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Pink salon

Les pink salon (ăƒ”ăƒłă‚Żă‚”ăƒ­ăƒł, pinkusaron, littĂ©ralement « salon rose Â»), en abrĂ©gĂ©, pinsaro (ăƒ”ăƒłă‚”ăƒ­), ont fait leur apparition au cours des annĂ©es 1970 dans la prostitution au Japon. Ce sont des lupanars spĂ©cialisĂ©s dans les fellations.

La prestation est offerte Ă  l'intĂ©rieur d'alcĂŽves s'ouvrant sur une salle plus ou moins grande. Une boisson alcoolisĂ©e ou non est offerte par la « companion » (prostituĂ©e) qui doit prendre le client en charge. À partir de ce moment, le client devient un numĂ©ro qui a payĂ© pour occuper une alcĂŽve pendant trente minutes.

Certains pinsaro offrent les services de filles costumées en collégienne ou en infirmiÚre. La pénétration vaginale y étant interdite, les services se limitent généralement à la fellation mais certains proposent également le cunnilingus et le 69[1].

Dans la fiction

Le manga Pinsaro Sniper, de Tabe Koji, relate l'histoire d'une femme employĂ©e de bureau le jour, "companion" d'un pink salon la nuit mais Ă©galement tueuse Ă  gages dont la base d'opĂ©ration n'est autre que le pink salon lui-mĂȘme.

Notes et références

  1. « Blowjob bars around the world: Where they are, how they work », sur rockitreports.com, (consulté le )

Voir aussi

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