Loren Pallatier

Après des études littéraires (dessin et arts plastiques), il part pour l’École Nationale de Tauromachie de Madrid. À la suite d'une blessure en 1982, il s'oriente vers la peinture et s'installe en Espagne où il vit toujours[1].

Il suit l’École des Arts et des Métiers de Séville, devient le dessinateur de revues spécialisées et collabore à plusieurs expositions collectives puis personnelles.

Il s'intéresse particulièrement à la tauromachie[2]. Spécialisé dans l'art contemporain, il élargit son champ d'intervention puisque la Manufacture de la tapisserie d'Aubusson le choisit pour illustrer l'une de ses collections.

Il est à l'origine de la "toréographie" où il utilise la muleta comme pinceau pour écrire le toréo[3] - [4] - [5]; la calligraphie du torero.

Pour l'une de ses œuvres, il s'est enfermé dans les corrals des arènes de Vic-Fezensac (Gers), avec pour objectif d'observer et de peindre son modèle[6] - [7].

• Article Revista de Estudios Taurinos N.o 42, Sevilla, 2018 de Fernando Lucas Cid “Toréografía y pintura zen : un lenguaje común para la tauromaquia y el satori budista“ https://institucional.us.es/revistas/taurinos/42/Fernando%20Cid%20Lucas.pdf
• Article de presse El Mundo du 21/08/2017 “El nuevo Picasso de la tauromquia“ https://www.elmundo.es/papel/cultura/2017/08/16/5991c27dca47419a5e8b45dd.html
• Diaporama La Provence du 09/09/2012 Julie Zaoui "Quand les arênes d'Arles inspirent les créateurs"
• Article de presse ABC du 30/04/2011
• Article de presse Sud Ouest du 11/09/2010 Benjamen Ferret "La galerie éphémère de Loren"
• Article de presse Le Monde du 20/08/2005 Francis Marmande "A Dax, une exposition loin de tout folklore"