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Union académique internationale

L'Union acadĂ©mique internationale (UAI) est une association internationale sans but lucratif fondĂ©e en 1919 et dont le siĂšge administratif se trouve Ă  Bruxelles, au palais des AcadĂ©mies. Cette association rassemble des acadĂ©mies nationales et internationales issues de plus de soixante pays partout dans le monde. L’UAI est active dans le domaine des sciences humaines et sociales.

Union académique internationale
Histoire
Fondation
1919
Cadre
Sigle
UAI
Pays
Langue
Français, anglais
Organisation
Président
Samuel N.C. Lieu (en) (depuis )
RĂ©compense
Site web

L’Union veut crĂ©er une collaboration internationale entre ses diffĂ©rentes acadĂ©mies membres. De cette maniĂšre, l’Union offre aux membres une occasion de se rencontrer et collaborer sur des projets de moyen en long terme et de permettre Ă  participer au grand mouvement national et international de la recherche scientifique.

Le but de l’Union est d’encourager la coopĂ©ration dans l’avancement des Ă©tudes par la recherche collaborative et les publications collectives dans ces branches des sciences humaines et sociales cultivĂ©es par les acadĂ©mies et les institutions reprĂ©sentĂ©es au sein de l’UAI : philologie, archĂ©ologie, histoire, sciences morales, sciences politiques et sciences sociales. L’Union travaille pour promouvoir l’avancement du savoir, le dĂ©veloppement d’échanges scientifiques et pour soutenir les initiatives de toutes ses AcadĂ©mies.

Le français et l'anglais sont les langues officielles de l’Union.

Histoire

Création

L'Union a Ă©tĂ© fondĂ©e en 1919 Ă  l’initiative de l’AcadĂ©mie des inscriptions et belles-lettres. AprĂšs quatre annĂ©es de guerre, le monde avait un grand dĂ©sir de paix et de comprĂ©hension entre les diffĂ©rentes nations. Avec cet objectif Ă  l’esprit, la coopĂ©ration internationale fut encouragĂ©e dans toutes les rĂ©gions et Ă  tous les niveaux, y compris le travail intellectuel et scientifique.

Lors d’une rĂ©union tenue Ă  Paris en , des projets de statuts ont Ă©tĂ© prĂ©parĂ©s. Ils ont Ă©tĂ© rĂ©visĂ©s et adoptĂ©s plus tard, lors d’une deuxiĂšme rĂ©union, de nouveau Ă  Paris du 15 au . Le projet proposĂ© envisageait la coopĂ©ration universitaire internationale dans le domaine des sciences humaines.

Pendant ces assemblĂ©es, des reprĂ©sentants d’acadĂ©mies nationales de 11 pays ont adhĂ©rĂ© Ă  l’Union (la Belgique, le Danemark, la France, la Grande-Bretagne, la GrĂšce, l’Italie, le Japon, les Pays-Bas, la Pologne, la Russie et les États-Unis) et des acadĂ©mies nationales de trois autres pays ont donnĂ© leur accord sans ĂȘtre prĂ©sents (l’Espagne, la NorvĂšge et la Roumanie). Plus tard dans la mĂȘme annĂ©e, la Yougoslavie et le Portugal ont adhĂ©rĂ© Ă  l’Union. Actuellement, l’UAI a des membres provenant de plus de 60 pays provenant de partout dans le monde[1].

PremiÚre assemblée générale à Bruxelles

La premiĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale s’est tenue Ă  Bruxelles du 26 au . Lors de cette assemblĂ©e, Henri Pirenne est Ă©lu premier prĂ©sident de l’Union. Le siĂšge administratif de l’Union est Ă©tabli Ă  Bruxelles au palais des AcadĂ©mies. L’AcadĂ©mie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique est responsable du secrĂ©tariat de l’Union et le secrĂ©taire perpĂ©tuel est d’office le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral.

Pendant cette premiĂšre session, trois propositions d’entreprises ont Ă©tĂ© soumises : le Corpus vasorum antiquorum, les Manuscrits alchimiques et les ƒuvres de Grotius. Ces entreprises Ă  caractĂšre international ont depuis gagnĂ© les fĂ©licitations de chercheurs par la prĂ©cision mĂ©ticuleuse avec lesquelles elles ont Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©es.

