Villa Saint-Jacques
La villa Saint-Jacques est une voie du 14e arrondissement de Paris, en France.
14e arrt Villa Saint-Jacques
| |||
| |||
Situation | |||
---|---|---|---|
Arrondissement | 14e | ||
Quartier | Petit-Montrouge | ||
DĂ©but | 61-67, boulevard Saint-Jacques | ||
Fin | 20, rue de la Tombe-Issoire | ||
Morphologie | |||
Longueur | 183 m | ||
Largeur | 4,8 m | ||
Historique | |||
DĂ©nomination | 1909 | ||
Ancien nom | Passage Daguerre passage Gourdon |
||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 8872 | ||
DGI | 8649 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris
| |||
Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La villa Saint-Jacques est une voie publique située quartier du Petit-Montrouge, dans le 14e arrondissement de Paris. Elle débute au 61-67, boulevard Saint-Jacques et se termine au 20, rue de la Tombe-Issoire.
Entrée côté boulevard Saint-Jacques. Numéro 4. Bas-relief en frise du numéro 12.
Origine du nom
Elle porte ce nom en raison de son voisinage avec le boulevard Saint-Jacques.
Historique
La dénomination actuelle de cette ancienne voie du Petit-Montrouge, territoire de la commune de Montrouge annexé par la ville de Paris en 1860, s'est appelée successivement « passage Daguerre » puis « passage Gourdon » avant de recevoir sa dénomination actuelle en 1909[1] ».
Au niveau des numéros 15 et 17, la voie et une partie de ses parcelles cadastrales limitrophes — dont celle de l'ancienne ferme de Montsouris — se trouvent au-dessus de la carrière souterraine du chemin de Port-Mahon[1]. Le , un effondrement eut lieu, qui engloutit trois maisons construites douze ans auparavant. C'est à la suite de cet accident que fut pris l'arrêté du qui décida que les propriétaires de terrains situés sur d'anciennes carrières seraient tenus de consolider leur sous-sol avant d'édifier à la surface un bâtiment quelconque[2].
Notes, sources et références
- « Villa Saint-Jacques », sur paris.fr, (consulté le ).
- Gustave Cord, De la propriété spéléologique, thèse de doctorat, Université de Paris, faculté de droit, 1899, p. 120.