Polystachya euspatha

Cette herbe épiphyte cespiteuse n'est connue que par l'échantillon-type collecté, en fleurs, par Carl Ludwig Ledermann lors de son périple au Cameroun[2], près de Baré, en novembre 1908[3], à la lisière d'une forêt-galerie, à une altitude de 860 m[4].

• Vincent Droissart, Bonaventure Sonké et Tariq Stévart, « Les Orchidaceae endémiques d'Afrique centrale atlantique présentes au Cameroun », in Systematics and Geography of Plants, janvier 2006, n^o 76, p. 53, [lire en ligne]
• (de) Fritz Kränzlin, « Orchidaceae africanae : P. euspatha », in Botanische Jahrbücher fur Systematik, Pflanzengeschichte und Pflanzengeographie, 1912, p. 398-399, [lire en ligne]
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 239

• (fr) Référence Catalogue of Life : Polystachya euspatha Kraenzl. (Nom accepté: Polystachya polychaete Kraenzl.) Non Valide (consulté le 25 décembre 2017)
• (en) Référence Catalogue of Life : Polystachya polychaete Kraenzl. (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : Polystachya euspatha Kraenzl. (1912) (Nom accepté: Polystachya polychaete Kraenzl. (1893)) Non Valide (consulté le 25 décembre 2017)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : Polystachya polychaete Kraenzl. (1893) (consulté le 25 décembre 2017)
• (en) Référence The Plant List : Polystachya euspatha Kraenzl. (source : KewGarden WCSP) (consulté le 25 décembre 2017)