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Pony car

Pony car est une catégorie d'automobiles américaines lancée par la Ford Mustang en 1964, comme les Chevrolet Camaro, Dodge Challenger, Mercury Cougar, Plymouth Barracuda et Pontiac Firebird. « Pony » désigne un cheval de petite taille (« poney »), comme c'est le cas du Mustang, à l'origine du nom de la célèbre automobile lancée par Ford.

Pony car
Pony car
Pony cars - Mustang GT500

Années de production Depuis 1964
Classe Sportive
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) Six cylindres ou V8
CylindrĂ©e 2 800 Ă  7 400 cm3
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Coupé, cabriolet

Financièrement abordable, compacte et stylĂ©e avec une image sportive, la pony car est construite sur la base mĂ©canique d'une voiture compacte de grande sĂ©rie. Elle est Ă©quipĂ©e d'une carrosserie spĂ©cifique et propose un choix de moteurs allant du six cylindres de moyenne cylindrĂ©e (2,8 litres) au V8 de grosse cylindrĂ©e (jusqu'Ă  7,4 litres). Chaque client peut ainsi disposer d'une voiture adaptĂ©e Ă  son budget ou Ă  sa façon de conduire, avec l'apparence d'un modèle de sport exclusif.

Quand elles sont équipées de moteurs de forte puissance (des V8 en version de pointe), de suspensions renforcées et de boîtes de vitesses adaptées, les pony cars deviennent des muscle cars.

Modèles principaux

Ford Mustang (1964-)

Ford Mustang fastback de 1968

Le marque un tournant dans l'histoire de l'industrie automobile ; ce jour-là, Ford, second constructeur mondial, présente à la foire mondiale de New York sa Mustang. Ford a en quelque sorte réinventé l'automobile pour les jeunes américains blasés par les grosses caisses lourdes et massives. Lee Iacocca, alors directeur général de la compagnie, avait depuis longtemps la vision d'une petite voiture sportive qui envahirait les rues. Au lieu de faire la énième version d'une voiture déjà existante, Ford met sur roues le concept de pony car.

Pour Ă©conomiser les coĂ»ts de dĂ©veloppement, les premières versions seront directement basĂ©es sur la Ford Falcon familiale. La Mustang est alors dotĂ©e en sĂ©rie d'un moteur de 6 cylindres de 2,8 L ou, en option, de V8 de 260 ci ou 289 ci. Elle est disponible en coupĂ© ou en cabriolet. Il y a du chrome en abondance, ce qui la rend des plus attrayantes pour les jeunes. De nombreuses options sont disponibles pour agrĂ©menter la voiture, le but Ă©tant que chacun ait une Mustang unique. Elle est alors en concurrence avec la Plymouth Barracuda sortie deux semaines plus tĂ´t, mais qui n'aura pas l'immense succès de la Mustang.

Chevrolet Camaro (1967-)

Chevrolet Camaro 1967

La Chevrolet Camaro fut construite en 1967 par General Motors pour concurrencer la Mustang. Elle a connu depuis cinq générations, les deux dernières en 2002 et 2009.

Lorsque Ford prĂ©sente sa Mustang en , l'Ă©tat major de GM ne se montre pas vraiment impressionnĂ©, persuadĂ© qu'il n'existe pas de marchĂ© pour ce type de vĂ©hicule. Leurs espoirs seront de courte durĂ©e ; quatre mois seulement après son lancement, 100 000 Mustang sont sorties des chaĂ®nes de fabrication. L'ambiance Ă  General Motors se dĂ©grade considĂ©rablement. Il leur faut faire mieux, et vite, pour retrouver leur première place sur le marchĂ© national. Dans l'urgence, Chevrolet crĂ©e le projet XP836, surnommĂ© « Panther ». Ses lignes très pures, exemptes de toute fioritures, combinent harmonieusement volumes et rondeurs avec des Ă©lĂ©ments plus anguleux, un peu Ă  l'image des plus prestigieuses productions italiennes. Ă€ sa sortie, Chevrolet prĂ©cise que le nom de son nouveau modèle vient d'un mot français, « camaro », signifiant « camarade », mais Ford rĂ©torque ironiquement que c'est le nom d'une crevette (« CamarĂłn » veut dire « crevette » en espagnol). Chevrolet dira alors sur le mĂŞme ton qu'un Camaro Ă©tait « un petit animal vicieux mangeur de Mustang ».

