Toussaintia hallei

Son épithète spécifique hallei rend hommage au botaniste Nicolas Hallé qui récolta le premier spécimen le 2 juillet 1966 aux mines de fer des monts Belinga au Gabon, à une altitude de 950 m[2].

C'est une liane dont Nicolas Hallé décrit la fleur comme « très belle, visible de loin, épanouie au soleil en fin de matinée, tournée vers le haut, ainsi que les boutons »[3].

Très rare, l'espèce n'est connue que de deux sites, l'un au Gabon (Bélinga), l'autre au Cameroun, dans la Région de l'Est, au nord-est de Moloundou[4].

• Annick Le Thomas, « Présence du genre Toussaintia (Annonacée) au Gabon », in Adansonia, série 2, 1967, n° 7(1), p. 97-100
• Annick Le Thomas Annonacées, coll. « Flore du Gabon », Museum national d'histoire naturelle, Laboratoire de phanérogamie, Paris, 1969, 371 p.
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 69-70

• (en) Référence Catalogue of Life : Toussaintia hallei Le Thomas (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 16 janvier 2018)
• (en) Référence The Plant List : Toussaintia hallei Le Thomas (source : Tropicos.org) (consulté le 16 janvier 2018)
• (en) Référence Tropicos : Toussaintia hallei Le Thomas (+ liste sous-taxons) (consulté le 16 janvier 2018)