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Parco archeologico di Pontecagnano

Le Parco archeologico di Pontecagnano (en français : Parc archéologique de Pontecagnano) s'étend sur la commune de Pontecagnano Faiano dans la province de Salerne en Campanie.

Parco archeologico di Pontecagnano
Géographie
Pays
Région
Province
Commune
Coordonnées
40° 38′ 36″ N, 14° 53′ 03″ E
Fonctionnement
Patrimonialité
Bien culturel italien (d)
Carte

Description

Le Parco archeologico di Pontecagnano occupe une surface de 22 ha dont 500 m2 de fouilles archéologiques concernent un habitat d'origine étrusque probablement nommé Amina remontant au VIe siècle av. J.-C.

L'habitat à l'époque romaine, à la suite de la déportation d'un groupe de Picènes en 268 av. J.-C., prit le nom de Picentia[1].

L'analyse des restes humains de la phase finale de l'occupation (IVe – IIIe siècle av. J.-C. a mis en évidence des différences de traitement des sépultures. Ce qui peut apparaître comme une preuve d'une diversité ethnoculturelle[2].

Les fouilles ont remis au jour surtout l'habitat romain : L'axe routier principal et de nombreux édifices.

Toutes les pièces archéologiques de la zone et des nécropoles présentes sur le territoire environnant sont exposées au Museo archeologico nazionale dell'agro picentino.

Bibliographie

  • Guida al Distretto archeologico della provincia di Salerno.
  • R. Garrucci, Bullettino Archeologico Napoletano, n.s., 1 (1852-3) p. 84-7, Pl. I, Iscrizioni Etrusche graffite sul fondo esterno di due vasi trovati in sepolcri campani, at p. 87[3].
  • (it) R. Bigazzi, C. Scarsini, La nécropole de Pontecagnano : les aspects biologiques de la phase terminale des implantations campaniennes. Analyse de la mortalité, Archivio per l'antropologia e la etnologia, vol. 128, p. 199-208, 1998, éditeur, Società Italiana di Antroplogia e Etnologia, Florence, Italie, 1927. Revue (ISSN 0373-3009)

Notes et références

  1. Strabon
  2. R. Bigazzi, C. Scarsini, La nécropole de Pontecagnano : les aspects biologiques de la phase terminale des implantations campaniennes, éditeur, Società Italiana di Antroplogia e Etnologia, Florence, Italie, 1927
  3. Garrucci: « In quel medesimo sepolcro, ove fu trovato (sic) la tazza col graffito sovraesposto [= ET, Pontecagnano 34], era una pelike ornata di due rappresentanze erotiche, disotto al piede lessi NVO »(Tav. I n. 3)

Sources

Liens externes

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