Tokelau aux Jeux du Commonwealth
Les Tokelau, territoire de facto autonome mais de jure sous la souveraineté de la Nouvelle-Zélande, ne participent pas en tant que nation aux Jeux du Commonwealth. Les athlètes de l'archipel concourent avec la délégation néo-zélandaise. À l'inverse de Niue et des îles Cook, États en libre association avec la Nouvelle-Zélande et qui envoient leurs propres délégations aux Jeux.
Tokelau aux Jeux du Commonwealth | ||||
Association | aucun | |||
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Participation | aucune | |||
Tokelau aux Jeux du Commonwealth | ||||
L'archipel de moins de 1 500 habitants possède peu de sportifs de niveau international en dehors de la sphère Pacifique, mais a exprimé un temps le désir de faire ses débuts aux Jeux du Commonwealth de 2010, à Delhi[1], sans que cela n'aboutisse.
Un nouveau pas a été franchi en 2018[2] avec l'entrée de Tokelau à la gouvernance de l'UWW (ex-FILA)[3]. Le projet de reconnaissance[4] est porté en autres par le lutteur gréco-romain Ilai Elekana Manu qui a plusieurs fois été plusieurs fois médaillé aux championnats d'Océanie de lutte[5].
Pour être reconnu par la Fédération des Jeux du Commonwealth, Tokelau doit avoir au moins cinq fédérations sportives reconnues dans les organismes internationaux.