Années suivantes

La troisiÚme session en statua sur les modalités d'actualisation du corpus des inscriptions latines (Corpus Inscriptionum Latinarum) et décida que chaque pays serait responsable de la mise à jour pour les zones géographiques qui le concernait[2].

Entre 1937 et 1947, il n’y a pas eu d’assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales en raison de la DeuxiĂšme Guerre mondiale et de toutes ses consĂ©quences. En 1949, l’UAI est fiĂšre d’avoir contribuĂ© Ă  la fondation du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines (CIPSH). En 1964, l’Union a reçu le prix Érasme pour son succĂšs dans la promotion de la collaboration internationale. En 1969, le 50e anniversaire de l’Union a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©e et une cĂ©rĂ©monie a eu lieu sous la coupole du prestigieux Institut de France Ă  Paris. En 1976, l’Union compte 31 pays membres et le nombre de ses entreprises est de 32. En 1995, le 75e anniversaire de l’Union a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ© Ă  Prague.

Actuellement, l’UAI patronne 94 entreprises, terminĂ©es ou en cours. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, le dĂ©veloppement fut lent (au total, 13 entreprises ont Ă©tĂ© adoptĂ©es). Pour le moment, le nombre d’entreprises est de 81[3]. L’UAI ne peut que rĂ©aliser ses entreprises par la coopĂ©ration internationale de ses acadĂ©mies membres.

Le 100e anniversaire aura lieu en 2019 à l’Institut de France à Paris.

Liste des présidents

Le président de l'UAI est élu par l'Assemblée générale pour un mandat de 4 ans[4].

Missions et objectifs de l'UAI

Les missions de l’Union acadĂ©mique internationale sont :

  • to encourage cooperation between national Academies (and comparable institutions) whose activities are mainly or partly concerned with the field of human and social sciences. This cooperation is achieved by leading projects of high scholarly and intellectual standard and by coordinating interdisciplinary and joint activities, conceived in full partnership, over the long and medium-term. These should result in the production of fundamental reference tools that enhance the knowledge and advance fundamental research, for the benefit of both the people involved in the research (scholars, experts, researchers,
) and the general public ;
  • prĂ©server et promouvoir les sciences humaines et sociales, aussi bien au niveau des acadĂ©mies nationales qu’au niveau international ;
  • dĂ©velopper une solidaritĂ© entre toutes les acadĂ©mies nationales et leurs membres, pourvu que les gens soient convaincus de la lĂ©gitimitĂ© et des avantages de cette solidaritĂ© et la coopĂ©ration internationale.

Afin de rĂ©aliser sa mission, l’UAI travaillera, durant les annĂ©es Ă  venir:

  • augmenter la coopĂ©ration inter-acadĂ©mique en multipliant les entreprises dont elle partagera ou initiera la direction ;
  • encourager toutes les organisations nationales qui sont actives en sciences humaines ou sociales Ă  adhĂ©rer Ă  l’UAI et Ă  dĂ©velopper ou Ă  coopĂ©rer Ă  des projets scientifiques de haute valeur reconnus au niveau international ;
  • reprĂ©senter au niveau international de maniĂšre collective et de maniĂšre dynamique, directement ou indirectement (en partenariat avec des organisations supranationales et/ou non gouvernementales), tant les AcadĂ©mies elles-mĂȘmes que leurs principes fondamentaux d’excellence.

Pour remplir sa mission et rĂ©aliser sa vision, l’UAI aura les objectifs suivants :

  • renforcer la progression et la rĂ©alisation des projets actuels et accroĂźtre leur pertinence de maniĂšre positive et critique, entreprendre des synthĂšses qui seront mises Ă  la disposition des AcadĂ©mies membres;
  • mettre au point une stratĂ©gie, qui tiendra compte de la nĂ©cessitĂ© de la diffusion de l’information dans la nouvelle sociĂ©tĂ© de l’information, stratĂ©gie qui sera mise Ă  jour lors d’évaluations pĂ©riodiques;
  • adapter le fonctionnement de ses organes de direction et de gestion et dĂ©velopper une image positive par une rĂ©Ă©valuation de façon critique de ses outils de communication;
  • accroĂźtre ses moyens financiers propres et ceux mis Ă  la disposition des projets par une recherche systĂ©matique de partenariat avec des fondations internationales publiques ou privĂ©es;
  • encourager les AcadĂ©mies membres Ă  participer plus activement aux projets en cours et Ă  Ă©tablir de nouveaux projets interdisciplinaires et internationaux;
  • renforcer sa prĂ©sence et sa participation dans les organisations internationales en augmentant sa visibilitĂ© dans ces lieux, en utilisant ses connaissances accumulĂ©es et celles de ses membres et en soulignant ses liens avec les moyens de communications globaux qu’ils ont mis en place.