Dodge Challenger (1970-)

Dodge Challenger coupé 1971

« Challenger » est le nom de trois modèles de voitures de Dodge, marque appartenant à Chrysler depuis 1928.

La première Challenger est une pony car lancĂ©e en 1970, six ans après la Ford Mustang. Elle utilise un maximum de pièces communes avec la nouvelle Plymouth Barracuda, sa jumelle au sein du groupe Chrysler, dont elle partage la plate-forme Chrysler E-Body mais avec un empattement allongĂ© de 51 mm et une carrosserie spĂ©cifique. Le dessin de la carrosserie est signĂ© Carl « Cam » Cameron, le responsable du style extĂ©rieur ; la calandre de la Challenger 1970 s'inspire ainsi de ses propositions initiales pour la Charger, qu'il voulait doter d'un moteur turbo-compressĂ©, ce qui explique sa ligne si caractĂ©ristique. La Challenger a Ă©tĂ© bien acceptĂ©e par le public (avec des ventes de 80 000 unitĂ©s pour l'annĂ©e 1970 seulement) malgrĂ© le fait qu'elle ait Ă©tĂ© critiquĂ©e par la presse et que le marchĂ© des pony car s'essoufflait dĂ©jĂ  avant son arrivĂ©e. La puissance de ses moteurs, et donc ses performances ont Ă©tĂ© rĂ©duites. Sa production cesse avec le modèle de 1974, après une production de près de 165 500 exemplaires en cinq ans. Elle est devenue une icĂ´ne de la culture automobile amĂ©ricaine et un modèle classique de style qui sert toujours de rĂ©fĂ©rence aux ingĂ©nieurs de Dodge.

L'appellation Challenger a ensuite été attribuée de 1978 à 1983 à la Mitsubishi importée du Japon par Chrysler. Enfin, l'appellation est reprise en 2008 pour le tout nouveau modèle néo-rétro que Dodge vient de lancer en 2009 pour concurrencer la Ford Mustang et la Chevrolet Camaro.

Plymouth Barracuda (1964-1974)

Plymouth Barracuda 1969

La Plymouth Barracuda est fabriquée par Plymouth, appartenant à Chrysler. Le premier modèle sort le , quelques semaines avant la Ford Mustang. Beaucoup disent que si elle avait eu moins de succès que la Barracuda, les Pony cars se seraient appelées « Fish cars ». Malheureusement, elle sera rapidement écrasée par la Mustang de Ford, la Camaro de Chevrolet et la Firebird de Pontiac. Elle ne connaîtra un succès qu'à partir de 1970, où elle devient un symbole de puissance.

Il y aura trois versions. La première génération (1964-1966) de la Barracuda était basée sur le châssis « A-Body » de la Plymouth Valiant. Elle était d'ailleurs vendue au départ comme une version de la Valiant, disposait des mêmes moteurs et en possédait l'insigne. La voiture aurait pu s'appeler « Panda », mais l'image de l'animal n'aurait pas donné le même attrait à une voiture qui visait un public jeune et dynamique.

La deuxième (1967-1969), bien que toujours basée sur le châssis « A-Body », est complètement redessinée. Elle est disponible en cabriolet. Plymouth décida alors d'apporter des moteurs plus puissants. Le package « Formula S » inclut une suspension renforcée, un compte tour, des pneus larges et des décorations spécifiques.

La troisième (1970-1974) est refaite, elle n'est plus basée sur le châssis A-Body, mais sur le nouveau châssis E-Body du Challenger, il se veut plus attrayant. C'est en fait un muscle car. Cependant, les ventes ne seront jamais au niveau des précédentes. Barracuda et Cuda étaient deux concepts différents, Cuda étant la version sportive. La Cuda a continué à exister, contrairement à la Barracuda.

