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Peng Wan-Ts

Peng Wan-Ts (ćœ­èŹćą€) nĂ© en 1939 dans la province du Sichuan en Chine est un peintre et dessinateur chinois, actif Ă  Paris.

Peng Wan-Ts
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Biographie

NĂ© au Sichuan en Chine, Peng Wan-Ts s’est formĂ© Ă  TaĂŻwan. En 1963, il est diplĂŽmĂ© de la section beaux-arts de l'universitĂ© normale nationale de TaĂŻwan (RĂ©publique de Chine) et est laurĂ©at du premier prix de peinture.

Il a participĂ© aux Biennales de Paris en 1961, 1969 et 1971 et de SĂŁo Paulo en 1963. Depuis 1965, il rĂ©side et travaille Ă  Paris. Son Ɠuvre a Ă©tĂ© exposĂ© notamment en Finlande, en Suisse, en Yougoslavie, en Allemagne. Il a Ă©tĂ© le premier artiste chinois invitĂ© Ă  la documenta de Cassel, pour la sixiĂšme Ă©dition en 1977. Il a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© au Staatliche Graphische Sammlung de Munich en 1978. Il a participĂ© Ă  Paris Ă  des expositions  telles que « Tendances de l’art en France 68/78-79-II » Ă  l'ARC-musĂ©e d'Art moderne de la ville de Paris en 1979 et « Sur Invitation » au musĂ©e des Arts dĂ©coratifs de Paris en 1984. Des expositions particuliĂšres ont Ă©tĂ© consacrĂ©es Ă  son travail Ă  Paris dans les galeries Jacques Kerchache, Karl Flinker[1], Pierre BrullĂ©. Son travail a Ă©tĂ© exposĂ© Ă©galement en Australie, en CorĂ©e du Sud, Ă  Hong-Kong et Ă  TaĂŻwan. Il a Ă©tĂ© Ă©galement prĂ©sentĂ© au musĂ©e des Beaux-Arts de Lille en 1979, au musĂ©e d’Abbeville en 1994, au musĂ©e d'Art moderne et d'Art contemporain de LiĂšge en 2000, au musĂ©e des Beaux-Arts de Tourcoing en 2002. Une exposition personnelle intitulĂ©e « Regards » lui est consacrĂ©e en 2019-2020 au MusĂ©e d'Art moderne de Paris. Son tableau Le Banquet, auquel il a travaillĂ© 25 ans de 1981 Ă  2006, a fait l'objet d'une donation au MusĂ©e d'Art moderne de Paris. Depuis 2022, le musĂ©e des Beaux-Arts de Dole expose deux de ses peintures, MĂšre et enfant ou La Patrie (1972) et Regardez-moi (N°33) ou La Voiture noire(1969). Son triptyque MĂ©tamorphoses (1976) est prĂ©sentĂ© dans le cadre de l'exposition « Les Choses. Une histoire de la nature morte », dans l'espace nommĂ© « Choses humaines », au musĂ©e du Louvre, Paris, Hall NapolĂ©on, en 2022-2023[2].

ƒuvre

Son Ɠuvre tĂ©moigne d’une rencontre singuliĂšre, rĂ©flexive et synthĂ©tique de la culture chinoise et occidentale[3] centrĂ©e sur une approche nouvelle de la reprĂ©sentation de la figure humaine, qui a pris une place particuliĂšrement importante dans l’art chinois contemporain et dont il pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le prĂ©curseur, selon Philippe Dagen[4].

