Vicq (Dordogne)
Vicq est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Vicq | |||||
L'Ă©glise Saint-Sauveur de Vicq. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Commune | Pressignac-Vicq | ||||
Statut | Ancienne commune | ||||
Code commune | 24578 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 53′ 55″ nord, 0° 44′ 43″ est | ||||
Historique | |||||
Fusion | 13 août 1960 | ||||
Commune(s) d'intégration | Pressignac-Vicq | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Depuis 1960, elle est intégrée à la commune de Pressignac-Vicq.
GĂ©ographie
Dans la partie nord-est du Bergeracois, au sud du département de la Dordogne, Vicq se trouve dans le secteur oriental de la commune de Pressignac-Vicq. Son territoire, situé sur les hauteurs entre Dordogne et Louyre, est arrosé par le ruisseau de Barbeyrol, principal affluent de la Louyre, et parcouru par le GR de Pays entre Dordogne, Louyre et Lindois sur environ sept kilomètres, passant par le bourg.
Le petit bourg de Vicq est desservi par la route départementale (RD) 36. L'autre voie locale importante est la RD 8, qui relie les bourgs de Grand-Castang et de Pressignac.
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1382, sous la forme Vicus[1]. En 1648, l'église ou la paroisse, Saint-Sauveur-de-Vicq, est notée parmi les bénéfices de l'évêché de Périgueux[1]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Vic[2].
L'étymologie de Vicq dérive du latin vicus signifiant « village, bourg », que l'on retrouve dans Neuvic[3].
Histoire
Vicq est une commune française créée à la Révolution[4].
Le , elle fusionne avec celle de Pressignac qui prend alors le nom de Pressignac-Vicq[5].
DĂ©mographie
Lieux et monuments
- L'église Saint-Sauveur de Vicq[6] a été bâtie au XIXe siècle sur des bases romanes[3], elles-mêmes succédant à un premier édifice carolingien[7]. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2017[7].
- Château de Vicq[8], à côté de l'église.
- Gentilhommière de Soulas, acquise en 1603 par la famille Gontier de Soulas[9].
- La nef de l'Ă©glise.
- Le mur nord de l'Ă©glise avec les gros moellons carolingiens sur la gauche.
- Le clocher.
- MĂ©morial dans l'Ă©glise.
- Le cimetière de Vicq.
- Stèle en mémoire du , à l'angle des RD 8 et 36.
Annexes
Articles connexes
Notes et références
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Vicq », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 30 mars 2017.
- « Vic » sur Géoportail (consulté le 12 avril 2022)..
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 275
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Vicq », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Commune de Vicq (24578), Insee, consulté le 12 avril 2022.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 186.
- « Église Saint-Sauveur », notice no PA24000095, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 avril 2022.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest année=1996, 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 292.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest année=1996, 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 272.