Louis Jules Chouard
Louis Jules Chouard, né Brieuc Joseph Chouard, en littérature Pierre Vernou, né le à Vernou-sur-Seine[1] et mort le à Épineuil, est un journaliste et écrivain français.
Louis Jules Chouard
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(Ă 61 ans) Yonne |
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Fils de Martin-Jules Chouard, instituteur et artiste peintre, il suit des études au séminaire de Meaux[2]. Il devient plus tard inspecteur du personnel à la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, puis rédacteur au Petit Parisien, au Petit Journal et au Journal. Il fut également rédacteur en chef du Supplément du Petit Parisien[3].
Il publie, sous le pseudonyme de Pierre Vernou, plusieurs romans et nouvelles.
Il est le père du professeur Pierre Chouard.
Ĺ’uvres
Romans
- Le Choix d'une Maîtresse, Bibliothèque indépendante d'édition, Paris, 1906
- Au Creux des sillons, préface d'André Theuriet, Delagrave, Paris, 1907
- Les Pirates de l'air, illustrations de Georges Dutriac et Henri Lanos, Hachette, Bibliothèque des écoles et des familles, Paris, 1913
- L'Homme sans tête, publié en feuilleton dans Le Matin, 1914
- Le Sphinx aux yeux pourpres, publié en feuilleton dans Le Matin, 1920
- La Merveilleuse Aventure de deux apprentis, illustrations de Paul Carrey, Gravure et impression moderne, E. Hollebecq et Cie, 1922
- Aventures de deux scouts alsaciens et de leur chien Brisquet, illustrations de S. Touchet, Hachette, Bibliothèque de la jeunesse, Paris, 1926
- Les Yeux de rubis, Fayard, Paris, 1928
Nouvelles
- Le Crime de Jean Hureau, dans Le Grand Illustré du [4]
- Le Vieux Fusil, dans Le Grand Illustré du [5]
- L'Orgueilleuse Paternité dans Le Matin du [6]
- Un ArrĂŞt dans la nuit dans Le Matin du [7]
- Sur la route dans Le Matin du [8]
- Le Pouce, dans Le Matin du [9]
- Les HĂ©ritiers de Salewski
- Un Trésor parmi les tombes
- Plus fait douceur
Notes et références
- Archives de la Seine-et-Marne, commune de Vernou-sur-Seine, acte de naissance no 28, année 1865 (vue 253 /274)
- Au recrutement militaire (bureau de Coulommiers, classe 1885), sa fiche matricule indique comme profession "élève ecclésiastique".
- Le Petit Parisien du 12 octobre 1927
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