Cet intĂ©rĂȘt pour l’humain est Ă©troitement liĂ© Ă  sa dĂ©couverte de l’art occidental, comme le rappela Richard Crevier : « À 15 ans, Ă  Formose, loin de sa province natale de Suchuan, il voit pour la premiĂšre fois un fragment de l’art occidental. L’image qui le traumatise profondĂ©ment est une reproduction de La CrĂ©ation, de Michel-Ange, oĂč la main humanisĂ©e de Dieu tend le doigt dans l’éternitĂ©. Dans cette expĂ©rience Ă©trangĂšre Ă  l’esprit chinois surgit pour lui la possibilitĂ© de donner Ă  l’absolu la forme et le contenu du corps. [
] Plus tard, en Europe, Peng dĂ©couvrira Le Christ de Mantegna, mais surtout, Ă  Colmar, le Retable de GrĂŒnewald. GrĂŒnewald marque le lieu d’une rupture dans la reprĂ©sentation du corps tragique, dont il faut souligner qu’elle est totalement ignorĂ©e de la tradition chinoise[5]. »

Le Matin de Paris dans un article intitulĂ© « Aux limites de l’humain » du  avait dĂ©clarĂ© Ă  propos de l’approche tragique du corps humain par Peng : « À ce contenu dramatique, Peng Wan-Ts donne une forme dont la qualitĂ© esthĂ©tique reste l’attrait principal. [
] Et l’on retient dans son Ɠuvre une influence de la culture occidentale [
]. Sa culture picturale puise ses rĂ©fĂ©rences dans deux civilisations bien diffĂ©rentes, ce qui nous vaut cette impression de familiaritĂ© mĂȘlĂ©e d’étrangetĂ© qui se dĂ©gage de ses peintures et de ses dessins. [
] dans le cadre d’une recherche complexe qui tente d’assimiler deux formes de pensĂ©es et d’expression diffĂ©rentes sans ĂȘtre antagonistes. D’oĂč une Ɠuvre extrĂȘmement culturalisĂ©e qui se place dans un espace dĂ©limitĂ© par des caractĂ©ristiques empruntĂ©es aux cultures orientales et occidentales./ Peng Wan-Ts produit un travail oĂč l’artiste tire sa force d’une maĂźtrise remarquable de la technique ». La qualitĂ© plastique de ses Ɠuvres a Ă©tĂ© maintes fois soulignĂ©e par la critique[6].

L'assimilation de deux ordres de pensĂ©e, de deux visions du monde[7] ainsi que les recherches de l’art moderne et contemporain ont nourri son travail, qui privilĂ©gie un questionnement sur l’homme (nouveau-nĂ©, mĂšre et enfant, famille, figures du pouvoir, massacres, malades, folie, rapport de l’homme Ă  la machine, corps/objet
)[8]. Il en explore la condition tragique, le lien Ă  l’histoire individuelle et collective, dans une approche intĂ©riorisĂ©e[8]. Sans jamais avoir recours Ă  l’étude d’aprĂšs nature, ses rĂ©alisations relĂšvent davantage de visions intĂ©rieures et de rĂ©miniscences qui se signalent par une recherche de prĂ©cision et de concentration des formes et des couleurs, visant Ă  atteindre une expression intense et Ă©vocatoire.

On peut lire dans un article intitulĂ© « Loin des pics enneigĂ©s et des vols de grues », paru dans LibĂ©ration du : « On touche ici Ă  la confluence de deux univers : si l’art de Peng est dans sa forme vivement actuel et mĂȘme visionnaire, il conserve aussi un aspect spĂ©cifiquement chinois dans sa prĂ©dilection pour l’économie extrĂȘme des moyens, pour la parcimonie dans le trait, oĂč ce qui nous est proposĂ© ne dĂ©passe pas l’incitation discrĂšte Ă  interprĂ©ter, Ă  extrapoler : Ă  la façon d’une allusion linĂ©aire, et pourrait-on dire, littĂ©raire ». GĂ©rard Audinet a analysĂ© comment une subtile synthĂšse formelle s’opĂšre dans les dessins, notamment de corps : « Fort de son regard sur le dessin anatomique de la tradition occidentale, Peng y apporte sa science, toute chinoise, du souffle et du signe, et s’accomplit dans un trait vibratile, plein de l’expressivitĂ© du calligraphe, qui se trace dans les respirations de la feuille, ces brumes de papiers[9]. » Le rapport des formes Ă  l’espace, oĂč le vide joue souvent un rĂŽle important, introduit avec subtilitĂ© une rĂ©sonance mĂ©taphysique[8].

