Reiulf Steen
Reiulf Steen, né le à Hurum et mort le à Oslo, est un auteur norvégien, ambassadeur et homme politique du Parti travailliste norvégien. Il est actif au sein du parti travailliste de 1958 à 1990, en tant que président adjoint du parti de 1965 à 1975 et président de 1975 à 1981. Steen est ambassadeur de NorvÚge au Chili entre 1992 et 1996[1] - [2].
| Parlementaire norvĂ©gien LĂ©gislature du Storting 1989â1993 (d) Akershus (en) | |
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| Parlementaire norvĂ©gien LĂ©gislature du Storting 1985â1989 (d) Akershus (en) | |
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| Parlementaire norvĂ©gien LĂ©gislature du Storting 1981â1985 (d) Oslo (en) | |
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| Ministre du Commerce extérieur et de la Marine Nordli's Cabinet (en) | |
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Hallvard Bakke (en) Kari Gjesteby (en) | |
| Parlementaire norvĂ©gien LĂ©gislature du Storting 1977â1981 (d) Oslo (en) | |
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| Dirigeant de parti politique Parti travailliste | |
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| Ministre des Transports et Communications Bratteli's First Cabinet (en) | |
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HĂ„kon Kyllingmark (en) John Austrheim (en) | |
| Membre supplĂ©ant du Storting LĂ©gislature du Storting 1961â1965 (d) Oslo (en) | |
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| Ambassadeur |
| Parti politique | |
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| Distinction |
Eilert Sundts forskningspris (d) () |
Biographie
Reiulf Steen naßt le à Saetre (un village de Hurum)[3]. Ses parents sont Nils Steen (1889-1941) et Astrid Karlsen (1899-1986). Nils, mort quand Reiulf à l'ùge de 7 ans, était président du syndicat des travailleurs de l'industrie chimique norvégienne et maire adjoint de la municipalité[2].
Reiulf est élu chef de la filiale régionale du Parti travailliste à l'ùge de 14. Il travaille dans une usine et en tant que journaliste pour le journal Fremtiden à Drammen avant d'entrer dans la politique en 1958. Il gravit rapidement les échelons de son parti, présidant la Ligue des jeunes travaillistes de 1961 à 1964[1].
Il exerce ensuite les fonctions de ministre des Transports de 1971 Ă 1972 et de ministre du Commerce et du Commerce de 1979 Ă 1981. De 1977 Ă 1993, il est membre du Parlement, reprĂ©sentant les circonscriptions d'Oslo et d'Akershus. Il est vice-prĂ©sident de l'Internationale socialiste de 1978 Ă 1983 et prĂ©side son comitĂ© sur le Chili de 1975 Ă 1990. Il maintient un intĂ©rĂȘt de longue date pour l'AmĂ©rique latine et est nommĂ© ambassadeur de NorvĂšge au Chili en 1992, un mandat qui dure jusqu'en 1996[4].
Il a Ă©crit des chroniques pour plusieurs des principaux journaux du pays, traitant de sujets nationaux et internationaux. Il est Ă©galement actif au sein d'ATTAC et prĂ©side la branche norvĂ©gienne du Mouvement europĂ©en (1999 â 2001), Norsk Folkehjelp (1999 â 2003) et la branche norvĂ©gienne du ComitĂ© Helsinki pour les droits de l'Homme (1986 â 1992). Au cours des derniĂšres annĂ©es, ses mĂ©moires et souvenirs personnels relatent ses propres problĂšmes et difficultĂ©s au sein du parti travailliste[5].
Vie personnelle
Reiulf Steen s'est marié deux fois. En 1960, il épouse Lis Fridholm (1936-1985). Leur mariage est ensuite dissous. En 1980, il épouse Inés Vargas. Il meurt le , laissant dans le deuil son épouse, quatre enfants issus de son premier mariage et sa belle-famille. Par l'intermédiaire de sa belle-fille, il était le beau-pÚre de l'homme politique travailliste Raymond Johansen, maire adjoint d'Oslo[1] - [6] - [7].
Publications
- Ărnen har landet, 2003
- Jordskjelv, 2000
- Underveis, 1999
- Beretninger, 1998
- Ideene lever, 1992
- Maktkamp, 1989
- InĂ©s â og det elskede landet, 1988
- Der hjertet banker, 1986
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de lâarticle de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « Reiulf Steen » (voir la liste des auteurs).
- (en) « Former Ap leader Reiulf Steen dies », News in English, (consulté le )
- (no) Ingunn Norderval, « Reiulf Steen », Norsk biografisk leksikon (consulté le )
- (en) « Reiulf Steen », dans Current World Leaders, (lire en ligne)
- (no) Knut Are Tvedt, « Reiulf Steen », Store norske leksikon (consulté le )
- (no) « Reiulf Steens historie », sur vg.no (consulté le )
- (no) Hans Olav Lahlum, « Triumfen og tragediene », sur dagbladet.no, (consulté le )
- (no) « Var en varm, kjÊrlig og distré familiemann », sur dagbladet.no, (consulté le )