Rue Laugier
La rue Laugier est une voie du 17e arrondissement de Paris, en France, qui donne notamment accès à la promenade Rosemonde-Pujol et à la promenade Thérèse-Pierre, en mémoire des deux résistantes.
17e arrt Rue Laugier
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Situation | |||
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Arrondissement | 17e | ||
Quartier | Ternes | ||
DĂ©but | 23, rue Poncelet | ||
Fin | 7, boulevard Gouvion-Saint-Cyr | ||
Morphologie | |||
Longueur | 805 m | ||
Largeur | 10 m | ||
Historique | |||
DĂ©nomination | 1864 | ||
Ancien nom | Rue de la Chaumière | ||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 5314 | ||
DGI | 5391 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
La rue Laugier est une voie publique située dans le 17e arrondissement de Paris. Elle débute au 23, rue Poncelet et se termine au 7, boulevard Gouvion-Saint-Cyr.
Origine du nom
Elle porte le nom d'André Laugier (1770-1832), membre de l'Académie de médecine.
Historique
Cette voie, initialement située sur le territoire de la commune de Neuilly, qui longeait les murs du jardin du château des Ternes est indiquée sur le plan de Roussel de 1730.
Rattachée à la voirie de Paris par décret du sous le nom de « rue de la Chaumière », elle prend sa dénomination actuelle par décret du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
Cette voie comprend quelques lieux notoires :
- au no 20 : lieu de naissance le de Claude Dellys, aviateur, pilote d'essai et résistant, mort dans un accident d'avion le ;
- au no 25 : un atelier d'artiste en cours de surélévation fin 2021 ;
- au no 27 : une des fameuses plaques fantaisistes déposées ici et là sur les façades parisiennes[1] - [2], celle-ci à la mémoire de Ronald Judd ;
- au no 44 : atelier du peintre Théo Van Rysselberghe (1862-1926) en 1901[3] ;
- au no 82 : ambassade du Mozambique en France.
- L'atelier au no 25 et la plaque fantaisiste au no 27.
- Plaque fantaisiste au no 27.
- Ambassade du Mozambique.
Notes et références
- [PDF], La gazette du Canal, no 33, hiver 2002/2003, p. 9-10, [lire en ligne].
- « Epigraphie immobilière parisienne » (consulté le ).
- Philippe Thiébaut, « Art nouveau et néo-impressionnisme, les ateliers de Signac », La Revue de l'Art, 1991-1992, p. 72-78, note 34.