La dimension ontologique et philosophique du travail de Peng a Ă©tĂ© relevĂ©e par Richard Crevier qui Ă©crivit en 1982 que : « Peng n’est pas un artiste morbide, pessimiste ou pervers, ni  un dilettante du dĂ©placement, ni un esthĂšte de â€œl’inquiĂ©tante Ă©trangetĂ©â€. Le chaos qu’il fait affleurer Ă  la vision est ontologique, il n’est pas psychologique ou Ă©thique. Il essaie de saisir dans le vide le dĂ©sordre fondamental, l’altĂ©ration insĂ©parable de la vie et prĂ©sente en l’homme, il essaie de reprĂ©senter l’irreprĂ©sentable en soi et perçoit, hors des Ă©vidences de la rĂ©alitĂ©, la Mort qui leur donne en retour leur beautĂ© dĂ©finitive dans l’éphĂ©mĂšre, cruelle mais juste. [
] Le corps, m’a-t-il dit, n’est pas important. C’est une limite, un passage, l’homme doit y passer et pour cette raison c’est une crĂ©ature souffrante. Peng pense que les visages et les corps Ă  la maniĂšre d’enveloppes de cuir ou de caoutchouc contiennent et Ă©touffent Ă  la fois une Ă©tincelle d’éternitĂ© ou d’immortalitĂ© qu’il appelle le “cƓur”. Dans la tradition chinoise, la bouddhiste en particulier, l’accent est mis sur cette intĂ©rioritĂ© grĂące Ă  laquelle le Corps s’inscrit sans tragĂ©die dans le paysage. Les Chinois, remarque Peng influencĂ© lui-mĂȘme par le TaoĂŻsme, ne se sont pas assez souciĂ©s du corps souffrant qui n’est pas important, de cette non-importance mĂȘme. La peinture occidentale, imprĂ©gnĂ©e d’humanisme, la lui a rĂ©vĂ©lĂ©e. [
] Peng est un maĂźtre dans l’art de la mĂ©diation historique et picturale et par lĂ  son art est aussi philosophique[10]. » Jean-Pierre Sicre a aussi Ă©tĂ© sensible Ă  cette dimension humaniste dans le travail de Peng : « [
] Peng Wan-Ts, ennemi de tout compromis rassurant, ne parvient guĂšre Ă  voir l’homme que comme acteur du grand avilissement ou comme victime d’un interminable supplice. C’est dans ce second registre qu’il s’adresse Ă  nous ici, sans souci de nous mĂ©nager. Comme s’il lui fallait creuser sans fin la blessure centrale qui nous fait ĂȘtre, pour atteindre Ă  ce dĂ©pouillement de tout oĂč la luciditĂ© extrĂȘme, cruelle presque, rejoint son exact contraire : l’extrĂȘme compassion[11]. »

Certaines de ses Ɠuvres sont conservĂ©es au Fonds national d'art contemporain[12] et au musĂ©e d'Art moderne de Paris.

