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Les Corsaires du bois de Boulogne

Les Corsaires du bois de Boulogne est un film français de Norbert Carbonnaux sorti en 1954.

Les Corsaires du bois de Boulogne

RĂ©alisation Norbert Carbonnaux
Scénario Norbert Carbonnaux
Acteurs principaux
Sociétés de production Pecefilms
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Comédie
DurĂ©e 77 minutes
Sortie 1954

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Avides d'argent et de gloire, trois chanteurs des rues sans public, Hector Colomb, Adèle et Cyprien, s'inspirent des exploits de Thor Heyerdahl et d'Alain Bombard pour attirer l'attention sur eux en devenant des « naufragés volontaires ». Dans ce but, ils commencent par abattre plusieurs arbres dans le bois de Boulogne. La police intervient et embarque par erreur avec Hector et Cyprien, la fille de l'industriel Grossac. Celui-ci décide de financer la construction par les chantiers navals de Saint-Tropez, du radeau L'Orthodoxe, à partir de troncs d'arbres du bois de Boulogne.

Cyprien prend des leçons de navigation pour se préparer à remplir ses futures fonctions de capitaine. Mais lorsque le radeau est lancé à Saint-Tropez, il coule dans le port. Le trio songe à abandonner et à regagner Paris, mais la seconde tentative sera la bonne.

Après plusieurs mois de mer, le radeau reviendra de lui-même à son point de départ, et s'échouera sur une plage voisine de Saint-Tropez. Une publicité bien orchestrée assurera cependant aux « naufragés volontaires » un retour triomphal à Paris. Ils feront fortune en conseillant et aidant tous ceux qui seront tentés par une aventure similaire, et Cyprien épousera Caroline Grossac.

Fiche technique

Distribution

Production

Le tournage a eu lieu du au .

Notes et références

  1. Dans un entretien avec Emmanuel Legeard (2017), à la question « Vous êtes l’auteur de beaucoup de gags, là-dedans? », Fred Kassak répond : « De rien du tout! C’est la tâche à laquelle on m’avait attelé, mais je n’ai joué aucun rôle dans cette histoire. On était en plein mois d’août, il faisait une chaleur d’enfer, je travaillais chez le réalisateur dans une moiteur d’étuve, lui mâchonnant son crayon, et moi comptant les mouches ; seule l’irruption de l’assistant, un jeune personnage plutôt taciturne du nom de Georges Lautner, nous tirait de temps en temps de notre abrutissement… Autant dire que ma collaboration à ce film a été parfaitement infructueuse, pour ne pas dire parfaitement nulle ». Cf. Emmanuel Legeard, « Entretien avec Fred Kassak », Revue littéraire, mars 2017.

Liens externes

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