Le Maître des mensonges
Le Maître des mensonges (titre original : Master of Lies (aka Black Angel)) est un roman d'horreur écrit par Graham Masterton, publié aux États-Unis en 1992 par les éditions Tor Books.
Le Maître des mensonges | |
Auteur | Graham Masterton |
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Pays | Écosse |
Genre | Roman Horreur |
Version originale | |
Langue | Anglais |
Titre | Master of Lies (aka Black Angel) |
Éditeur | Tor Books |
Lieu de parution | New York |
Date de parution | |
ISBN | 0312851022 |
Version française | |
Traducteur | François Truchaud |
Éditeur | |
Collection | Romans Ă©trangers |
Lieu de parution | Paris |
Date de parution | |
Type de média | Livre papier |
Illustrateur | Pierre Olivier Templier |
Couverture | Pierre Olivier Templier |
Nombre de pages | 377 et 330 |
ISBN | 2266076620 |
SĂ©rie | Thriller fantastique |
Ce roman raconte l'histoire du lieutenant Larry Foggia qui mène une enquête sur une série de meurtres à caractère diabolique. Alors que la vérité sur le mobile des crimes dépasse toute logique rationnelle, Foggia se voit alors contraint de recourir à des séances de spiritisme et s'intéresser à la démonologie pour résoudre l'affaire.
Résumé
Joe Berry, un flic à la retraite, et sa famille heureuse profitent d'une soirée tranquille lorsqu'un géant portant un masque à cornes fait irruption dans leur maison, oblige Joe et sa femme à se clouer mutuellement au sol avec des pointes de chemin de fer, puis leurs petits enfants au mur, taillade et viole la femme avec jubilation, et brûle vif toute la famille. Ce crime atroce est le premier d'une longue série de meurtres rituels qui vont secouer la ville de San Francisco. Les autorités ont surnommé l'auteur de ces meurtres rituels "Fog City Satan", en raison de leur horreur. Bien que tous les meurtres soient similaires, il n'y a aucun schéma récurrent ni lien évident entre eux, à part leur caractère atroce. Le lieutenant Larry Foggia est en charge de l'enquête. Il se retrouve confronté à des indices mystérieux et surnaturels, comme le visage du démon Bélial visage fantomatique apparaissant dans sa paume pour lui chuchoter des secrets, des menaces et des mensonges. Malgré les défis qui se dressent sur sa route, le lieutenant Foggia continue de poursuivre l'assassin pour mettre fin à cette série de meurtres abominables.
Incipit du roman
"Joe Berry, essuya consciencieusement les dernières traces de sauce bolognaise avec un morceau de pain, puis repoussa son assiette, et ce fut la fin de ce qui serait son dernier repas[1]". Cet incipit introduit la scène la plus sadique de l'histoire de l'horreur, selon la revue littéraire américaine Kirkus Reviews[2].
Notes et références
- Graham Masterton, Le maître des mensonges, Pocket, , 377 p. (ISBN 2266076620), p. 9
- (en) « Master of lies », sur kirkusreviews.com (consulté le )