Pontiac Firebird (1967-2002)

Pontiac Firebird de première génération

La Pontiac Firebird est un coupé sportif produit entre 1967 et 2002 en quatre générations distinctes. On peut la confondre avec la Camaro, dont elle est issue. Leur châssis est de type « F-Body » et des pièces sont interchangeables entre les modèles.

En 1964, Pontiac prépare un prototype, la Banshee. Elle était prévu pour offrir une alternative à la Chevrolet Corvette. Elle ressemble à la Corvette C3. Sur la Banshee, on reconnait les feux arrière de la future Firebird, de même que la calandre. John Delorean, à la tête de Pontiac, avait de grands espoirs dans cette voiture qui était prête à être produite pour concurrencer la Mustang. Malheureusement, GM craignait qu'elle puisse concurrencer la Corvette, car elle était plus performante. Le développement de la Banshee cessa en 1966. Pontiac devait néanmoins trouver une concurrente à la Ford Mustang et GM décida d'utiliser la Camaro comme base à la Firebird cinq mois après la sortie de celle-ci. La Firebird avait un style plus recherché avec un design en Coke bottle styling.

La première génération sort le . Tout comme sa cousine de chez Chevrolet, elle bénéficiait de la ligne « Coke bottle ». Elle partageait de nombreuses pièces de carrosserie comme les ailes et les portes. La deuxième génération sort en 1970 : elle est remodelée mais conserve la même architecture (coque à l'arrière et faux châssis à l'avant). La conception était partagée avec la Chevrolet Camaro mais contrairement à la génération d’avant, la majorité des éléments de carrosserie étaient incompatibles. Les arcs de roues étaient ronds sur la Firebird alors que ceux de la Chevrolet étaient légèrement carrés. Le pare choc était fait d'une pièce moulée en PVC.

La troisième génération n'a pas grand chose en commun avec les deux précédentes. Sa conception est différente, elle est plus légère et plus aérodynamique et en une seule partie, les phares se rabattent. La quatrième sort en 1993, encore plus profilée, plus aérodynamique avec l’avant pointu, et bien plus puissante.

Dodge Charger (1966-)

Dodge Charger de 1969

La Dodge Charger est un produit Chrysler arrivĂ© sur le marchĂ© en 1966 sous la marque Dodge. Pony car rivale des Ford Mustang, elle est aujourd'hui considĂ©rĂ©e comme un classique de l'automobile et une rĂ©fĂ©rence. Son esthĂ©tique est osĂ©e et son intĂ©rieur rĂ©volutionnaire. Dès la première annĂ©e-modèle 1966, et jusqu'en 1971, la Charger peut ĂŞtre Ă©quipĂ©e d'un moteur V8 HEMI dĂ©livrant 425 chevaux Ă  5 000 tr/min lui permettant de passer de 0 Ă  100 km/h en 5,5 secondes, cela fera une candidate pour les courses d'accĂ©lĂ©rations.

Les Charger Daytona 1969 sont les plus prisées. Pour lutter contre Ford en Nascar, Dodge a falsifié l'aérodynamique en allongeant le nez et remplacé la lunette-en-retrait par une lunette affleurante. On a aussi amélioré la stabilité à haute vitesse en lui ajoutant un aileron sur le coffre. Pour l'homologation Nascar, Dodge avait besoin de mettre sur le marché un quota de voitures. Mais sur la voiture de série, l'aileron empêchait l'ouverture du coffre : on contourna le problème avec un aileron très élevé. Cet aileron créait une turbulence à haute vitesse avec un son qui augmentait l'ivresse de la vitesse. Un nombre très limité de ces Charger Daytona quittera les usines. Certains auront le bec brisé en garant le véhicule, si elles n'ont pas été « banalisées » car la lunette affleurant est unique à ce modèle et les pièces de remplacement impossibles à trouver.