Gestion

Bureau (Conseil d'administration)

Le Bureau est responsable de l’organisation de l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale et prĂ©side Ă  ses dĂ©libĂ©rations ; il contrĂŽle l'administration gĂ©nĂ©rale et l'avancement des travaux. Il a qualitĂ© pour prendre, dans l'intervalle entre des AssemblĂ©es gĂ©nĂ©rales, les mesures urgentes et, si c’est nĂ©cessaire, de convoquer une AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire.

Le Bureau a tous les pouvoirs de gestion et d’administration qui sont nĂ©cessaires ou utiles pour la rĂ©alisation des objectifs de l’association, Ă  l’exception de ceux qui sont spĂ©cifiquement rĂ©servĂ©s Ă  l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale.

Le Bureau est composĂ© d’un prĂ©sident, deux vice-prĂ©sidents, des prĂ©sidents d’honneur et de six membres. Tous sont Ă©lus pour un mandat de trois ans. Le SecrĂ©taire GĂ©nĂ©ral est Ă©galement membre du Bureau[6].

Assemblée générale

L'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale a lieu tous les deux ans et rassemble les reprĂ©sentants de chaque acadĂ©mie membre (appelĂ©s « dĂ©lĂ©guĂ©s »[7]). Depuis 2005, l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale est organisĂ©e Ă  chacune de ses sessions dans une de ses diffĂ©rentes AcadĂ©mies membres. Jusqu'en 2005, cette assemblĂ©e avait lieu tous les ans et Ă©tait organisĂ©e dans un endroit diffĂ©rent : une annĂ©e Ă  Bruxelles, une annĂ©e quelque part en Europe et une annĂ©e quelque part dans le monde (hors d’Europe).

En , l'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale s'est rĂ©unie Ă  Paris, Ă  l'Institut de France, oĂč elle a cĂ©lĂ©brĂ© son centenaire.

Secrétariat général

Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral est responsable de la coordination des activitĂ©s de l’UAI et reste attentif au suivi des diffĂ©rents projets. Il soutient le Bureau dans son traitement de la correspondance et l’ordre du jour de l’UAI et Ă  l’organisation des sessions annuelles. Depuis sa fondation, l’Union a son siĂšge dans le palais des AcadĂ©mies Ă  Bruxelles. L'AcadĂ©mie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique est responsable du secrĂ©tariat de l’UAI et son secrĂ©taire perpĂ©tuel est ex officio secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral.

Projets

Depuis la premiĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de 1920, le nombre de projets patronnĂ©s, soutenus ou suivis par l’UAI n’a cessĂ© d’augmenter. Tous ne sont pas actifs : certains projets sont terminĂ©s, d'autres ont Ă©tĂ© suspendus.

L’initiative d’un nouveau projet ne peut ĂȘtre prise que par une acadĂ©mie membre de l'UAI (par son dĂ©lĂ©guĂ© mandatĂ© Ă  cet effet) ou par le Bureau de l'UAI. La proposition doit contenir la dĂ©finition prĂ©cise de son sujet, une note explicative, le plan de travail et une estimation de la dĂ©pense et la responsabilitĂ© financiĂšre pour son exĂ©cution. Le projet doit Ă©tablir et maintenir des normes Ă©levĂ©es de recherche scientifique et doit avoir un caractĂšre international.

