Stade Ernest-Argelès
Le stade Ernest-Argelès est un stade de rugby à XV et à XIII de 4 000 places assises situé à Blagnac dans la Haute-Garonne.
| Adresse |
chemin des Ramiers 31700 Blagnac |
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| Clubs résidents |
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| Capacité |
4 000 |
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| Coordonnées |
43° 38′ 13″ N, 1° 24′ 06″ E |
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C'est aussi, jusqu'en 2020, le stade oĂą se jouent les rencontres de rugby Ă XIII Ă domicile du Toulouse olympique XIII qui Ă©volue dans le championnat de rugby Ă XIII anglais de Championship, la division en dessous de la Super league.
DĂ©signation
Le stade Ernest-Argelès est situé sur le complexe sportif du Ramier de Blagnac, en bord de Garonne.
Il y accueille les matchs à domicile du Blagnac rugby, actuellement en Fédérale 1, mais qui était en Pro D2 lors de la saison 2007-2008. Depuis 2013, le Blagnac rugby féminin, anciennement Saint-Orens rugby féminin, y dispute ses rencontres de Top 8 féminin.
Le stade présente plusieurs avantages ; la présence de deux tribunes couvertes (Ouest Honneur et Est), une brasserie à l'entrée, des cabines pour les médias, et un parking à proximité, qui ne lui est pas propre, mais qui est celui d'un parc arboré voisin, près de l'ile de la Pécette.
Transport
Il est desservi par la ligne de Tram T1, et la ligne de bus 70 [1].
Historique
Le stade municipal des Ramiers a été baptisé stade Ernest-Argelès en hommage à Ernest Argelès, ancien président du club (Blagnac sporting club rugby) de 1948 à 1971.
L'entrée principale.
La plaque à Ernest Argelès.
La tribune principale.
Le stade, qui héberge également le Toulouse olympique XIII, fut également le théâtre d'une première et d'un match épique : le premier match opposant deux équipes de rugby à XIII non-britanniques dans le cadre d'une compétition officielle, puisqu'il accueillit le match de Championship Toulouse- Toronto le lundi [2]. Les locaux ne furent en effet battus que de deux points (22-24) devant plus de 3000 spectateurs [3]
Notes et références
- « Calculez votre itinéraire », sur Tisseo.fr
- « Un sommet franco-canadien », sur ladepeche.fr,
- « Victime de la tactique du désordre », sur ladepeche.fr,