Ski sur aiguilles de pins
Le ski sur aiguilles de pins est un sport de pleine nature qui se pratique sur les dunes du littoral aquitain principalement, notamment Ă Arcachon en Gironde et Ă Mimizan dans les Landes.
La piste d'Arcachon
Ouverte en 1938, la piste d'Arcachon a servi à l'entrainement au slalom, à la descente et même au saut à ski. Elle était longue de 250 m et haute de 60 m. Enfin elle offrait de très bonnes conditions de glisse grâce à la qualité du revêtement, bien plus glissant que le sable[1]. Chaque année, de 1947 jusqu'aux années 1970, se courait sur la piste d'Arcachon la dernière compétition officielle de ski figurant sur le calendrier officiel de la fédération française de ski au même titre que Chamonix ou Megève [2].
En 2007, est créée une association pour la réhabilitation de la piste de ski sur aiguilles à Arcachon. Leur projet est de pouvoir glisser toute l'année sur aiguilles. Raphaël Poirée et Carole Montillet sont les parrains de cette association[3].
La piste de La Baule
En 1959, à La Baule une piste de ski sur aiguilles de pin voit le jour sur la dune de la Sablière de la Jô[4] - [5].
Vendée
En Vendée à La Barre-de-Monts, la petite station balnéaire se transforme en station de ski avec une descente en luges sur aiguilles de pin[6].
Notes et références
- « Ski sur aiguilles de pins à Arcachon », sur AquitaineOnLine (consulté le ).
- « Arcachon », sur Stations de ski fantômes, (consulté le ).
- « bfmtv.com/mediaplayer/video/sk… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- https://labaule.maville.com/actu/actudet_-il-y-a-50-ans-on-skiait-a-la-baule-_52722-2036997_actu.Htm
- https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/la-baule-44500/la-baule-il-y-60-ans-faisait-du-ski-sur-les-dunes-5168646
- Julie Urbach, « En Vendée, pas besoin de neige pour les randos en raquettes et les descentes en luge », 20 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « La piste de ski sur aiguilles de pin d’Arcachon plus que jamais d’actualité », blog de Laurent Hequily, (via archive.org)