William Paul Young
William Paul Young (nĂ© le Ă Grande Prairie, Alberta, Canada) est un Ă©crivain amĂ©ricain connu pour ĂȘtre lâauteur du roman La Cabane.
Naissance |
Grande Prairie, Alberta, Canada |
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Langue dâĂ©criture | anglais amĂ©ricain |
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Genres |
Ćuvres principales
Biographie
William Paul Young est l'aĂźnĂ© de 4 enfants. Il est nĂ© en Alberta, mais grandit dans les highlands de Nouvelle-GuinĂ©e occidentale, oĂč ses parents sont missionnaires, au sein du peuple tribal Dani avant de rejoindre un internat.
L'auteur réside actuellement à Happy Valley dans l'Oregon, est marié et a 6 enfants.
Dans une interview donnĂ©e au World Magazine, il indique ne plus ĂȘtre membre d'une Ă©glise et prĂ©fĂ©rer un rapport personnel hors institution avec Dieu[1].
En , il indique au magazine Maclean avoir Ă©tĂ© abusĂ© sexuellement Ă deux reprises, d'abord au sein du peuple Dani, ensuite dans l'internat chrĂ©tien oĂč il Ă©tudiait[2].
Travail littéraire
Dans un premier temps, sa production littéraire a pour but d'offrir des cadeaux à ses amis, jusqu'à ce que sa femme lui demande d'écrire quelque chose pour ses propres enfants, afin d'une part, de synthétiser et fixer sa pensée sur Dieu, et d'autre part pour entreprendre un travail thérapeutique intérieur[3]. Il en résulte un manuscrit, qui deviendra plus tard La Cabane, destiné dans un premier temps uniquement à ses enfants et amis proches[3]. Selon un article du New York Times, ce serait également pour regagner la confiance de sa famille aprÚs une aventure extra-conjugale[4]. Le livre est ainsi tiré dans un premier temps à 15 exemplaires. Sur les encouragements de ses amis, il soumet le manuscrit à des éditeurs, pour se voir opposer 26 refus. Young et ses amis créent alors leur propre maison d'édition, Windblown Media en 2007.
Ces informations proviennent uniquement des interviews données par l'auteur, sans que cela soit corroboré par des témoignages ou d'autres sources.
à la sortie de l'ouvrage, le budget publicitaire initial est de l'ordre de 200 $ et c'est par le biais du bouche à oreille qu'il atteint le classement du New York Times des meilleures de l'année 2008[4] - [5].
Il cite dans ses influences Jacques Ellul, George Macdonald, C. S. Lewis, Gibran, The Inklings, SĂžren Kierkegaard, A.W. Tozer, Maya Angelou et Don Miller.
Notes et références
- Références
- Susan Olasky, « Commuter-driven Bestseller », World Magazine,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « A God Who Looks Like Aunt Jemima », Maclean's,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- David G. Johnson, « Interview: William âPaulâ Young, Author of The Shack », sur Nourish The Dream, (consultĂ© le )
- Motoko Rich, « âThe Shack,â a Christian Novel, Becomes a Surprise Best Seller - NYTimes.com », sur New York Times, (consultĂ© le )
- « Aim at 'spiritually interested' sparks 'The Shack' sales », sur USA Today, (consulté le )
- Référence de traduction
- (en) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de lâarticle de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « William P. Young » (voir la liste des auteurs).
- Notice d'autorité