Notes et références

  1. GĂ©rard Gassiot-Talabot rappelle que Karl a « appartenu, par son pĂšre, Ă  un milieu intellectuel germanique de trĂšs haut niveau » et que « [
] la galerie hĂ©bergea des talents marquĂ©s par de fortes singularitĂ©s comme Peng Wants
  », dans Rue du Bac, rue de Tournon, Karl Flinker, exposition en hommage Ă  Karl Flinker, 37e Salon de Montrouge, catalogue d’exposition, Montrouge, 1992.
  2. Laurence Bertrand Dorléac, Les Choses. Une histoire de la nature morte, paris, Lienart éditions, , 447 p. (ISBN 978-2-35906-383-7), p. 208
  3. The Chinese Response. Paintings by Leading Overseas Artists, catalogue d’exposition, Hong Kong Museum of Art, 03/04-30/05/1982, Hong Kong, 1982, p.54: « Peng believes in the possibility of assimilation of the essence of Eastern and western culture in his art ».
  4. Philippe Dagen, « Études anatomiques par Peng Wan Ts », Le Monde, 16 juin 2007, p.30 : « Car Peng Wan ts, alors mĂȘme qu’il pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le prĂ©curseur de la peinture chinoise actuelle, prĂ©sente dans toutes les foires et biennales, se tient Ă  l’écart. Il expose si peu que la prĂ©sentation actuelle est la premiĂšre Ă  laquelle il consente dans sa galerie depuis plus de vingt ans, et la monographie qui vient de paraĂźtre, la premiĂšre qui lui soit enfin consacrĂ©e. Ce serait peu dire que Peng Wan Ts est bien loin de la reconnaissance dont il est si Ă©videmment digne. »
  5. PrĂ©face « Transsubstantiations » de Richard Crevier, dans le catalogue d’exposition Peng Wan Ts : dessins, peintures, Paris, Galerie Karl Flinker, 1977, p.3-4.
  6. « L’art richissime », Les nouvelles littĂ©raires, n°2359-50e, du 11 au 17 dĂ©cembre 1972 : « Autre rĂ©vĂ©lation : Peng Wan-Ts dont c’est Ă©galement la premiĂšre exposition Ă  Paris (Galerie Jacques Kerchache). Son Ă©blouissante maĂźtrise de la ligne n’est pas pour nous Ă©tonner de la part de cet extrĂȘme-oriental ». Voir aussi « D’une exposition Ă  l’autre : Peng Wan Ts », Le Monde, 13 dĂ©cembre 1972, article signĂ© G.B. (GeneviĂšve Brerette) : « Peng Wan-Ts : Des dessins que l’on n’oublie pas facilement, par leur qualitĂ© formelle et par les sujets traitĂ©s, des corps et des visages crispĂ©s de douleur. [
] Tout concourt Ă  un maximum d’expressivitĂ© : le trait fin, exacerbĂ©, remarquable de prĂ©cision et de justesse ». Jean-Marie Dunoyer, « RĂȘveries du repos et de la violence », Le Monde, 4 avril 1982. : Â« [
] ces dessins Ă  la fois d’une prĂ©cision extrĂȘme et s’achevant si l’on peut dire dans une vacuitĂ© qui en suggĂšre l’extension. C’est beau Ă  se pĂąmer, beau jusque dans l’horreur non gommĂ©e, mais sublimĂ©e [
]. Et quelle science du dessin (l’Orient Ă  l’Occident rĂ©uni) au service du corps ». Voir Ă©galement F.S., « Un talent insidieux : Peng Wan-Ts », Esprit, juillet 1977: « [
] Peng Wan-Ts expose aujourd’hui chez Karl Flinker des crayons sur papier, des crayons sur toile et des peintures proprement dites en lesquels s’associent l’esprit de dĂ©rision et l’esprit de tragique et c’est la combinaison de ces deux registres , servie par une parfaite maĂźtrise du mĂ©tier qui rend ces Ɠuvres si efficaces [
]. Quoiqu’on puisse nous qualifier de rĂ©trograde, nous avouerons qu’une exĂ©cution si raffinĂ©e nous semble bien dĂ©lectable ». Voir aussi Art international, volume XVII/2, fĂ©vrier 1973, p.26 : « Peng Wan-ts has produced drawings that are not only graphically admirable but which constitute social and human documents of value ».
  7. Richard Crevier, Peng Wan Ts : dessins, peintures, prĂ©face de Richard Crevier « Transsubstantiations », Paris, Galerie Karl Flinker, 1977 : « [
]Peng essaie, dans une recherche problĂ©matique, la complexe assimilation de deux ordres de pensĂ©e et d’expression qu’il refuse de considĂ©rer comme antagonistes. »
  8. Crevier, Dars et Audinet 2007.
  9. Peng Wan Ts : dessins, préface de Gérard Audinet, Musée Boucher de Perthes, 21 février-27 mars 1994, Abbeville, 1994, non paginé.
  10. Richard Crevier, Peng Wan Ts, Paris, Galerie Karl Flinker, 1982, extrait de Cimaise n°158, 1982, non paginé.
  11. Jean-Pierre Sicre, « Peng Wan-Ts », Caravanes, n°8, Éditions PhĂ©bus, 2003, p.384.
  12. « Collection en ligne | Centre national des arts plastiques », sur www.cnap.fr (consulté le ).

