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Villafranca di Verona

Villafranca di Verona est une ville italienne de la province de Vérone en Vénétie.

Villafranca di Verona
Château de Villafranca de Vérone
GĂ©ographie
Pays
RĂ©gion
Province
Chef-lieu
Villafranca di Verona (d)
Superficie
57,43 km2
Altitude
54 m
Coordonnées
45° 21′ 00″ N, 10° 51′ 00″ E
DĂ©mographie
Population
33 117 hab.
Densité
576,6 hab./km2
Gentilé
villafranchesi
Fonctionnement
Statut
Identité
Saint patron
Identifiants
Code postal
37069
ISTAT
023096
Indicatif téléphonique
045
Immatriculation
VR
Site web
Carte

Histoire

Les origines de la ville

L'absence presque totale de dĂ©couvertes archĂ©ologiques dans Villefranche - si l'on exclu les dĂ©couvertes occasionnelles de tombes de l'âge nĂ©olithique, et surtout les gros blocs de pierre qui ont appartenu Ă  un monument dĂ©diĂ© Ă  l'empereur Tibère (Ier siècle apr. J.-C.), utilisĂ© comme base de la tour centrale du château, mais dont l'origine est toujours inconnue - suggère que la ville est vraiment une fondation rĂ©cente. 

Villafranca, en fait, officiellement nĂ© le , lorsque le Grand Conseil de VĂ©rone dĂ©cide la crĂ©ation d'un dĂ©partement habitĂ© Ă  l'extrĂ©mitĂ© ouest de la Campagne Veronese, Ă  la frontière avec Mantoue. Il a Ă©tĂ© promu Ă  l'arrivĂ©e de nouveaux colons avec la promesse de les rendre exempts de l'impĂ´t par ailleurs imposĂ© Ă  tous les habitants de la campagne (c'est le sens Ă©tymologique du nom de Borgo gratuit, Ă  savoir Villafranca). Ă€ chaque colon a Ă©tĂ© attribuĂ© 33 champs de VĂ©rone, 1 pour la maison et 32 pour les terres Ă  cultiver. Le but Ă©tait principalement la dĂ©fense du territoire contre Mantoue, le long de l'importante artère existant au moment de Rome, l'ancien Postojna, en un point très stratĂ©gique pour les communications. La ville de VĂ©rone a donnĂ© une si grande importance militaire Ă  Villafranca et construisit immĂ©diatement une structure fortifiĂ©e, autour du château de mutanasi (1243), et enfin, dans le cadre du Scaliger (1345-1355), l'axe d'un système dĂ©fensif qui, forteresses de Nogarole et Valeggio, Ă©tait le soi-disant MĂ©nagerie, un grand mur ponctuĂ© de tours et de forteresses qui peu de traces subsistent aujourd'hui. La fonction d'origine d'un avant-poste militaire a Ă©tĂ© maintenu inchangĂ© tout au long de la première pĂ©riode de la domination vĂ©nitienne (1405-1518). 

Puis, avec l'avènement de l'artillerie et la reconstruction des fortifications a eu lieu à Vérone dans les premières décennies du XVIe siècle, la situation a radicalement changé à Villafranca.La ville se transforme en un bureau de poste et sans inconvénient pour les commerçants et les transporteurs qui relient Mantoue, Vérone, tandis que le château, qui à la fin du XVe siècle, il abritait les maisons d'une petite communauté juive, est accordée en usufruit à privé.

Villafranca et le Risorgimento

Villafranca di Verona, l'une des rares villes italiennes Ă  se vanter d'une grande suprĂ©matie nationale, avait lors du Risorgimento Ă  la fois pour sa position gĂ©ographique et pour les clients importants qui ont alternĂ© entre ses maisons, ses rues, ses cafĂ©s, ses hĂ´tels. 

