Michael Beer
Biographie
Il est fils d'un riche banquier israélite et d'Amalie Beer. Il est le frère de l'astronome Guillaume Beer, et du compositeur Giacomo Meyerbeer.
On connaît de lui des poésies lyriques et plusieurs tragédies :
- Clytemnestre
- les Fiancées d'Aragon (1823)
- le Paria (1826)[1]
- Struensée, pièce considérée comme son chef-d'œuvre (1827)
- L'Épée et la Main (1832).
Ses Œuvres sont réunies à Leipzig en 1835.
Bibliographie
- (de) Hermann Hettner, « Beer, Michael », dans Allgemeine Deutsche Biographie (ADB), vol. 2, Leipzig, Duncker & Humblot, , p. 250 s:ADB:Beer, Michael
- (de) Heinrich Maiworm, « Beer, Michael », dans Neue Deutsche Biographie (NDB), vol. 1, Berlin, Duncker & Humblot, , p. 737 (original numérisé). deutsche-biographie.de
- Lothar Kahn: Michael Beer 1800–1833. In: Leo Baeck Year Book 12 (1967), S. 149–160 (nicht eingesehen)
- Robert Ignatius Le Tellier (Hrsg.): The Diaries of Giacomo Meyerbeer. Fairleigh Dickinson Univ. Press, 2004, (ISBN 0-8386-3845-7), S. 567 (Literaturzusammenstellung;).
- Denis A. Chevalley: Denkmäler in Bayern, Landeshauptstadt München. Halbband 2, München 2004, S. 627–628: Abbildung des Grabsteins im Alten Jüdischen Friedhof in München, entworfen durch Leo von Klenze.
- August Lewald (de): Panorama von MĂĽnchen, 1. Teil, Stuttgart 1835, S. 76 ff: Michael Beer und die MĂĽnchner Gesellschaft, Ursachen seines Todes. books.google
Notes et références
- Il milite dans cette pièce en un acte pour l'émancipation des Juifs. Cf. Victor Klemperer. LTI, la langue du IIIe Reich. Paris : Éditions Albin Michel, 1996. (ISBN 2-266-13546-5). Traduit de l'allemand et annoté par Élisabeth Guillot. Note de bas de page, p. 256.
Liens externes
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