NuméroNom du projet Année d'adoption du projetSite
1Corpus vasorum antiquorum (CVA) 1920cvaonline.org
2Textes alchimiques 1920-
3ƒuvres de Grotius 1920-
4Droit coutumier d'Indonésie 1920-
5Dictionnaire du Latin médiéval 1920-
6aTabula Imperii Romani (TIR) 1957https://tir-for.iec.cat
6bForma Orbis Romani (FOR) 1922https://tir-for.iec.cat
7Documents historiques inédits concernant le Japon 1922-
8Éditions savantes 1928-
9/1Plato Latinus (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1937-
9/2aAristoteles Latinus (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1931-
9/2bAristoteles Semitico-Latinus (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1971-
9/3Avicenna Latinus (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1972-
9/4Averrois Opera (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1974-
9/5Arnau de Villanova (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1952-
9/6Opera Selecta (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1965-
9/7aPhilosophi Byzantini (Corpus Philosophorum Medii Aevi) 1974-
9/7bCommentaria in Aristotelem Byzantina (Corpus Philosophirum Medii Aevi) 1974-
10aCodices Latini Antiquiores (CLA) 1930-
10bChartae Latinae Antiquiores (ChLA) 1958-
11aConcordances et Indices de la Tradition Musulmane 1932-
11bEncyclopédie de l'Islam 1933-
12aMonumenta Musicae Byzantinae 1933-
12bCorpus Scriptorum de Re Musica 1981-
13Dictionnaire de la terminologie du droit international 1935-
14Catalogus Translationum et Commentariorum 1951-
15Dictionnaires Sumérien et Assyrien 1951-
16Corpus Vitrearum 1956-
17Bibliographie internationale de l'Art d'ExtrĂȘme-Orient 1957-
18Dictionnaire Pali 1958-
19Corpus des Troubadours 1961-
20Corpus Antiquitatum Americanensium 1962-
21ƒuvres complùtes d'Erasme 1964-
22Fontes Historiae Africanae (FHA) 1964-
23Dictionnaires 1963-
24Sources de la Philosophie de l'Art (Corpus Theoriae Artis) 1967-
25Histoire et Philologie de l'Iran pré-islamique et de l'Asie centrale 1972-
26Sylloge Nummorum Graecorum (SNG) 1972-
27Corpus Inscriptionum Iranicarum (CII) 1973-
28/aLexicon Iconographicum Mythologiae Classicae (LIMC) 1973-
28/bThesaurus Cultus et Rituum Antiquorum (ThesCRA) 1998-
29Lexiques polyglottes de Paléographie et de Codicologie 1974-
30Corpus constitutionnel 1975-
31Atlas Linguarum Europae (ALE) 1976-
32Bibliographies de l'Histoire de l'Art 1977-
33Inventaire critique du RĂąmĂąyana 1977-
34ƒuvres complùtes de Voltaire 1978-
35Index de l'Art Juif 1979-
36aAtlas linguistique de la Zone pacifique (LAPA) 1979-
36bAtlas linguistique de la Chine 1979 -
36cAtlas des langues de Corée 1979 -
37Corpus des Manuscrits littéraires coptes 1979 -
38Nouveau Glossaire nautique (JAL) 1980-
39Langues de Communication interculturelle dans l'HĂ©misphĂšre Pacifique 1982-
40aCorpus de la Peinture monumentale Byzantine 1985-
40bCorpus de la Peinture murale mexicaine en Amérique 1997-
41Corpus des Astronomes Byzantins 1985-
42Corpus des papyrus philosophiques Grecs et Latins 1987-
43Corpus Iuris Sanscriticum 1987-
44Corpus des Antiquités Phéniciennes et Puniques 1990-
45Nouveau Recueil complet des Fabliaux (NRCF) 1990-
46Corpus Christianorum, Series Apocryphorum 1990-
47Corpus Iuris Islamici (Encyclopédie du Droit islamique) 1990-
48Atlas du Monde Grec et Romain 1993-
49Epigraphie amphorique 1993-
50Dictionnaire Sanscrit des Textes Bouddhiques provenant des DĂ©couvertes de Turfan 1994-
51Monumenta Palaeographica Medii Aevi 1995 -
52Clavis Monumentorum Litterarum Bohemiae (CMLB) 1995-
53Catalogue des Collections des Manuscrits orientaux 1996-
54Sources pour l'histoire du théùtre en Espagne 1996-
55Sources narratives pour l'Histoire du Rio de la Plata et du Chili 1997-
56Sciences humaines en Europe centrale et orientale 1997-
57Moravia Magna 1997-
58Encyclopaedia Iranica 2002https://www.iranicaonline.org
59Corpus Fontium Manichaeorum 1998-
60Norse-Icelandic Skaldik Poetry of the Scandinavian Middle Ages 2001-
61Monde scytho-sarmate et Civilisation gréco-romaine 2001-
62Compendium Auctorum Latinorum Medii Aevi 2001-
63Dictionnaire espagnol des Termes littéraires internationaux 2003-
64Dictionnaire du Moyen Perse 2003-
65Corpus Epistolarum Ioannis Dantisci 2003-
66Histoire comparée des Littératures de Langues européennes 2003-
67La Chine et le Monde méditerranéen : Sources archéologiques et documents écrits 2004-
68Encyclopaedia of Indian Poetics 2005-
69Hobogirin 2005-
70Iusti Lipsi Epistolae 2005-
71Corpus Humanisticarum Praefationum 2005-
72Papyrus-Archives. Edition and Studies 2005-
73Corpus Rubenianum Ludwig Burchard 2005-
74L'École de MĂ©decine de Salerne 2007-
75Epistolae Pontificum Romanorum 2007-
76Greek-Old Church Slavonic Lexicon-Index 2007-
77Inscriptions grecques et latines 1922-
78Supplementum Epigraphicum Graecum (SEG) 1974-
79Codices Graeci Antiquiores 2011-
80Corpus Limitis Imperii Romani 2011-
81Philologia Coranica 2011-
82English Translation of the Annals of the Joseon Dynasty of Korea 2012-
83Fontes inediti numismaticae antiquae (FINA) 2013-
84Correspondance de Johannes Hevelius 2013-
85The Mediterraneen Towns : items for development 2015-
86Varieties of English in the Indo-Pacific Region 2015-
87Tabula Imperii Byzantini 2015-
88Medieval European Coinage 2015-
89Ptolemaeus Arabus et Latinus 2015https://ptolemaeus.badw.de
90Dictionnaire Babylonien 2015-
91 Corpora of Pre-Modern Christian Orthodox Mural Painting 2017
92 L'Homme face aux changements de climat dans la préhistoire 2017
93 Corpus des Primitifs flamands 2019
94 Monnaies anciennes du Japon 2019

Notes et références

  1. Liste des académies membres sur : http://www.uai-iua.org/cgi?usr=tugkgj3kgg&lg=en&pag=1111&rec=0&frm=0&par=aybabtu&id=4536&flux=57602530 « Copie archivée » (version du 19 janvier 2015 sur Internet Archive)
  2. Halkin Léon, compte-rendu de lecture de : Espérandieu (Emile), « Inscriptions latines de Gaule (Narbonnaise) », Revue belge de philologie et d'histoire, 1931, vol. 10, no 1, p. 254
  3. Liste des projects (entreprises) sur : http://www.uai-iua.org/cgi?usr=tugkgj3kgg&lg=en&pag=1114&rec=0&frm=0&par=aybabtu&id=4539&flux=57602753 « Copie archivée » (version du 9 janvier 2014 sur Internet Archive)
  4. Jean-Luc De Paepe, Pierre Jodogne, Isabelle Algrain (eds.), D’une rĂ©publique de savants Ă  une communautĂ© de chercheurs. Regards sur l’histoire de l’Union AcadĂ©mique Internationale (UAI), 1919-2019, Turnhout, Brepols, , 220 p. (ISBN 978-2-503-58555-0)
  5. (ca) Albert Balcells i GonzĂĄlez, Cent anys d’histĂČria de l’Institut d’Estudis Catalans, Institut d'Estudis Catalans, , 12 p. (lire en ligne)
  6. Liste des Membres du Bureau sur : http://www.uai-iua.org/cgi?usr=694qaayc58&lg=en&pag=1123&rec=0&frm=0&par=aybabtu&id=4322&flux=58169599 « Copie archivée » (version du 10 août 2014 sur Internet Archive)
  7. Liste des délégués sur : http://www.uai-iua.org/cgi?usr=694qaayc58&lg=en&pag=1112&rec=0&frm=0&par=aybabtu&id=4320&flux=58595940 « Copie archivée » (version du 10 août 2014 sur Internet Archive)

Voir aussi

Liens externes

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