Lucille Wilcox Joullin
Lucille Wilcox Joullin (1876-1924) est une peintre américaine connue pour ses paysages de la Californie et ses représentations des Indiens Pueblos du Nouveau-Mexique[1].
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activité | |
Conjoint |
Biographie
Lucille (ou Lucile) Wilcox Joullin Benjamin est née à Genesco dans l'Illinois le . Elle a travaillé avec John Vanderpoel à l'Art Institute of Chicago. En 1894, elle s'installe à San Francisco. D'abord mariée à l'artiste Jules Mersfelder, elle se marie plus tard au peintre Amédée Joullin en 1907. Le couple part à Paris en 1907 et ne revient à San Francisco qu'en 1909. À la mort de son mari en 1917, elle épouse en troisièmes noces Edward H. Benjamin, un ingénieur des mines[2]. Elle passe de longues périodes au Nouveau-Mexique. Elle vécut à San Francisco jusqu'à sa mort le .
Expositions
- San Francisco Art Ass'n, 1905.
- Mark Hopkins Institute, 1906.
- Sketch Club (San Francisco), 1906.
- Paris Salon, 1908.
- Rabjohn & Morcom (San Francisco), 1915 (solo).
- Kanst Galleries (Los Angeles), 1923.
Collections
- Southwest Museum. Los Angeles.
Notes et références
- George Wharton James, New Mexico, the land of the delight makers. The Page company. 1920. p.399.
- Mining and scientific press, Volume 119. Dewey Pub. Co., 1919
Références
- David Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord. Les Presses de l'Université Laval. 1992.
- Phil Kovinick, Marian Yoshiki-Kovinick, An encyclopedia of women artists of the American West. University of Texas Press. 1998.
- George Wharton James, New Mexico, the land of the delight makers. The Page company. 1920.
- Robert R. Preato, The genius of the fair muse: painting and sculpture: celebrating American women artists 1875 to 1945. Grand Central Art Galleries. 1987.