Thomas Solignac

Pendant ses études d'ingénierie logicielle à l'Epitech, il mène des études de philosophie à Paris X, intègre le laboratoire d'intelligence artificielle de l'Epitech, et commence à enseigner la programmation, l'Intelligence Artificielle et le management de l'innovation[1].

Durant ses études, il travaille également plusieurs années à la création d'une technologie d'intelligence artificielle destinée à la compréhension automatique du langage (NLP / NLU) multilingue, basée sur la linguistique et le raisonnement[1]. Thomas Solignac revendique une alternative au deep-learning, inspirée par les travaux du linguiste américain Noam Chomsky et par l'approche symbolique de l'Intelligence Artificielle[2].

À partir de ces travaux, il créé en 2016 la société Golem.ai avec 3 associés, s'intéressant aux applications de l'IA de compréhension du langage pour les entreprises. La société lève 1,3 millions d'euros[3] et lance sa commercialisation en 2018[4], puis commence à travailler avec le ministère des armées un an plus tard[5]. En 2021, la société qui compte 30 collaborateurs, lève 5 millions d'euros[6].

Il crée en 2018 le meetup parisien mensuel AI & society, qui propose des conférences au croisement d'une lecture technologique, business et sociétale de l'IA[7] - [8].