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École française Mlf de Thessalonique

Créé en 1906, l'École française Mlf de Thessalonique (en grec moderne : Γαλλικό Σχολείο Θεσσαλονίκης) est un établissement d'enseignement français à l'étranger situé à Thessalonique en Grèce et faisant partie du réseau mlfmonde de la Mission laïque française (Mlf) dont il est historiquement le plus ancien établissement[3] - [4] - [5].

École française Mlf de Thessalonique
Description de l'image École française de Thessalonique - entrée principale.jpg.
Identité
Devise Deux cultures, trois langues
Δύο πολιτισμοί, τρεις γλώσσες
Histoire et statut
Fondation 1906
Type Établissement géré en pleine responsabilité administrative, pédagogique et financière par la Mlf[1]
Administration
Directeur Caroline Geoffray[2]
Études
Population scolaire 125 (en 2017)
Niveaux délivrés De la toute petite section de maternelle à la terminale (Cned de la sixième à la terminale)
Niveaux homologués : primaire
Formation Diplôme national du brevet, Baccalauréat (séries ES, L et S)
Certifications en langues : français (DELF, DALF)
Langues grec moderne, anglais, allemand, italien, espagnol, latin, grec ancien
Localisation
Pays Drapeau de la Grèce Grèce
Site web efth.gr
Coordonnées 40° 37′ 16″ nord, 22° 57′ 25″ est
Géolocalisation sur la carte : Monde
(Voir situation sur carte : Monde)
École française Mlf de Thessalonique
Géolocalisation sur la carte : Europe
(Voir situation sur carte : Europe)
École française Mlf de Thessalonique
Géolocalisation sur la carte : Grèce
(Voir situation sur carte : Grèce)
École française Mlf de Thessalonique

Présentation

L'École française de Thessalonique propose un enseignement laïque, plurilingue et interculturel[6] - [7] aux 125 élèves qui composent son effectif, de la toute petite section de la maternelle à la terminale (cours du Cned de la sixième à la terminale, niveaux homologués par l'AEFE : primaire[8]). Elle prépare au diplôme national du brevet, au baccalauréat (séries : L, ES et S) et à la certification en français (DELF, DALF), et enseigne les langues suivantes : grec moderne, anglais, allemand, italien, espagnol, latin, et grec ancien[3]. La proximité de l'Institut français permet aux élèves de bénéficier d'activités d'éveil artistique telles que les arts plastiques, le théâtre et les ateliers d'écriture.

L'École française en 1912, appelée alors le Lycée français de Salonique[4].

Anciens élèves et enseignants

Notes et références

  1. Jean-Christophe Deberre (directeur de publication), Michel Bur (directeur de la rédaction), Aude Buclon (coordination) et Alexis Oukkal (conception et réalisation graphiques), Annuaire des établissements du réseau de la Mission laïque française OSUI 2017-2018, Mission laïque française, , 164 p. (ISSN 2260-8605, lire en ligne [PDF]), p. 10.
  2. Caroline Geoffray, « Présentation de l'École française de Thessalonique », sur YouTube, École française de Thessalonique, (consulté le ).
  3. Jean-Christophe Deberre (directeur de publication), Michel Bur (directeur de la rédaction), Aude Buclon (coordination) et Alexis Oukkal (conception et réalisation graphiques), Annuaire des établissements du réseau de la Mission laïque française OSUI 2017-2018, Mission laïque française, , 164 p. (ISSN 2260-8605, lire en ligne [PDF]), p. 115.
  4. André Thévenin, La Mission laïque française à travers son histoire : 1902-2002, Paris, Mission laïque française, , 240 p. (lire en ligne [PDF]), Les grands lycées d'Orient (1906-1914), « Le lycée pionnier : Salonique », p. 81-86.
  5. Lampros Flitouris, « La Mission laïque de Salonique : berceau et vecteur de la francophonie en Europe du sud-est de 1906 à la fin des années 1940 », Documents pour l’histoire du français langue étrangère ou seconde, no 54, , p. 97-115 (ISSN 2221-4038, lire en ligne, consulté le ).
  6. Aurélie Lemaître, « Mission laïque française : La laïcité comme pédagogie », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
  7. « Charte de l'association » [PDF], sur Mission laïque française, (consulté le ).
  8. Florence Noiville, « Francophonie grecque », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  9. Fabienne Darge, « Dimitris Dimitriadis en majesté à l'Odéon », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  10. Stéphane Baillargeon, « Hommage à Jean-Pierre Ronfard - Une carrière touffue », Le Devoir, (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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