Luce Basseterre
Luce Basseterre, née en à Toulon, est une romancière, nouvelliste et autrice de science-fiction française.
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Biographie
Née à Toulon, Luce Basseterre a passé une partie de son enfance au Québec où elle a découvert la science-fiction au travers de la série Star Trek. Ce n’est qu’en 2009 qu’elle commence à écrire d’abord des fanfictions, puis des nouvelles de science-fiction ou fantastique. Elle fait la connaissance de Jean-Pierre Fontana et d’un petit groupe d’amis appelés à fonder l’Association Gandahar en 2013. En 2015, elle revêt la casquette de rédactrice en chef délégué le temps de concevoir le troisième numéro de la revue Gandahar, opus consacré aux 24 heures de la nouvelles.
Elle participe activement à l’organisation des Aventuriales, un festival auvergnat promouvant les littératures de l’imaginaire, dans le cadre de l'association éponyme, créée en 2018[1].
Luce Basseterre est un pseudonyme choisi en hommage à son grand-père paternel, la majorité de ses écrits appartiennent au genre de la science-fiction, et plus particulièrement au space opera.
Dans le Le Chant des Fenjicks, un préquel sur les cybersquales, elle expérimente l'utilisation du langage épicène pour aborder la complexité d'une société complexe organisée selon le genre[2].
Ĺ’uvres
Romans
- Le Chant des Fenjicks, Mnémos, 2020 (ISBN 9782354087944)
- La Débusqueuse de mondes, Mü éditions, 2017 (ISBN 979-10-92961-63-8)[3] ; rééd. Le Livre de poche no 35307, 2019 (ISBN 978-2-253-82016-1).
- Les Enfants du passé, Voy'el, coll. Science-fiction, 2016 (ISBN 2364753473)[4] ; rééd. Le livre de poche, 2022 ( (ISBN 2253103306))
Nouvelles
- « La maison fantôme », Bragelonne, coll. Brage fantastique, 2016[5].
- « Bienvenue à Sisko », Présences d'esprits n° 86, 2016.
- « Les plumes de l'imaginaire », Etherval n° 7, 2015.
- « Ceux qui sont restés » dans Dimension New York, Rivière Blanche, 2015[6].
- « Il suffit de passer le pont », Gandahar n° 3, 2015.
- « Bob » dans Robots, La Madolière, 2014.
- « Le synchromachintruc », Galaxie n° 32, 2014.
- « Entraves et découvertes », L'armoire aux épices, 2014.
- « Le chant des baleines » dans Créatures, La Madolière, 2013.
Transmédia
Luce Basseterre appartient au collectif « Aventuriers intérimaires »[7] - [8]regroupant une douzaine d'auteurs dont Anthony Boulanger, Eva Simonin, Jean Vigne, Lilie Bagage, Clémence Godefroy, Laurent Pendarias et Lucile Dumont qui développe depuis 2013 un projet transmédia comportant des romans et des jeux vidéo. Dans ce cadre elle co-scénarise le jeu vidéo « Aventurière intérimaire »[9] en traitant les thématiques LGBT+ et écrit deux nouvelles pour l'univers étendu[10]
- « L'affaire Henri Verne» ;
- « Je n'arrive pas à le croire ».
Notes et références
- « Éditions GandahaR », sur Site des Éditions GandahaR (consulté le )
- « Dossier - 5 nouvelles voix de la science-fiction française à découvrir et à suivre attentivement ! », sur syfantasy.fr, (consulté le )
- « La débusqueuse de monde », sur Le Peuple de Mü (consulté le )
- « Les Enfants du passé », sur Editions Voy'el (consulté le )
- « La maison fantôme », sur Les libraires.fr (consulté le )
- « Dimension New York », sur Edition Rivière Blanche (consulté le )
- Luce Basseterre, « Présentation », sur https://www.lucebasseterre.fr/ (consulté le )
- « Aventuriers intérimaires le concept »
, sur http://aventuriers-interimaires.fr/aventuriers-interimaires-une-vocation/le-concept-ai/lunivers-transmedia/ (consulté le ) - « Aventurière Intérimaire le jeu », sur https://laurent-pendarias.itch.io/aventuriere-interimaire-le-jeu (consulté le )
- Luce Basseterre, « Nouvelle "Je n,'arrive pas à la croire" », sur https://www.wattpad.com/story/111299177-je-n%27arrive-pas-%C3%A0-le-croire-de-luce-basseterre (consulté le )