Maison d'arrĂȘt de Tarbes
La maison d'arrĂȘt de Tarbes est une maison d'arrĂȘt situĂ©e Ă Tarbes dans le quartier du Martinet (canton de Tarbes 2), dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es en rĂ©gion Occitanie.
| Maison d'arrĂȘt de Tarbes | ||||
| _1.jpg.webp)  Vue partielle. | ||||
| Localisation | ||||
|---|---|---|---|---|
| Pays |  France | |||
| Région | .svg.png.webp) Occitanie | |||
| Département | Hautes-Pyrénées | |||
| DISP | Toulouse | |||
| CoordonnĂ©es | 43° 14âČ 05âł nord, 0° 04âČ 46âł est | |||
| Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées 
 Géolocalisation sur la carte : Occitanie 
 Géolocalisation sur la carte : France 
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| Architecture et patrimoine | ||||
| Construction | - | |||
| PropriĂ©taire |  Ătat français | |||
| Installations | ||||
| Type | Maison d'arrĂȘt | |||
| Superficie | 4 487 m2 | |||
| Fonctionnement | ||||
| Date d'ouverture | ||||
| Effectif | 69 | |||
| Statut actuel | En fonctionnement (d) | |||
Histoire
Elle fut mise en service en avec une capacité de 69 places et située au 17 rue Eugéne-Tenot.
Description
    Architecture
Son architecture est en forme de " Y ". Les locaux de détention se composent d'un quartier sur 3 niveaux et d'un quartier dans l'aile gauche sur 2 niveaux. Dans le demi-cercle se répartissent les cours de promenade[1].
Fonctionnement de l'établissement
La maison d'arrĂȘt de Tarbes reçoit les personnes en dĂ©tention provisoire (avant leur jugement), les dĂ©tenus condamnĂ©s dont la peine est infĂ©rieure Ă 3 ans, ainsi que les condamnĂ©s Ă une longue peine en attente de transfert.
Elle est rattachée à la cour d'appel de Pau, à la cour d'assises et au tribunal judiciaire de Tarbes.
Selon les chiffres du MinistĂšre de la Justice, la maison dâarrĂȘt de Tarbes Ă©tait, au , lâĂ©tablissement pĂ©nitentiaire le plus peuplĂ© de France avec une densitĂ© carcĂ©rale de 203 %, soit 138 dĂ©tenus pour 69 places[2].
Détenus notables
Le , Thierry Prat, qui avait été mis en examen pour le meurtre de sa compagne Florence Gandil et incarcéré dans l'établissement, se suicide dans sa cellule, ce qui met également fin à la procédure[3].
Galerie
- SĂ©lection de vues de la maison d'arrĂȘt.
_2.jpg.webp) - Rue Eugéne Tenot. 
_3.jpg.webp) - L'entrée. 
_4.jpg.webp) 
Notes et références
- « Tarbes », sur justice.gouv.fr (consulté le )
- « Tarbes : la maison d'arrĂȘt est-elle toujours la plus surpeuplĂ©e de France ? », sur ladepeche.fr (consultĂ© le )
- « Le meurtrier présumé de Florence Gandil s'est suicidé à la prison de Tarbes », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )



