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Une fois les mythes rentrés chez eux

Une fois les mythes rentrés chez eux (titre original : After the Myths went Home) est une nouvelle fantastique et de science-fiction de Robert Silverberg, s'inscrivant dans le cadre de la « science-fiction new wave ».

Une fois les mythes rentrés chez eux
Publication
Auteur Robert Silverberg
Titre d'origine
After the Myths went Home
Langue Anglais américain
Parution
The Magazine of Fantasy & Science Fiction
Intrigue
Genre Fantastique
Science-fiction
Nouvelle précédente/suivante

Il ne faut pas confondre cette nouvelle avec la nouvelle de Fritz Leiber au titre homophone Si les mythes m'étaient contés.

Publications

Entre 1969 et 2014, la nouvelle a été éditée à vingt-deux reprises dans des recueils de nouvelles de Robert Silverberg ou des anthologies de science-fiction[1].

Publications aux États-Unis

La nouvelle est parue en chez The Magazine of Fantasy & Science Fiction sous le titre After the Myths went Home.

Elle a ensuite été régulièrement rééditée dans de nombreux recueils de Robert Silverberg et diverses anthologies.

Publications en France

La nouvelle a été publiée en France[2] :

Publications aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne

La nouvelle a été publiée :

  • aux Pays-Bas sous le titre Nadat de Mythen naar Huis Gingen (1976)[3] ;
  • en Grande-Bretagne dans l'anthologie To the Dark Star (1991) sous le titre After the Myths Went Home[4].
  • en Croatie sous le titre Kad su mitovi otišli (1983).

Résumé

Le récit débute ainsi : « En ce temps-là, nous faisions revivre les grands personnages du passé pour voir ce qu'ils avaient été en réalité. C'était vers le milieu des années 12000 — disons entre 12400 et 12450. ».

Le savant Léor fait revenir à la réalité des personnages illustres et historiques, puis des dieux et des héros de l'Antiquité. Tous ces gens là occasionnant beaucoup de nuisances, on finit par les renvoyer chez eux. Et lorsque des extraterrestres viennent asservir l'Humanité, les hommes n'ont plus de références mythologiques pour les aider.

La nouvelle se termine ainsi : « Mais les dieux restent silencieux et les héros ne viennent plus. La machine qui scintillait dans le Palais de l'Homme est brisée. Et Léor, son constructeur, n'est plus de ce monde. Les chacals courent dans nos jardins, nos maîtres arpentent nos rues, nous ne sommes plus que des esclaves. Nous sommes seuls sous le ciel effrayant. Définitivement seuls. »

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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