Au fil des années, la Charger a évolué jusqu'à se métamorphoser en un gros coupé sport en 1975. En 1978, la Dodge Charger cesse d'être produite, jusqu'en 2006, année de sortie d'un nouveau modèle, disponible en berline quatre-portes. En version R/T, elle est la réincarnation du muscle car. Dodge a aussi mis sur le marché la Charger SRT8 425 ch.

Pontiac GTO (1961-)

Pontiac GTO 1969

La Pontiac GTO est une sportive de la marque Pontiac de GM. Apparue comme un sous-modèle de la Pontiac LeMans, elle est la première muscle car.

En 1963, GM commence le dĂ©veloppement de voitures de classe intermĂ©diaire ayant un moteur de cylindrĂ©e supĂ©rieure Ă  8 382 cm3. Pour sauvegarder l’image de performance de la marque, Pete Estes, directeur gĂ©nĂ©ral, et John DeLorean, ingĂ©nieur en chef, commencent Ă  faire des expĂ©rimentations avec de puissants moteurs. Outre un gros moteur V8, la voiture reçoit une suspension et des freins plus robustes. En option, on peut choisir entre deux transmissions manuelles Ă  quatre vitesses et une automatique Ă  trois vitesses. Deux bouches d'aĂ©ration ornent le capot. J. Wangers, responsable du budget de l’agence de publicitĂ© encourage le projet. Ayant bien Ă©tudiĂ© les besoins de la jeune clientèle par rapport Ă  la performance et au prix abordable des voitures intermĂ©diaires, il sait que la GTO devrait avoir du succès. Estes, DeLorean et Wangers ont cachĂ© leurs expĂ©rimentations Ă  leurs supĂ©rieurs en prĂ©tendant dĂ©velopper une option au modèle LeMans, de classe supĂ©rieure. Lorsque la direction a Ă©tĂ© mise au courant il Ă©tait dĂ©jĂ  trop tard. Sans ĂŞtre contre l’idĂ©e, les dirigeants de GM sont mĂ©contents car la firme essayait de se donner une nouvelle image en se retirant de la course et la Tempest GTO illustre le contraire. Le directeur des ventes, Frank Bridges, faisant une estimation des ventes et limite la production Ă  5 000 GTO pour l’annĂ©e 1964. L’option GTO est un succès dès les premières semaines, obligeant Pontiac Ă  rĂ©viser ses chiffres. GM est surpris, mais ne voulant pas mettre fin Ă  un succès, abandonne son règlement. En 1964 sont vendues 32 450 GTO.

Grâce Ă  l’option GTO, une nouvelle gamme de voitures est nĂ©e ; les muscle car. La revue Car Life, rĂ©fĂ©rence, teste le modèle et enregistre un 0 Ă  96 km/h en 4,6 secondes. La vitesse maximale est de 184 km/h.

La GTO disparaît en 1974, son nom a été redonné aujourd'hui à un coupé sport lourd.

Chevrolet Chevelle (1964-1977)

Une Chevelle de 1972

La Chevelle était une voiture de taille moyenne créée par Chevrolet en 1964 et produite jusqu'en 1977. La Chevelle variait beaucoup selon les modèles : économique pour la famille, coupés puissant, décapotables. Elle était destinée à concurrencer la Ford Fairlane.

Il y a eu deux générations de Chevelle. La première de 1964 à 1972, offrait un grand choix de carrosseries : deux en coupés, deux en cabriolet, six en familiale 4-portes, et six en Station Wagon (break), et comme moteurs : neuf V8 différents et trois L6. La deuxième génération, de 1973 à 1977, offrait comme carrosseries deux coupés, deux décapotable et quatre familiales, et comme moteurs : cinq V8 différents et un L6

Au cours des annĂ©es 1970, la Chevelle verra de nombreuses modifications de son moteur sur la base du V8 Chevrolet de 454 ci (7,5 L) dĂ©veloppant 450 chevaux, un des moteurs les plus puissants sortis d'usine Ă  cette Ă©poque.

