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Margaret Carpenter

Margaret Carpenter, née Margaret Sarah Geddes le à Salisbury et morte le à Londres, est une peintre britannique très célèbre en son temps, héritière de Thomas Lawrence. Elle réalise un millier de peintures, principalement de célébrités de son époque. Elle était l'amie de Richard Parkes Bonington.

Margaret Carpenter
Autoportrait de Margaret Carpenter (1817)
Naissance
Décès
(Ă  79 ans)
Marylebone
SĂ©pulture
Nationalité
Activités
Conjoint
William Hookham Carpenter (en)
Enfants
William Carpenter
Percy Carpenter (en)
Jeune fille (1839)

Jeunesse

Elle nait à Salisbury et grandit dans une ferme près d'Alderbury, un village du Wiltshire en Angleterre. C'est la fille du Capitaine Alexander Geddes, d'une famille d'Edimbourg, et de Harriet Easton. Elle étudia l'art et la peinture à l'huile auprès d'un professeur de dessin local. Elle épouse William Hookham Carpenter, directeur du département graphique du British Museum[1], le couple a huit enfants, dont trois sont morts en bas âge. Trois de leurs enfants deviennent peintres à leur tour. William Carpenter, Percy Carpenter (en) (1820–1895), et Henrietta (1822–1895)[2].

Carrière

Aidée par un mécène, elle intègre un réseau de personnalités qui lui passent commande. Elle devient une référence en tant que peintre. Ses portraits la rendent célèbre dans tout le pays. Elle obtient des médailles de la Royal Society of Arts en 1812 et 1814. Elle expose 250 œuvres à la Royal society of Arts mais sa candidature pour intégrer l'institution ne sera pas retenue. Ce n'est qu'en 1922 qu'une femme intégrera cette académie : Annie Swynnerton[3].

Elle meurt à son domicile de Marylebone, Londres, le , et est inhumée à côté de son mari au cimetière de Highgate[2].

Notes et références

  1. (en) Smith, « Carpenter, William Hookham (1792–1866) », dans Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (lire en ligne) Inscription nécessaire
  2. (en) Richard J. Smith, « Carpenter [née Geddes], Margaret Sarah (1793–1872) », dans Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (lire en ligne) Inscription nécessaire
  3. (en) « Annie Swynnerton: The woman who forced open the male art world »

Liens externes

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