Licata (Italie)
Licata est une ville italienne de la province d'Agrigente en Sicile.
Licata | |
Vue de Licata | |
Administration | |
---|---|
Pays | Italie |
RĂ©gion | Sicile |
Province | Agrigente |
Maire Mandat |
Angelo Balsamo 2013 |
Code postal | 92027 |
Code ISTAT | 084021 |
Code cadastral | E573 |
Préfixe tel. | 0922 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | licatesi |
Population | 38 007 hab. (31-12-2014[1]) |
Densité | 214 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 37° 06′ 30″ nord, 13° 56′ 49″ est |
Altitude | Min. 8 m Max. 8 m |
Superficie | 17 800 ha = 178 km2 |
Divers | |
Saint patron | Sant'Angelo |
FĂŞte patronale | 5 mai |
Localisation | |
Localisation dans la province d'Agrigente. | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
GĂ©ographie
Licata est située à l’embouchure de l'Imera méridionale (ou Salso), au pied du mont Ecnomos[2].
Histoire
Lieu de la Bataille d'Himère en -311 lors de laquelle Agathocle est défait par les Carthaginois, occupé par les humains depuis la Protohistoire, la cité est fondée en -284 par le tyran Phintias d’Agrigente qui lui donne son propre nom[2].
En -256, la bataille du Cap Ecnome voit s'affronter Romains et Carthaginois[2].
A la fin des années 1950, on doit importer l'eau potable pour alimenter la ville, arrivée par bateaux-citernes, vendues dans les rues par des charretiers, l'aqueduc existant étant régulièrement coupé par la Mafia[3].
Culture
Sport
La ville dispose de son propre stade, le Stade Dino Liotta, dans lequel Ă©volue le principal club de football de la ville, le Licata Calcio 1931.
Administration
Hameaux
Torre di Gaffe
Communes limitrophes
Butera, Camastra, Campobello di Licata, Naro, Palma di Montechiaro, Ravanusa, San leone, Agrigente, Gela
Jumelages
- Cestas (France) depuis 2007
- Reinheim (Hesse) (Allemagne)
Notes et références
- (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
- Pierre Lévêque, « Géla », La Sicile, Presses Universitaires de France, « Nous partons pour », 1989, p. 177-188. [lire en ligne].
- « III. - Palma di Montechiaro, ou la ville pourrie », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )