes exploitées à Kénadza que l'importance d'un Westphalien productif apparut dans le Nord du bassin d'AbadIa, à Sfaïa. Les recherches systématiques commencÚrent en 1948. Actuellement le siÚge de Ksiksou (NW du bassin) fournit les 2/3 de la production des houillÚres du Sud-Oranais et sur le bord Nord du bassin, jusqu'à 400 m de profondeur, 100 millions de tonnes en couches de 50 à 70 cm apparaissent facilement exploitables grùce à une trÚs grande régularité du gisement. Le charbon contient 32 à 35 pour cent de matiÚres volatiles. |
La connaissance des dimensions du bassin houiller d'Abadla est le résultat d'un travail d'équipe entre le Service de la Carte géologique d'Algérie et les industriels. Une étude est consacrée, au début de 1943, au seul bassin houiller d'Abadla, par Paul Deleau, géologue principal du service des Mines de l'Algérie qui conclut en disant maintenant affirmer que le "bassin houiller d'Abadla est un grand bassin" charbonnier. Le gisement est doté d'une de 70 centimÚtres de charbon, probablement intéressante sur 4 000 kilomÚtres carrés.
En 1948 d'autres recherches furent faites à Ksi-Ksou et à Abadla sous la direction de Paul Deleau. Le site de Ksi-Ksou sera mis en exploitation dans la foulée de ces travaux.
L'agate de Zerigate
Selon les variĂ©tĂ©s d'agates, ces bandes colorĂ©es peuvent aller du blanc au gris, en passant par le gris bleu ou le gris vert, le jaune, le brun, le rouge ou encore le noir. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la couleur varie selon le lieu d'extraction, mais la pierre peut dans certains cas ĂȘtre teinte de maniĂšre artificielle via un procĂ©dĂ© de trempage dans des bains chimiques. La couleur serait, dans ce cas-lĂ , alors ensuite fixĂ©e par chauffage.
Il existe un trĂšs vaste Ă©ventail d'agates aux couleurs diffĂ©rentes, de mĂȘme pour les stries et marbrures qui se dĂ©ploient Ă l'intĂ©rieur de chaque pierre. Parmi quelques variĂ©tĂ©s, nous citerons l'agate mousse, l'agate dendritique, l'agate noire, la sardonyx, l'agate blanche, l'agate feu, l'agate Ćil, l'agate bleue, etc. Les plus rares sont l'agate mousse, la sardonyx, l'onyx, l'agate dendritique ou encore l'agate flamme.
Toutes les agates sont différentes et présentent leurs propres caractéristiques. Certaines d'entre elles présenteront plus d'inclusions que d'autres, telles que l'agate Mousse ou Dendritique, d'autres auront des teintes particuliÚrement vives⊠Chaque pierre est unique.
Histoire
Toponymie
Ă l'origine, le nom de la ville dâAbadla vient de la tribu nomade arabe des Abadla qui est une fraction de la grande tribu des Doui-Menia[13]. Or ici la confĂ©dĂ©ration des doui-menia est divisĂ©e en khoums, c'est-Ă -dire en cinquiĂšme ;il semble donc quâelle correspond bien ici Ă une rĂ©alitĂ©, lâexistence de la partie supposant celle du tout ;si la confĂ©dĂ©ration rĂ©sulte, comme tout porte Ă le croire, dâune alliance de tribus originairement indĂ©pendantes, le groupement doit ĂȘtre ancien, pour que la fusion entre les constituants ait eu le temps de sâopĂ©rer[14]. Leur ancĂȘtre serait-il Menie Ben Moghit Ben Mohammed El Gharib appartenant Ă la fraction Harth Ben Malek dĂ©pendante des Banou Amer Ben Zoghba - parmi cette grande tribu , la fraction *El Harth Ben Malek *se dĂ©compose elle-mĂȘme en plusieurs groupements dont Gharib Ben Harth â Abna Merzoue â descendant de Ben Menie â Ouled Youcef qui appartiennent aux Ouled BĂ©ni Menie â BĂ©ni Amer Ben Attaf â Ouled Chafaa â Banou Yakoub . « voir rĂ©partition des branches des Banou Hilal aux pages 54, 55, 90 du tome VI de * peuples et nations du monde * en langue arabe de lâhistorien Ibn Khaldoun ».
La seule agglomĂ©ration digne de ce non est lâancien ksar qui porte le non de cette fraction "Abadla" de crĂ©ation rĂ©cente, postĂ©rieure Ă l'occupation française.Il sâest baptisĂ© sur une colline rocheuse de la rive gauche de lâoued guir, n'est plus que des ruines enfuies sous le sable.
PĂ©riode de la colonisation
L'arrivĂ©e des français Ă Bahariat qui porte le nom des communes dâ Abadla le 13 avril 1870 lors de la grande expĂ©dition de l'Oued Guir dans le sud de la province d'Oran sous le commandement du gĂ©nĂ©ral de Wimpffen.
avril 1870, le général de Wimpffen écrivait à M. le Gouverneur Général de l'Algérie[15] :
" J'ai l'honneur, Ă la date du 11 avril, de rendre compte Ă Votre Excellence, de mon passage au Kenadza. De ce point, j'arriverai en trois jours par l'oued Guir au point nommĂ© Bahariat (actuellement les 03 communes Abadla, Erg feradj, Machraa Houari Boumediene de la daĂŻra dâAbadla, Wilaya de Bechar) ou les Petites Mers, parce que c'est la partie la plus large de cette riche vallĂ©e dont, depuis deux jours dĂ©jĂ , nous admirons la fertilitĂ© due aux crues pĂ©riodiques d'une riviĂšre qui, petite image du Nil, fĂ©conde de ses eaux des surfaces trĂšs Ă©tendues. Aucune vallĂ©e du Tell, mĂȘme les mieux dotĂ©es, ne peut donner une idĂ©e des vastes terres de culture qui se dĂ©roulent Ă nos yeux, et que de nombreux canaux rendent propres aux produits les plus divers ".
Combat de Bahariat
Le 14 avril 1870, le lieutenant colonel DĂ©trie commande deux bataillons du rĂ©giment qui prennent part Ă l'expĂ©dition de l'Oued Guir dans le sud de la province d'Oran[16]. Les troupes sont engagĂ©es contre les arabes Ă El Bahariat. ChargĂ© d'attaquer le centre de l'adversaire DĂ©trie se retrouve un moment dans une position difficile : "Il est une heure. Dans le vide qui s'est ainsi produit au centre de notre ligne, le lieutenant colonel DĂ©trie se trouve isolĂ© avec le commandant Soye, le capitaine Colasse et le lieutenant Rousseau avec 9 zouaves. Contre cette poignĂ©e d'hommes s'avancent les Doui-Menia et les contingents alliĂ©s, ayant Ă leur tĂȘte le fils de Si El Hadj Bel Arbi. Heureusement, la 2e section de la 8e compagnie, ralliĂ©e par le lieutenant Genty, arrive Ă temps. Cependant les Arabes commencent Ă entourer le petit noyau de braves qui se serrent les uns contre les autres et tirent presque Ă bout portant. Mais les munitions s'Ă©puisent. Ordre est donnĂ© aux hommes de ne plus tirer qu'Ă coup sĂ»r. Les Arabes voyant le feu se ralentir croient qu'il n'y a plus de munitions et s'Ă©lancent, mais une salve terrible les accueille. Cependant la situation devient de plus en plus critique : un rempart de morts et de blessĂ©s sĂ©pare les adversaires ; le petit groupe de zouaves est de plus en plus pressĂ© ; les officiers, le revolver au poing, n'osent plus tirer leur dernier coup, prĂ©fĂ©rant le garder pour eux-mĂȘmes plutĂŽt que de tomber aux mains des Arabes. Tout Ă coup arrive en arriĂšre et vers la gauche le capitaine Letondot Ă la tĂȘte d'une section de la 2e compagnie qui met en fute les Arabes. Il Ă©tait temps : 28 zouaves Ă©taient tombĂ©s, dont 10 tuĂ©s autour du Lieutenant Colonel DĂ©trie. (Historique du rĂ©giment)".
Guerre d'indépendance
La bataille d'Alger fera la une de la presse internationale et interne[17]. Le conflit est porté jusqu'à L'ONU. Aussi, il y aura plusieurs grÚves et manifestations dans les villes. Les protestations ont été organisées par le FLN.
à l'ouest, à la frontiÚre marocaine, 550 km séparent Port-Say d'Abadla à l'extrémité du grand erg occidental, escaladant les monts de Tlemcen, traversant 200 km de hauts plateaux désertiques, puis coupant les monts escarpés des Ksour. Comment surveiller de tels espaces, sur des terrains aussi divers et souvent difficiles d'accÚs, tout en y consacrant le mini d'effectifs afin de ne pas sacrifier les missions de l'intérieur : quadrillage du terrain et pacification.
La wilaya de BĂ©char a Ă©tĂ© le thĂ©Ăątre de glorieuses batailles qui portent les noms des djebels Grouz, Chebkat, Manounet, Djihani, El Moungar et Bechar[18]. Les camps de regroupement ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s dans le but de priver le FLN de l'appui de la population.Abadla reprĂ©sente aussi un ancien camp de regroupement de la guerre de libĂ©ration, sous lâoccupation coloniale, un ensemble des mesures plus complexes et dâailleurs en vigueur a Ă©tĂ© prise Ă lâencontre de cette population « le village de tente »ainsi que le quartier dâAbadla sont entourĂ©s dâun rĂ©seau de fils de fer barbelĂ©e mettant ainsi les populations nomades et ksourienes Ă lâabri des exactions des nuits. LâĂ©levage est devenue impossible, les zones de pĂąturages interdites sont dĂ©limitĂ©es par des droites que rien ne concrĂ©tise sur le terrain, les berges parfois et plus souvent encore les chameaux.
Le périmÚtre irrigué à Abadla
Conception dâune ferme pilote Ă Abadla
LâAlgĂ©rie est dotĂ© de lâun des plus beaux dĂ©sert au monde faire connaitre son Sahara est le meilleur atout pour attirer les gens Ă venir dĂ©couvrir et renforcer lâattractivitĂ© du pays[19]. Lâagriculture reprĂ©sente pour la majoritĂ© des pays un secteur Ă©conomique de base. Aujourdâhui ce secteur est dâune importance de premiĂšre catĂ©gorie, il domine pratiquement tous les autres domaines. Avec la baisse des prix du baril et la prise de conscience mondiale de nĂ©cessitĂ© de prĂ©servation des ressources naturelles, lâAlgĂ©rie doit se concentrer sur dâautres secteurs, principalement dans le domaine dâagriculture afin de la dĂ©velopper et donc pouvoir Ă©voluer Ă©conomiquement. C'est Ă travers ses potentialitĂ©s que nous avons choisis de travailler sur la pleine dâAbadla qui est connue par la fertilitĂ© de ses terres et par la prĂ©sence dâeau (Oued Guir), ces critĂšres nous ont aidĂ© Ă rĂ©aliser une « Ferme Pilote » afin de pouvoir renforcer la vocation agricole de la rĂ©gion et pourquoi pas dans toute lâAlgĂ©rie. Ce projet consiste Ă la conception dâune ferme pilote Ă Abadla qui a pour objectif de renforcer lâinfrastructure agricole et atteindre une autosuffisance dans les zones arides du sud algĂ©rien, suivi dâune conception dâun village agricole (en incluent le patrimoine ksourien), et dâun centre de recherche avec lâamĂ©lioration du niveau du confort extĂ©rieure et intĂ©rieure, et lâamĂ©lioration de la recherche scientifique.