Lorsque GM a rationalisé ses modèles intermédiaires en 1978, le nom Chevelle a été abandonné et les modèles ont pris le nom de Chevrolet Malibu qui était déjà la dénomination de la version la plus luxueuse de la Chevrolet Chevelle depuis 1964 (Chevelle Malibu).

Plymouth Road Runner (1968-1980)

Une Road Runner de 1968

La Road Runner de Plymouth, une marque de Chrysler, a Ă©tĂ© commercialisĂ©e de 1968 Ă  1980 en 45 000 exemplaires (annĂ©e 1968) et a connu une grande diversitĂ© de modèles. Son nom de « Road Runner » vient du cĂ©lèbre dessin animĂ© Road Runner and Wile E. Coyote (Bip Bip et Coyote). Sa plus belle Ă©poque fut celle de 1968 Ă  1971, annĂ©es durant lesquelles elle Ă©tait la plus puissante des « muscle cars Â» commercialisĂ©es aux USA grâce Ă  son moteur Hemi. Le plus puissant moteur que la Road Runner possĂ©dait Ă©tait le Hemi 7 L de 485 ch. Ce moteur avait donnĂ© Ă  la voiture la rĂ©putation de pouvoir parcourir les 402 mètres d'un dragstrip (piste de dragster) en 13,5 secondes.

La Road Runner est souvent confondue avec la Plymouth GTX, qui est sa version haut-de-gamme conçue sur une base de Plymouth Satellite, lui donnant une assiette plus importante. Contrairement à la Plymouth GTX, le Road Runner était conçu sur une base de Plymouth Belvedere. La Dodge Super Bee de 1968 était l’homologue du Road Runner dans la division sportive de Chrysler, Dodge.

Il existait aussi la Plymouth Superbird, un dérivé de la Road Runner conçue pour la course de stock-car (Nascar). Elle se différencie du Road Runner par son long nez et son grand aileron arrière. Cette Plymouth Superbird avait elle aussi une homologue chez Dodge, la Dodge Charger Daytona.

Ford Torino (1968-1976)

Une Torino GT de 1968

La Torino est une automobile familiale produite par Ford pour le marché nord-américain entre 1968 et 1976. Elle était disponible en deux ou quatre portes mais disposait toujours de quatre vraies places. C'est initialement un dérivé de la familiale Ford Fairlane produite de 1962 à 1970.

Les ventes de la Fairlane faiblissant, Ford décida d'en changer le nom en proposant également une finition supérieure, espérant donner un nouvel élan à leur voiture. L'idée fut bonne car les ventes remontèrent. Les premières Torino étaient des berlines de taille supérieure aux Fairlane. Les modèles Fastback et coupés disposait d'un nouveau toit. Les feux de position étaient placés à la pointe des ailes avant et servaient de clignotants latéraux. Les modèles Fastback appelés « Sportsroof » par Ford avaient un toit qui s'étendait jusqu'au coffre. En course, cela s'avérera efficace. Mercury sortira, sur la même base, la Cyclone.

Les Fairlane/Torino étaient construites sur un châssis monocoque, comme les Fairlane de 1967, avec la même suspension. Les véhicules équipés de V8 pouvaient être dotés d'une suspension renforcée et de barres anti-rapprochement.. À la base, toutes les voitures étaient équipées de freins à tambour, mais des freins à disques étaient offerts en option, de même qu'une direction assistée. La Torino GT avait des sièges baquets, une console centrale, des emblèmes spécifiques et des décorations extérieures.

La voiture eut de bonnes critiques dans la presse amĂ©ricaine. Car Life testa une Torino GT Ă©quipĂ©e d'un V8 de 390 ci et mesura le 0 Ă  100 km/h en 7,7 secondes. Le magazine Motor Trend la qualifia de très maniable et faite pour les virages.

L'AMC Javelin est à la fois classée dans les Pony cars et les Muscle cars

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Annexes

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