Annexes

Monographie

  • Richard Crevier, Jacques Dars, GĂ©rard Audinet, Bernard Sordet et Chang Ming Peng, Peng Wan Ts : peintures, dessins, Ă©crits, Milan, 5 continents, , 320 p. (ISBN 978-88-7439-379-4 et 88-7439-379-2, lire en ligne).
  • Chen Ying-teh (é™łè‹±ćŸ·), Regarder l'homme, peindre l'homme: Peng Wan Ts, (看äșș 畫äșș ćœ­èŹćą€), publications du National Taiwan Museum of Fine arts en collaboration avec Artist Magazine, , 160 p.

Catalogue d’exposition personnelle

  • Peng Wan Ts : dessins, peintures, prĂ©face de Richard Crevier « Transsubstantiations », Paris, Galerie Karl Flinker, 1977.
  • Peng Wan Ts, prĂ©face par Richard Crevier, catalogue d’exposition, Paris, Galerie Karl Flinker, 1982.
  • Peng Wan Ts : dessins, prĂ©face de GĂ©rard Audinet, MusĂ©e Boucher de Perthes, 21/02-27/03/1994, Abbeville, 1994
    « Peng Wan-ts », sur www.centrepompidou.fr (consulté le ).
  • Peng Wan Ts. Regards, textes de Fabrice Hergott, François Michaud, GĂ©rard Audinet, Christian Derouet, Chang Ming Peng, Milan, Editions 5 Continents, 2019, 88 p.