Réhabilitation du périmÚtre d'Abadla
Le ministre de lâAgriculture et du DĂ©veloppement Rural a prĂ©sentĂ© une communication sur la rĂ©habilitation et le rĂ©amĂ©nagement du grand pĂ©rimĂštre dâAbadla, wilaya de BĂ©char.
Ă ce sujet, il a prĂ©sentĂ© les mesures nĂ©cessaires pour sĂ©curiser lâapprovisionnement en eau de ce pĂ©rimĂštre en vue de couvrir tous les besoins en ressources hydriques. Il a Ă©tĂ© Ă©galement question de prendre les mesures inhĂ©rentes Ă la prĂ©servation et Ă lâextension des superficies agricoles ainsi que le dĂ©veloppement des activitĂ©s industrielles.
Par ailleurs et dans le cadre du suivi permanent du projet de rĂ©habilitation et dâextension du barrage vert, le ministre de lâAgriculture et du DĂ©veloppement Rural a prĂ©sentĂ© une communication consacrĂ©e Ă lâĂ©tat dâavancement de ce projet qui revĂȘt un caractĂšre national et stratĂ©gique et qui sâĂ©tend sur 13 wilayas.
Le Gouvernement a examinĂ© ce projet dans ses dimensions Ă©cologique, environnementale et Ă©conomique liĂ©e Ă ses potentialitĂ©s de crĂ©ation de richesse et dâemploi.
Ă lâissue de la prĂ©sentation, le Premier ministre a rappelĂ© les orientations de Monsieur le PrĂ©sident de la RĂ©publique relatives Ă lâaugmentation de la cadence de rĂ©alisation du programme dâaction entrant dans ce cadre selon une dĂ©marche participative mobilisant tous les moyens et les compĂ©tences nationales et en sâassurant de la contribution de la sociĂ©tĂ© civile et des acteurs locaux".
Urbanisme
Logements sociaux
Abadla est une ville de moins de 15 000 habitants en 2008, avait rencontrĂ© beaucoup de difficultĂ©s depuis sa promotion en chef-lieu de DaĂŻra, face aux besoins de ses habitants, aussi bien en Ă©quipements quâen logements[20]. AprĂšs lâĂ©chec dâinterventions dans la rĂ©habilitation de lâancienne ville, les autoritĂ©s locales se sont orientĂ©es vers la construction dâune nouvelle ville sur lâancien site militaire abritant une piste aĂ©rienne. BĂ©nĂ©ficiant dâun programme spĂ©cial, dâune enveloppe budgĂ©taire de 500 logements en 1976, lâĂ©tude et la rĂ©alisation de ce projet se sont heurtĂ©es Ă de nombreux conflits gĂ©nĂ©rĂ©s entre le MinistĂšre, la wilaya et la commune.De nouveaux programmes dâhabitat ont renforcĂ© la production du logement dans la Daira Ă partir des annĂ©es 1990, visant diffĂ©rentes catĂ©gories sociales.Il sâagit essentiellement des logements de fonctions destinĂ©s aux cadres, des logements ruraux, des logements sociaux, des logements Ă©volutifs et des Logements socio-participatifs (LSP). Quant aux logements promotionnels, ils sont limitĂ©s pour ne pas dire inexistants, exceptĂ©s quelques petites opĂ©rations menĂ©es Ă la commune par le biais de la Caisse nationale de lâĂ©pargne et de la prĂ©voyance (CNEP).
