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Place André-Tardieu

La place André-Tardieu est une voie située dans le quartier de l'École-Militaire du 7e arrondissement de Paris.

7e arrt
Place André-Tardieu
Voir la photo.
Vue de la place.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 7e
Quartier École-Militaire
Voies desservies Avenue de Villars, boulevard des Invalides, rue d'Estrées et rue de Babylone
Morphologie
Longueur 39 m
Largeur 22 m
Forme Triangulaire
Historique
DĂ©nomination
GĂ©ocodification
Ville de Paris 0299
DGI 3279
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Place André-Tardieu
GĂ©olocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 7e arrondissement de Paris)
Place André-Tardieu
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Situation et accès

La place André-Tardieu est desservie par la ligne (M) (13) à la station Saint-François-Xavier, ainsi qu'à proximité par les lignes de bus RATP 82 92.

Origine du nom

André Tardieu en 1928.

Elle porte le nom de l'homme politique André Tardieu (1876-1945).

Historique

La place est créée et prend son nom actuel en 1979 sur l'emprise des voies qui la bordent, notamment la place du Président-Mithouard.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • L'Ă©glise Saint-François-Xavier au niveau de la pointe sud de la place.
  • Monument au poète François CoppĂ©e. L'installation originelle, comprenait une statue qui a disparu (hormis le socle), remplacĂ©e par un mĂ©daillon Ă  l'effigie de l'homme de lettres.
    Le monument est inauguré le alors que le site porte encore le nom de place Saint-François-Xavier. La cérémonie a lieu sous la présidence de l'écrivain et militant politique Paul Déroulède, en présence notamment des hommes de lettres Jean Aicard (qui prononce un discours)[1] et Jean Richepin et de l'actrice Caroline-Eugénie Segond-Weber[2]. Richepin représentait le comité créé l'année précédente afin d'élever un monument au poète dans la capitale. Le monument est l'œuvre de l'architecte Henri Guillaume et du sculpteur André de Chastenet de la Ferrière. En 1942, sous le régime de Vichy, la statue est fondue. Le socle est néanmoins conservé. En 1949, Chastenet demande à l'État de financer la reconstruction de la statue, ce qu'appuient l'année suivante les descendants de François Coppée. En raison du coût du projet, seul un médaillon est finalement réalisé, par le sculpteur Georges Saupique ; il est inauguré en 1959[3] - [4].

Notes et références

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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