Surfrider Foundation Europe
Surfrider Foundation Europe est une organisation non gouvernementale internationale (ONGI) environnementale à but non-lucratif créée en 1990 ayant pour but « la protection et la mise en valeur de l'océan, du littoral, des vagues, des lacs, des rivières et de toutes les populations qui en jouissent »[1].
Protecting the ocean since 1990 |
Fondation |
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Sigles |
(en) SFE, SFE |
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Zone d'activité | |
Type | |
Forme juridique | |
Structure |
Organisation Non-Gouvernementale |
Domaine d'activité |
Gestion des jardins botaniques et zoologiques et des réserves naturelles |
Objectif | |
MĂ©thode |
Expertise scientifique Education et sensibilisation Plaidoyers politiques |
Siège | |
Pays |
Membres |
1 500 () |
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Volontaires |
1 800 () |
Président |
Gilles Asenjo |
Vice-président |
Nathalie Van Den Broeck |
Direction |
Florent Marcoux |
Trésorier |
Jean-Louis Rodriguez |
Affiliation | |
Chiffre d'affaires |
3 781 767 euros () |
Site web |
Surfrider Foundation Europe fait partie du consortium international Surfrider Foundation.
Historique
Surfrider Foundation Europe a été créée à Biarritz (France) en 1990 par un groupe de surfeurs désireux de préserver leur terrain de jeux, dont le plus emblématique d'entre eux Tom Curren, triple champion du monde de surf et désormais ambassadeur de l'association. Lors de sa création, Surfrider Foundation Europe reprend les objectifs poursuivis par l'organisation mère Surfrider Foundation, fondée en 1984 aux États-Unis.
Organisation
Le siège de Surfrider Foundation Europe se situe en France, dans sa ville d'origine Biarritz. L'association dispose de 5 bureaux territoriaux de mise en œuvre des projets (Marseille, Bordeaux, Saint Sébastien, Barcelone, Hambourg) et 2 bureaux de pilotage des actions de plaidoyers politiques (Paris et Bruxelles).
Surfrider Foundation Europe compte 46 antennes bénévoles réparties dans 11 pays européens (Allemagne, Belgique, Bulgarie, Danemark, Espagne, France, Irlande, Italie et Suisse).
Pour son fonctionnement, l'association emploie 39 personnes salariées.
Secteurs d'intervention
Qualité de l'eau et santé
Des bénévoles effectuent des prélèvements pour Surfrider, de façon hebdomadaire ou bimensuelle, selon la période de l'année. Ils sont ensuite analysés dans les laboratoires de l'association. C'est à partir de ces prélèvements et de recherches effectuées sur les côtes françaises et espagnoles en 2015 que la Surfrider Foundation Europe a pu rendre public en avril 2016 un rapport sur la pollution plastique des océans[2].
Par ailleurs, de 1997 à 2005, la Surfrider Foundation Europe établissait tous les ans une liste des plages les plus polluées, par le biais de l'attribution de « pavillons noirs »[3].
DĂ©chets aquatiques
Des nettoyages des plages ont lieu tous les ans, dans le cadre de ce que la fondation nomme les Initiatives océanes. En 2016, une grande opération nationale s'est tenue du 17 au 20 mars[4].
Campagnes notables
Webdocumentaires
Dans le cadre de la COP21, la Surfrider Foundation Europe a mis en ligne une série de Web-documentaires animés sur le climat, intitulée Climax[5].
La caravane fluviale
Du mois de mai au mois de , la fondation Surfrider a lancé une campagne sensibilisation en Gironde. L'idée est de retracer le chemin des déchets du fleuve à l'océan avec l'aide d'un bateau[6].
Notes et références
- « PDF », sur developpement-durable.gouv.fr (consulté en ).
- « Pollution marine: les ravages des déchets en plastique de l'homme », sur rfi.fr, (consulté en ).
- « Organiser un nettoyage de plages, de lacs et de rivières avec les Initiatives Océanes », sur consom-acteur.com (consulté en ).
- « Grand week-end de nettoyage des plages avec la Surfrider Foundation, partout en France », sur reporterre.net, (consulté en ).
- « Et vous le changement climatique, ça vous fait quoi ? », sur lequipe.fr, (consulté en ).
- « En route vers l’océan avec Surfrider Foundation - Sud Ouest », (consulté le ).