L'habitat rural
Lâaide de lâĂtat, au logement rural, sâinscrit dans le cadre dâune politique de dĂ©veloppement rural ayant comme objectifs principaux, le dĂ©veloppement des espaces ruraux et la fixation des populations locales[21]. Cette aide de lâĂtat est consentie Ă lâeffet dâencourager les familles (mĂ©nages) Ă rĂ©aliser en auto-construction, une habitation dĂ©cente, dans le milieu rural. Durant les deux derniĂšres dĂ©cennies, le logement rural occupe une place importante en AlgĂ©rie et sâintĂšgre dans le cadre de la politique de dĂ©veloppement rural ; il a pour objectif la promotion des espaces ruraux et la fixation des populations locales. Il consiste Ă encourager les mĂ©nages Ă rĂ©aliser, en auto-construction, un logement dĂ©cent dans leur propre environnement rural. Paradoxalement, des programmes considĂ©rables de financement ont Ă©tĂ© allouĂ© pour rĂ©novation de lâancienne ville entre 1990 et 2021.La partition des logements ruraux , a donner des solutions efficaces pour Ă©liminer progressivement lâhabitat prĂ©caire et creĂ© une vie meilleure. Lâaide financiĂšre apportĂ©e aux citoyens dans ce cadre a contribuĂ© largement Ă la ruĂ©e des masses populaires dĂ©sirant bĂ©nĂ©ficier de cette formule qui assure lâaccĂšs Ă la propriĂ©tĂ© aidĂ©e par lâĂtat combinant une forme dâhabitat individuel.
Coutumes et traditions
Culture populaire
La danse de « houbi »[22] - [23] est une danse folklorique ancienne de la confĂ©dĂ©ration des Doui-Mnies tribus arabes qui sont situĂ©s entre les rives de lâoued guir. Elle s'inscrit dans les danses de groupe auxquelles participent des hommes et des femmes, exĂ©cutant cette forme expressive basĂ©e sur un systĂšme de signes, dans lequel texte et mouvement physique s'entremĂȘlent dans un unifiĂ© rythme et dans lequel les sentiments et les sentiments mutuels se croisent. Abadla est rĂ©putĂ©Ă© par la danse de « Houbi » qui est l'une des anciennes formes expressives qui conserve encore son premier rythme, comme en tĂ©moigne sa dĂ©pendance Ă l'Ă©gard des battements et des coups des jambes en parfaite harmonie sans l'utilisation d'instruments de musique Ă ce jour. Elle est gĂ©nĂ©ralement exĂ©cutĂ©e lors des cĂ©rĂ©monies de mariage sous la forme d'une ligne semi-circulaire d'hommes qui se rĂ©trĂ©cit et s'Ă©tend Ă mesure que la danse s'intensifie et que les membres du groupe interagissent avec son rythme et se fondent en lui.
Elle rassemblait des centaines de personnes lors des mariages. Dans le houbi, une Ă trois femmes sâinsĂšrent dans un demi-cercle (halqa) de danseurs qui, au sens propre comme au figurĂ©, font appel du pied aux danseuses par une maya, sorte de mouvement lent et chaloupĂ©, oscillation collective toute en sĂ©duction dans le chant choral et la rythmique produite en cadence par les mains et les pieds.
Poésie populaire
La poĂ©sie est un patrimoine nationale en AlgĂ©rie[24]. On la rĂ©cite, on la chante, on lâĂ©crit en arabe et en tamazight. MalgrĂ© les mutations socioculturelles, Ă travers lâorganisation, chaque annĂ©e, de ces journĂ©es sur la poĂ©sie et le folklore, plusieurs associations culturelles locales et nationales activent pour sauvegarder ce patrimoine ancestral.
Abadla est une zone Ă vocation agricole et hautement culturelle et touristique tournĂ© vers l'avenir, mais qui n'a pas perdu pour autant ses valeurs patrimoniales et ses racines identitaire, et qui est connue par ses diffĂ©rentes traditions culturelles et par ses nombreux poĂštes, hommes et femmes, qui font dâelle une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de poĂ©sie populaire (genre Melhoun) dans le Sud-ouest du pays».Chaque annĂ©e Abadla abrite une manifestation culturelle sur la poĂ©sie populaire et le folklore, sous lâĂ©gide de lâassociation culturelle locale Oued Guir et lâassociation cuturelle de wilaya de BECHAR RĂ©da Houhou.