Catalogue d’expositions de groupe et autres ouvrages

  • DeuxiĂšme Biennale de Paris : manifestation biennale et internationale des jeunes artistes du 29/09 au 4/11 1961, MusĂ©e d’art moderne de la Ville de Paris, Paris, Les Presses artistiques, 1961
  • SixiĂšme Biennale de Paris : manifestation biennale et internationale des jeunes artistes, du 2/10 au 2/11 1969, Paris, MusĂ©e d’art moderne de la Ville de Paris, 1969.
  • SeptiĂšme Biennale de Paris, 24/09-01/11/1971, Parc floral de Paris, Bois de Vincennes, catalogue d’exposition, 1971.
  • ARS 74, Museum Ateneum, 15/02-31/03/1974, Helsinki, 1974.
  • Internationale de dessins, Rijeka, Yougoslavie, 1976.
  • documenta 6, Cassel, 1977 (ISBN 3-920453-00-X) [lire en ligne]
  • Tendances de l’art en France 1968-1978/9 (2), Partis-pris de GĂ©rald Gassiot-Talabot, 26/10-05/12/1979, ARC Paris, musĂ©e d'Art moderne de Paris, 1979.
  • Les uns par les autres, 25/10-17/12/1979, Palais des Beaux-Arts de Lille, 1979
  • The Chinese Response. Paintings by Leading Overseas Artists, Hong Kong Museum of Art, 03/04-30/05/1982, Hong Kong, 1982.
  • Sur invitation, musĂ©e des arts dĂ©coratifs de Paris, 06/06-17/09/1984, Paris, 1984.
  • Rue du Bac, rue de Tournon, Karl Flinker, exposition en hommage Ă  Karl Flinker, XXXVIIe Salon de Montrouge, 13/05-15/06/1992, Montrouge, 1992.
  • 3e Salon du dessin de collection, 3-, Paris, Grand Palais, 1993.
  • Continental Shift. Un voyage entre les cultures, 21/05-10/09/2000, Ludwig Forum Aachen, Bonnefantenmuseum Maastricht, Stadsgalerij Heerlen, MusĂ©e d’art moderne de LiĂšge, catalogue d’exposition, 2000.
  • La CitĂ© internationale des arts : une histoire partagĂ©e, catalogue d’exposition (10/09-03/10/2008), Paris, 2008, p.38-39.
  • Chang Ming Peng, « L’approche du corps dans l’art chinois en regard de l’Occident », dans le catalogue de l’exposition Le Corps-image au XXe siĂšcle, organisĂ©e par le MusĂ©e des Beaux-Arts de Lyon Ă  partir des collections des musĂ©es de RhĂŽne-Alpes, au MusĂ©e des Beaux-Arts de Shanghai au mois de , dans le cadre de l’Exposition Universelle de Shanghai, Lyon, Ă©ditions Fage, , Ă©dition trilingue (français, chinois, anglais), p.16-27 (version française) et dans un livret tirĂ© Ă  part (versions chinoise et anglaise, p.17-25 et p.40-47). RĂ©Ă©dition du catalogue en aux Ă©ditions Fage.
  • Chang Ming Peng, « L’apprentissage artistique des peintres chinois Ă  Paris : modalitĂ©s et enjeux » dans le catalogue d’exposition Artistes chinois Ă  Paris, MusĂ©e Cernuschi, -, Paris, Paris-MusĂ©es, 2011, p.20-26.
  • Chang Ming Peng, « Questions de rĂ©ception et rĂ©sonances artistiques entre la Chine et l’Occident du XVIIe au XXe siĂšcle : une approche croisĂ©e Ă  partir de quelques exemples en peinture », actes du colloque international consacrĂ© aux Transferts artistiques entre Orient et Occident du 17e au 21e, collection « Rencontres Orient-Occident », Louvain-la-Neuve, Ă©ditions Academia-Lharmattan, 2014, p.31-49.
  • Chang Ming Peng, « La hiĂ©rarchisation des arts en Chine en regard des classifications occidentales », dans un ouvrage collectif, A perte de vue. Les nouveaux paradigmes du visuel, Les Presses du rĂ©el, 2015, p. 135-150.
