Sinfonietta nº 2 de Lokchine
La Sinfonietta nº 2 de Lokchine, est une petite symphonie avec soprano et orchestre de chambre en un seul mouvement, composée en 1985, par Alexandre Lokchine sur des poèmes russes de Fiodor Sologoub. Elle est créée à Moscou en 1988, par la soprano Raisa Levina et l'orchestre du théâtre expérimental de Moscou, sous la direction d'Eduard Gulbis.
Sinfonietta nº 2 | |
Genre | Petite symphonie |
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Nb. de mouvements | 1 |
Musique | Alexandre Lokchine |
Texte | Fiodor Sologoub |
Langue originale | russe |
Effectif | soprano et orchestre de chambre |
Durée approximative | 16 minutes |
Dates de composition | 1985 |
Création | 1988 Moscou |
Interprètes | Raisa Levina, soprano ; orchestre du théâtre expérimental de Moscou, dir. Eduard Gulbis. |
Histoire
Lokchine choisit pour son second Sinfonietta, des poèmes du poète russe Fiodor Sologoub (1863–1927), considéré comme un décadent[1], qu'il avait déjà mis en musique deux ans plus tôt dans Trois poèmes d'après Fiodor Sologoub pour un effectif comparable avec soprano. Le second Sinfonietta est la toute dernière œuvre achevée du compositeur, deux ans avant sa mort.
Mouvement
Le Sinfonietta est constitué d'un seul mouvement. = 60
Durée : 16 minutes
Textes
« Недотыкомка серая |
« » |
« Мы – плененные звери, |
« » |
« О, смерть! Я твой. Повсюду вижу |
« Ô mort — Je suis à vous ! Partout |
Instrumentation
Instrumentation du Sinfonietta no 2 |
Cordes |
premiers violons, seconds violons, altos,violoncelles, contrebassesharpe |
Bois |
flûte, hautbois, cors anglais,2 clarinettes en la, clarinette basse,basson |
Cuivres |
cor, trompette, trombone, |
Percussions |
timbales, triangle, wood-blocktambour, gong, tam-tam, cloche |
Édition
La partition est publiée par Le Chant du monde.
Discographie
- Sinfonietta no 2 - recreation – Großes Orchester Graz, dir. Michel Swierczewski (, BIS CD-1556)[2]
Bibliographie
Notices discographiques
- Josef Beheimb (dirigé par Michel Swierczewski), « Les fleurs du mal ; Sinfonietta no 2 », p. 21–26, BIS CD-1556, 2009.
Notes et références
- Beheimb 2009, p. 26.
- Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Pierre-Émile Barbier d'un Diapason d'or no 580.
Liens externes