Reflet de la révolution éditoriale dans la poésie populaire
La poésie populaire a été liée à la lutte du peuple algérien tout au long des étapes de son histoire révolutionnaire. à travers elle, les poÚtes ont exprimé leurs pensées et leurs positions sur la présence coloniale et ont enregistré des guerres sanglantes et des actes criminels de toutes sortes, y compris des meurtres, des tortures, des déplacements et des harcÚlements subis par le citoyen algérien. Gains de notoriété ou de prestige, ils cherchaient à dépeindre le drame d'une invasion coloniale qui visait sa religion, sa culture, ses coutumes et ses traditions, exposant la vie des citoyens à la misÚre et à la pauvreté et transformant leur sécurité en peur, l'horreur, la misÚre et la destruction pour tenter d'éliminer tout ce qui confirme l'authenticité et le statut de ce peuple de l'histoire et de la civilisation, mais cela est resté cohérent avec un motif instinctif. Authentique » rejette toute tentative de séparation ou de division depuis les temps anciens et tente de regarder constamment une seule patrie qui partage les préoccupations et la responsabilité comme elle partage le destin et la dépendance.
Ăconomie
Lâorganisation de la sociĂ©tĂ© repose une Ă©conomie communautaire, des perceptions provenant des rĂ©coltes et de lâĂ©levage des troupeaux ovins caprins et camelins ainsi que dâautres secteurs tels que lâadministration, le commerce et le transport.
La Mosquée du Rahma
- La Grande MosquĂ©e d'Abadla est dotĂ©e d'une salle de priĂšre d'une superficie de 2 000 m2, pouvant accueillir 2 000 fidĂšles. Au milieu se trouve le mihrab, rĂ©alisĂ© en bois de menuiserie sculpte, la salle est surmontĂ©e d'une coupole d'un diamĂštre de 5 mĂštres, culminant Ă une hauteur de 3 mĂštres. Le minaret est le plus haut minaret de la Daira dâAbadla, d'une hauteur de 40 mĂštres avec une plateforme d'observation au Nord de la mosquĂ©e de 2 000 m2. SituĂ© Ă proximitĂ© au Nord de la mosquĂ©e Rahma Ă la citĂ© de HAI DJORF lâĂcole coranique, accueille outre des dizaines de fidĂšles dĂ©sirant apprendre et rĂ©citer le coran.Elle est entourĂ©e dâune clĂŽture qui abritĂ© des arbres et des palmiers dattiers[25].
Personnalité
- Belaid Tahar Chercheur en patrimoine .
Notes et références
- [PDF]Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de Béchar, sur le site de l'ONS.
- Achille (1821-1881) Auteur du texte Fillias, L'Expédition de l'Oued-Guir 1870 . Récits militaires par Achille Fillias, (lire en ligne)
- « L'expĂ©dition Wimpffen Ă l'oued Guir en 1870 - une page de la conquĂȘte du Sahara (BrochĂ©) au meilleur prix | E.Leclerc », sur www.e.leclerc (consultĂ© le )
- Joseph Spitz, Histoire du 2e rĂ©giment de zouaves, rĂ©digĂ©e d'apres des documents inĂ©dits puisĂ©s aux archives historiques du MinistĂšre de la guerre: ouvrage accompagnĂ© de douze photogravures et de huit cartes et ornĂ© d'un dessin de Ădouard Detaille, LachĂšse et cie, (lire en ligne)
- « Journal officiel algérien no 63-35 du 31 mai 1963 : décret no 63-189 du 16 mai 63, portant sur la réorganisation territoriale des communes » (consulté le ), p. 549 et suivantes.
- Paris : CIHEAM, 1975. p. 99-107. (Options Méditerranéennes; n. 26). http://om.ciheam.org/om/pdf/r26/CI010597.pdf .
