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Notre pain quotidien (film, 1934)

Notre pain quotidien (Our Daily Bread) est un film américain réalisé par King Vidor, sorti en 1934.

Notre pain quotidien
Description de l'image Our Daily Bread (1934 film poster).jpg.
Titre original Our Daily Bread
RĂ©alisation King Vidor
Scénario Elizabeth Hill
Acteurs principaux
Sociétés de production Viking Productions
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Drame
Durée 80 minutes
Sortie 1934

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

New York, début des années 1930. John et Mary Sims, pauvres et chômeurs, héritent d'une ferme abandonnée. John, dépourvu de connaissances en agriculture, rencontre un paysan chassé du Minnesota et lui propose de venir travailler avec lui. Plus tard, à l'aide de panneaux, il invite d'autres personnes sans travail à mettre en commun leurs compétences techniques ou professionnelles. Une coopérative est alors fondée. Bientôt, chaque famille possède sa propre maison. Sally, une jeune femme en détresse, s'installe au sein de la communauté et entreprend de séduire John, maintenant responsable de la coopérative. Le maïs a poussé mais une grave sécheresse menace d'anéantir la récolte. Après une phase de découragement, John se ressaisit et pousse ses compagnons à creuser un canal favorisant l'irrigation des champs asséchés.

Fiche technique

Distribution

Acteurs non crédités

Autour du film

  • King Vidor Ă©crivit, Ă  propos d'une de ses Ĺ“uvres les plus cĂ©lèbres : « La jeunesse n'imagine pas ce que fut la crise amĂ©ricaine au dĂ©but des annĂ©es 1930 avec le chĂ´mage et la dĂ©pression, les marches de la faim. Je voulus reprendre alors les deux protagonistes de La Foule, comme un couple amĂ©ricain type vivant cette dure pĂ©riode. […] Chaplin appuya mon projet et me fit signer un contrat par l'United Artists. J'allai alors trouver un banquier. Quand il lut dans mon dĂ©coupage qu'une banque obligeait un shĂ©rif Ă  vendre une terre aux enchères malgrĂ© l'hostilitĂ© des campagnards, il refusa de financer le film, et je refusai de couper la scène, pareille Ă  celles qui avaient lieu partout dans le pays. J'engageai alors dans la production ma maison, mon auto, toutes mes Ă©conomies pour financer une production Ă  petit budget (150 000 dollars). »[1]

Références

  1. in : A Tree is a Tree, 1954, autobiographie. Cité par Georges Sadoul, in : Dictionnaire des films, Microcosme/Seuil. 1965.

Liens externes

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