  • Fabrice Hergott (dir.), MusĂ©e d'Art moderne de Paris - Collections, Paris, Ă©ditions Paris MusĂ©es, 2019, p.281.
  • Chang Ming Peng, "Le langage mĂ©taphysique du visible dans la crĂ©ation artistique en Chine et en Occident", dans L'art contemporain: engagement ou dĂ©sengagement?, Ă©tudes rĂ©unies par Jin Siyan et Peng Chang Ming, Paris, Nuvis, 2020, p.93-126.
  • Renaud Faroux, "Peng Wan Ts (1939) La tentation de l'effroi", dans Renaud Faroux/ Michel Lunardelli, "Le Pop Art en Europe: de Valerio Adami Ă  Christian Zeimert", Paris, Mare & Martin, 2021, p.376-389.
  • Laurence Bertrand DorlĂ©ac, "Peng Wan Ts, MĂ©tamorphoses", dans Laurence Bertrand DorlĂ©ac (dir.) "Les Choses. Une histoire de la nature morte", catalogue d'exposition, MusĂ©e du Louvre, Hall NapolĂ©on, 12 octobre 2022-23 janvier 2023, Paris, Editions du MusĂ©e du Louvre/ LiĂ©nart, 2022, p. 208-209 et Peng Wan Ts, "PoupĂ©e", p.405 du catalogue.
  • Articles / Revues :
  • GeneviĂšve Brerette, « D’une exposition Ă  l’autre : Peng Wan Ts », Le Monde, , article signĂ© G.B.
  • Georges Boudaille, « Les nouvelles citĂ©s d’artistes (IV) », Les Lettres françaises, n°1423 du 16 au .
  • « L’art richissime », Les nouvelles littĂ©raires, n°2359-50e, du 11 au 17/12/1972.
  • Art international, volume XVII/2, February 1973, p.26.
  • Michel Conil Lacoste, « RĂ©alistes europĂ©ens », Le Monde, 4-, p.19.
  • « Karl Flinker », Opus international, N°44195, , reproduction de Sommeil glacĂ©.
  • William Feaver, « Ars 74/Helsinki », Art international, XVIII/5, May 1974, p.38.
  • « Loin des pics enneigĂ©s et des vols de grues », LibĂ©ration, 29/04/1977.
  • « Aux limites de l’humain », Le Matin de Paris, 28/04/1977.
  • Philippe Legrand, « Les froides souffrances de Peng Wan-Ts », Rouge, 05/05/1977.
  • Christian Schlatter, « Peng Wan-Ts et le Phoenix rouge », Info artitudes, n°18, .
  • F.S., « Un talent insidieux : Peng Wan-Ts », Esprit, .
  • « La rĂ©alitĂ© atomisĂ©e », Galerie. Jardin des arts.
  • M.-Cl. V., « Peng Wan-Ts », Nouvelles LittĂ©raires, 05/05/1977.
  • Article portant sur la Documenta 6, Art international, vol.XXI/5, octobre-.
  • Page sur Documenta 6, Opus international, automne 1977, n°64.
  • Richard Crevier, « Peng Wan Ts », Cimaise, N°158, 29e annĂ©e, mai-,p.29-40. 
  • « Interviews d’artistes chinois rĂ©sidant outre-mer, 3e volet : entretien avec Peng Wan-ts », Artist, ,p.69-78.
  • Jean-Marie Dunoyer, « RĂȘveries du repos et de la violence », Le Monde, .
  • « Peng Wan Ts », Le Monde, .
  • « Le dessin-roi », Le Figaro, .
  • « Peng Wan Ts », Le Monde, .
  • « Peng Wan Ts », Le Monde, .
  • « Peng Wan Ts », Art Press, .
  • « Peng Wan Ts », Arts, .
  • « Peng Wan Ts », Le Nouvel Observateur, .
  • « Peng Wan Ts », Le Nouvel Observateur, .
  • « Peng Wan Ts », Le Quotidien du mĂ©decin, .
  • « Le crayon scalpel de Peng-wan-ts », Connaissance des arts, .
  • Le Figaro, 24/02/1982.
  • Jeanine Warnod, « Le dessin-roi », Le Figaro, .
  • L’Aurore, 24/02/1982.
  • Jean-Jacques LĂ©vĂȘque, « La lumiĂšre du dĂ©sastre », Nouveau Journal, .
  • Jean-Jacques LĂ©vĂȘque, « Les arts : Ateliers et galeries», La Nouvelle Revue Française, , p. 159.
  • Xiane Germain, « Transmitting Memories », Passion, .