- INSTITUT NATIONAL DES SOLS DE LâIRRIGATION ET DU DRAINAGE, Etude de caractĂ©risation de lâĂ©tat actuel de la salinitĂ© et dâĂ©valuation de lâĂ©tat physique du rĂ©seau de drainage au niveau du pĂ©rimĂštre irriguĂ© dâAbadla (Wilaya de Bechar)., REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE LâAGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL, INSTITUT NATIONAL DES SOLS DE LâIRRIGATION ET DU DRAINAGE, , 1 Ă 25 pages (lire en ligne), p. 1 Ă 25 pages
- A.bouĂ©, « Le cheval de l'Oued Guir (petit barbe oranais) », Le cheval de l'Oued Guir (petit barbe oranais),â , Vol. 4 No 2 (1950) (lire en ligne [PDF])
- Karim Tedjani, « LE DĂVELOPPEMENT DURABLE EN ALGĂRIE », CHANGEMENT CLIMATIQUE, ĂNERGIE ET ENVIRONNEMENT,â , p. 01 Ă 46 (lire en ligne [01document])
- « Oued Guir , oued du Maroc et d'Algerie », algerie-dz.com ,Forum AlgĂ©rie,â , p. 3 (lire en ligne [document])
- Paul FITTE, « I.a vallĂ©e de l'Oued Guir (Confine AlgĂ©fo-Marocain») Une culture primitive inconnue », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique de France,â , p. 214 Ă 222 (lire en ligne [PDF])
- Coordination : Robert FEYS Cartographe : Charles DEREMETZ avec la collaboration de J. FABRE, CARTE INTERNATIONALE DES DĂPĂTS HOUILLERS EN AFRIQUE, SOUS L'EGIDE DE L'ASSOCIATION-DES SERVICES G E O L O G I Q U E S AFRICAINS, , 100 p. (lire en ligne), p. 23
- « Document.rtfdoui-menia », sur https://upload.wikimedia.org/
- « bladi.Algéria1962 :: le cadeau de la perle de la Saoura! », sur algerie1962.soforums.com (consulté le )
- rubrique paysanat, « Secteur d'amĂ©liorations rules de la vallĂ©e de guir », Alger,AlgĂ©rier,documents AlgĂ©riens,â , document n°36 de la sĂ©rie : Ă©conomique (lire en ligne [documents])
- Société de géographie d'Alger et de l'Afrique du nord, Bulletin provisoire, Société de géographie d'Alger., (lire en ligne)
- GĂ©nĂ©ral (CR) Jean DELMAS, « L'ĂVOLUTION DES BARRAGES FRONTIĂRES EN ALGERIE LA BATAILLE DES FRONTIĂRES », L'ĂVOLUTION DES BARRAGES FRONTIĂRES EN ALGERIE LA BATAILLE DES FRONTIĂRES,â (lire en ligne [document])
- https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/df/Document.rtfdoui-menia.pdf
- BENAOUDA, Tarek; EL AYADI, Wael, Conception dâune Ferme Pilote Ă ABADLA (BECHAR), http://di.univ-blida.dz:8080/xmlui/handle/123456789/951, MĂ©moires de master, , 185 p.
- Badr-Eddine Yousfi, Mutation de l'habitat : normalisation technique et implications sociales, pdf, Badr-Eddine Yousfi, mis en ligne sur cairn.info le 29/04/2014, Numéro 2013/4 (n° 44) (lire en ligne), Dans Le Sociographe 2013/4 (n° 44), pages 45 à 52
- ministÚre de l'habitat de l'urbanisme et de la ville, « Logement Rural » [https://www.mhuv.gov.dz/fr/logement-rural/%5D, sur https://www.mhuv.gov.dz/fr/logement-rural/, (consulté le )
- « Gnaoua,houbi et théatre : à corps défendu », sur Algerie-dz.com (consulté le )
- « ۧÙŰ«ÙۧÙŰ© ۧÙŰŽŰčŰšÙŰ© », sur www.folkculturebh.org (consultĂ© le )
- AlgĂ©rie presse service, « FĂȘte des expressions culturelles et artistiques de la Saoura Ă BĂ©char », La manifestation se tiendra ce week-end Ă Abadla,â algĂ©rie presse service.publiĂ© dans la tribune le 01 - 12 - 2016, https://www.djazairess.com/fr/latribune/122872 (lire en ligne [document])
- (ar) « ۧÙŰčۚۧۯÙŰ© », dans ÙÙÙÙŰšÙŰŻÙۧ,â (lire en ligne)