The Camomile Lawn
The Camomille Lawn est une mini-série britannico-australienne en cinq épisodes réalisée par Peter Hall et diffusée du au sur Channel 4. Il s'agit d'une adaptation du roman éponyme de Mary Wesley, paru en 1984.
Type de série | Mini-série |
---|---|
Genre | Drame, guerre, romance |
Création | Ken Taylor |
Production |
Sophie Balhetchet Glenn Wilhide |
Acteurs principaux |
Jennifer Ehle Tara Fitzgerald Felicity Kendal Claire Bloom |
Musique | Stephen Edwards |
Pays d'origine |
Royaume-Uni Australie |
Chaîne d'origine |
Channel 4 ABC |
Nb. de saisons | 1 |
Nb. d'Ă©pisodes |
4 (diffusion originale) 5 (Ă©dition DVD US) |
Durée | 64 minutes |
Diff. originale | – |
Cette mini-série est inédite dans tous les pays francophones.
Distribution
- Felicity Kendal : Helena
- Claire Bloom : Sophie, âgée
- Jennifer Ehle : Calypso
- Richard Johnson : Oliver, âgé
- Rebecca Hall : Sophy
- Nicholas Le Prevost (en) : Hamish / Hector
- Paul Eddington (en) : Richard
- Oliver Cotton (en) : Max
- Virginia McKenna : Polly, âgée
- Trudy Weiss : Monika
- Vivienne Ritchie : Iris
- John Elmes : James
- James Gaddas (en) : Tony
- Tara Fitzgerald : Polly
- Polly Adams (en) : Sarah
- Toby Stephens : Oliver
- Jeremy Brook : Paul
- Joss Brook : David
- Rosemary Harris : Calypso, âgée
Épisodes
Les quatre ou cinq épisodes, sans titre, ont été réalisés par Peter Hall et scénarisée par Ken Taylor (en).
Autour de la série
La mini-série marque les débuts à la télévision de Jennifer Ehle, alors âgée de 22 ans. Elle incarne le personnage de Calypso, tandis que sa mère, Rosemary Harris tient le rôle de Calypso âgée[1]. La mini-série a fait beaucoup parler dans les tabloïds au moment de sa diffusion en raison des scènes de nues et de sexe, notamment entre le personnage d'Ehle et celui de Toby Stephens, avec qui elle avait une relation à l'époque[2]. De plus, Ehle avouera dans une interview avoir été « physiquement malade après le tournage de certaines scènes » et ayant eu « un choc » en voyant une photo d'elle seins nus dans un journal, tout en ajoutant qu'elle était « étonnée par la réaction des gens »[2]. Mais sa mère adopta une attitude différente à la sienne, disant que « c'est génial d'être un symbole de quelque chose d'aussi merveilleux que le sexe »[2].
La mini-série marque également les débuts de Rebecca Hall, alors âgée de dix ans, qui n'est autre que la fille du réalisateur Peter Hall.
Notes et références
- (en) Dave Kehr, « AT THE MOVIES; A Resemblance? It's Only Natural », sur The New York Times, (consulté le )
- (en) Jane Mulkerrins, « Jennifer Ehle: on nude scenes, Pride and Prejudice and why she doesn't want fame », sur The Telegraph, (consulté le )