Ces jours-ci, la première ville de la province de VĂ©rone rappelle un Ă©vĂ©nement important qui a vu le jour en 1859 lors de la rĂ©union des empereurs François-Joseph Ier et NapolĂ©on III, pour mettre fin Ă  l'une des plus sanglantes compagnons militaires du XIXe siècle a culminĂ© dans les combats de Solferino et San Martino. Faites correspondre le passĂ© Ă  l'histoire comme la paix de Villafranca et prĂ©lude Ă  l'unification de l'Italie. La confĂ©rence des chefs de deux principaux pays europĂ©ens a eu lieu il y a cent cinquante ans, et a Ă©tĂ© la conclusion naturelle des Ă©vĂ©nements politiques qui ont eu lieu dans la semaine avant que l'empereur français ait proposĂ© aux Autrichiens une trĂŞve " l'intention de se reposer et de rĂ©organiser les troupes de l'armĂ©e qui avaient subi beaucoup de pertes le mois dernier. NapolĂ©on III Ă©tait couchĂ©, il savait que la guerre n'avait pas Ă©tĂ© suivie en France, avec l'enthousiasme initial et surtout la Prusse craindre, qui n'aimait pas l'Autriche, le pouvoir le plus important de la ConfĂ©dĂ©ration germanique, a Ă©tĂ© humiliĂ© par les Français et avait commencĂ© Ă  mobiliser son armĂ©e vers le Rhin, c'est Ă  la France accessible dans son armĂ©e engagĂ©e dans les domaines de la Lombardie et de la VĂ©nĂ©tie avec des alliĂ©s dans le PiĂ©mont.L'armistice a Ă©tĂ© conclu par les reprĂ©sentants des trois armĂ©es, le matin du dans une chambre de l'auberge Trois couronnes (dell'Oviesse du palais d'aujourd'hui) situĂ© dans la rue centrale de Via di Mezzo, la prĂ©sente Corso Vittorio Emanuele, et comprenait une suspension de activitĂ©s de guerre jusqu'au . 8 au de nombreuses lettres autographes ont Ă©tĂ© Ă©changĂ©s entre les deux souverains logĂ©s dans leurs sièges respectifs de Villa Maffei Valeggio et Carli palais de VĂ©rone, mettre au galop par les plus grands noms de l'aristocratie europĂ©enne qui ont Ă©tĂ© posĂ©es, entre d'un autre, une rencontre directe des deux souverains dans l'espoir de transformer l'armistice militaire en une paix durable. La rĂ©union a Ă©tĂ© acceptĂ©e. Dans la matinĂ©e du lundi , peu après sept heures de NapolĂ©on III Ă  gauche Valeggio Ă  un moment de Villafranca accompagnĂ© par l'ensemble de son personnel, de l'escadron de la cent par un escadron de gardes et desguides. Presque en mĂŞme temps est venu de VĂ©rone Franz Joseph qui Ă©tait aussi avec son personnel et escortĂ© par un escadron de la gendarmerie Ă  cheval et l'un des uhlans. Vers neuf heures, les Français sont arrivĂ©s Ă  Villafranca près de l'Ă©glise de San Giovanni della Paglia dirigeants a dit au revoir, lui serra la main et se dirigea d'un air affable Ă©quitation cĂ´te Ă  cĂ´te vers le centre, oĂą ils ont Ă©tĂ© accueillis avec dĂ©fĂ©rence par les reprĂ©sentants municipaux et Spellini Zugnoni et ensuite, dans le ghetto, dans la maison de Charles Gandini Recouvrement spĂ©cialement prĂ©parĂ© et que la Â«rĂ©union Ă©tait de faire cĂ©lèbre Ă  jamais. L'entrevue Ă©tait très sympathique, a durĂ© moins d'une heure, mais n'a pas Ă©tĂ© prĂ©parĂ© toute Ă©crite, verbale prĂ©liminaires n'ont Ă©tĂ© dĂ©finie pour une paix imminente. Après l'entrevue et sortit dans la rue, Franz Joseph accompagna NapolĂ©on III sur le chemin de Valeggio jusqu'Ă  ce que les dernières maisons du village. Ici, les deux souverains et dit au revoir Ă  nouveau pris la route chacun de leurs emplacements. Quand les nouvelles se rĂ©pandit que la VĂ©nĂ©tie, en vertu desprĂ©liminaires de Villafranca, est restĂ©e sous la domination autrichienne dans la patriotes italiens consternation Ă©tait Ă  son apogĂ©e. Mais le plus dĂ©sespĂ©rĂ© Ă©taient les VĂ©nitiens que des milliers ont fui en secret Ă  se joindre Ă  l'armĂ©e du PiĂ©mont ou les chasseurs des Alpes sous le commandement de Garibaldi et l'interruption de la guerre, avec la libĂ©ration de la Lombardie seul, les a placĂ©s Ă  la connaissance de leur foyers. Les Ă©vĂ©nements militaires et politiques ultĂ©rieures, de l'expĂ©dition des Mille Ă  la proclamation du royaume d'Italie, dans la campagne de 1866 qui a mis fin une Ă©poque, ils ont seulement retardĂ© de quelques annĂ©es la conception ambitieuse de Cavour travaillĂ© Ă  Plombières avec l'empereur des Français en comme une Ă©touffante (Nazario Baron)[1]

Économie

Villafranca di Verona a le siège d'Air Dolomiti[2].

Administration

Les maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.

Hameaux

Quaderni, Pizzoletta, Rosegaferro, Dossobuono, Caluri, Rizza, Alpo

Communes limitrophes

Castel d'Azzano, Mozzecane, Povegliano Veronese, Sommacampagna, Valeggio sul Mincio, VĂ©rone, Vigasio

Personnalités liées à la ville

Voir aussi

Notes et références

  1. (it) « Storia di Villafranca » (consulté le )
  2. "Siège social." Air Dolomiti. Consulté le 12 octobre 2012.
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