  • Interview de Peng Wan Ts paru dans Hsiung Shih art monthly, 6, , p.44-49.
  • « Artistes chinois rĂ©sidant Ă  Paris, interviews de Zao Wou-Ki, Chu Teh-Chun, Peng Wan Ts : un art, deux visions », Yuan jian (Regard lointain), , p.116-124.
  • « Dessins sans voile », MusĂ©e Boucher de Perthes, 1994.
  • « MusĂ©e Boucher de Perthes : Le corps sous toutes ses coutures », Abbeville Libre, 03/03/1994.
  • « Le corps et la poussiĂšre », Le Courrier picard,
  • « Coup d’Ɠil », Le Courrier picard, .
  • F.W., « Deux expositions pour les vacances », Le Courrier picard, .
  • Jean-Pierre Sicre, « Peng Wan-Ts », prĂ©sentation avec un choix de dessins paru dans Caravanes, N°8, Editions PhĂ©bus, 2003, p. 383-395.
  • Ludovic Duhamel, « Du visible et de l’invisible
Peng », Miroir de l’art : les mille facettes de l’Art d’aujourd’hui, n°5 printemps 2005, Le Touquet, AurĂ©oline Editions, p.20-25.
  • Philippe Dagen, « Études anatomiques par Peng Wan Ts », Le Monde, , p.30.
  • Lydia Harembourg, « Peng Wan Ts retour », Gazette de l’HĂŽtel Drouot, n°24, , p.317.
  • Philippe Dagen, "Peng Wan Ts, un ermite Ă  Paris. Rencontre, dans son atelier parisien avec le peintre d'origine chinoise exposĂ© au MusĂ©e d'art moderne de la ville de Paris", Le Monde, mardi , p.21.
  • "Fabrice Hergott des pas de cĂŽtĂ©", interview par Richard Leydier, Art Press, , p.25-29.
  • Yu Hsiaohwei (äœ™ć°è•™), "Peng Wan Ts. The Postwar Chinese Artists" (ćŸžć…·è±Ąćˆ°æŠœè±Ąć†ćˆ°æ–°ć…·è±Ą ćœ­èŹćą€ Peng Wan-ts äž€äœćŸžćźčçš„é»‘ć€œç‹©ç”è€…: De la figuration Ă  l'abstraction puis Ă  la nouvelle figuration: Peng Wan Ts, un chasseur serein dans la nuit"), interview publiĂ© dans Cans Asia Art News, n°190, , p.36-55.
  • Chang Ming Peng, "L'usage pictural et esthĂ©tique de la nuit dans la peinture chinoise et occidentale: une approche comparĂ©e Ă  partir de quelques exemples", publication en ligne dans la revue Art Asie-Sorbonne du CREOPS, numĂ©ro consacrĂ© Ă  "La nuit en Asie", https://124revue.hypotheses.org/6352 15/06/2021.
  • Philippe Dagen, "Les objets s'animent au Louvre", "Le Monde", 13 octobre 2022, p.22.
  • Dictionnaire :
  • E. BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs et graveurs, Paris GrĂŒnd, 1976 et rĂ©Ă©ditions suivantes.
Plaquettes 
  • AnkĂ€ufe 1974-1978, exposition au Staatliche Graphische Sammlung MĂŒnchen, -, reproduction du dessin en fig. 9 « Le sommeil glacĂ© », cat. 49.
  • MichĂšle Demoulin, Dessins contemporains, sans lieu, sans Ă©diteur, 1980.
  • Yang Wen-i, « Les artistes chinois en Europe depuis la seconde guerre mondiale/LiĂšge », dans Guide de l’exposition Continental Shift. Un voyage entre les cultures, -, Ludwig Forum Aachen, Bonnefantenmuseum Maastricht, Stadsgalerij Heerlen, MusĂ©e d’art moderne de LiĂšge, catalogue d’exposition, 2000, p.73.
  • CĂ©lĂ©bration d’Harold Pinter, mis en scĂšne par Roger Planchon au ThĂ©Ăątre du Rond-Point Ă  Paris (-), prĂ©sentation de Peng Wan Ts dans une plaquette indiquant que « La dĂ©coration de la salle du restaurant a Ă©tĂ© inspirĂ©e par un trĂšs beau dessin de Peng WanTs, remarquable peintre qui vit Ă  Paris [
] ». La dĂ©coration de la salle a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par Ezio Frigerio.

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