María Pilar López

Elle est née à Cieza où elle a suivi ses études de baccalauréat. Après la guerre civile elle s'est installée à Madrid où elle fait des études de soins infirmiers à l'École de sages-femmes, profession qu'elle exercera à Cieza jusqu'à sa retraite.

À Madrid elle a fait partie du groupe Juventud Créateur et du groupe Jeunesse créatrice avec les écrivains José García Nieto et Jesús Juan Garcés, entre autres[3]. C'est à cette même époque qu'elle commencé à écrire ses premiers poèmes, qui ont été rassemblés dans le livre Aroma repetida, qui a été publié la même année,

Elle publie son premier livre de poèmes Voz amarga y eco alegre en 1940[4]. Dans son livre Historia de la literatura murciana, Díez de Revenga fait référence à une description de Juan Barceló Jiménez :

« Elle est l'auteur d'une poésie douloureuse, transcendantale, existentialiste, où elle laisse des traces de sa constante solitude. »

Depuis sa première œuvre Voz amarga y eco alegre (1940), elle a publié Aurora repetida (1941), Tú y la huída (1952), El cielo perseguido (1959), Las tormentas (1959), Ahora y siempre (1961), Cita en el corazón (1963), Ángel irremediable (1964), Esta muchacha es mi hija (1968), Cartas al viento (1971), Cartas a un hombre nuevo (1975), Esta es Olga (1979), Antología poética (1982), Multiplicado amor (1987), Todo el tiempo (1995), Ahora y siempre (1997)

Ses poèmes figurent dans le livre Desde la amistad para María Pilar López (2003), dans lequel l'écrivain Juana J. Marín coordonne des poèmes inédits de María Pilar López avec vingt-six autres écrivains, en guise d'hommage, publié par Azarbe[2].

Sa biographie a été élaborée par Andrés Salom dans son livre Poeta María Pilar López Vie et Œuvre et Francisco Javier Díez de Revenga dans son livre Histoire de la littérature murcienne[2]. En Monteagudo. Revista de Literatura Española, Hispanoamericana y Teoría de la Literatura, José Luis Martínez Valero, en una referencia al libro de Andrés Salom hizo la siguiente reflexión[5]:

« Que découvre Andrés Salom en Pilar López ? Le miracle de la vie, avec Pilar nous sommes en présence de quelqu'un qui n'a pas peur du monde, quelqu'un qui se donne et, parce qu'elle donne, nous donne la vie. »

Elle a été honorée lors de la cérémonie de remise des prix du III Certamen de Estudios Locales, en juin 2014[6].

Elle a aussi fait un hommage posthume a également été rendu à l'écrivain dans l'Aula de Cultura de Cajamurcia de la Calle Padre Salmerón, à Cieza, sa ville natale, le 26 avril 2007, organisé et coordonné par le groupe littéraire La Sierpe y el Laúd[7].

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• Ágora n.º 11 • Automne-Hiver 2006. Atelier d'Art Gramático. ISSN 1575-3239
• 1993. Monteagudo. Revue de Littérature Espagnole, Hispanoamericana et Théorie de la Littérature n.º 11. EDITUM, Service de Publications, Université de Murcie. ISSN 0580-6712
• Andrés Salom, Poète María Pilar López Vie et Oeuvre, Édition de la Réelle Académie Alfonso X le Savant et l’Académie royale Alphonse X le sage, 1992 (ISBN 84-87408-44-3).
• 1989. Francisco Javier Díez de Revenga, Mariano de Paco. Histoire de la littérature murcienne. Édition conjointe: Secrétariat de Publications, Université de Murcie - Académie Alfonso X la Savante - Éditrice Régionale de Murcie. (ISBN 84-87408-04-4)
• Juan Barceló Jiménez et Ana Prisons Alemán, Écrivaines murciennes, Édition de l'Académie Alfonso X le Savant, 1986 (ISBN 84-00-06232-9).
• 1977. María Pilar López. Maintenant et toujours. Association Culturelle Lit-Cieza et excellentissime. Mairie de Cieza. Dépôt Légal: MU-1884-1997

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