Le Donjon de Naheulbeuk : L'Amulette du Désordre

Le jeu met en scène une histoire inédite dans l'univers de la saga MP3 Le Donjon de Naheulbeuk. Dans celle-ci, sept aventuriers (le Ranger, le Barbare, l'Elfe, le Nain, la Magicienne, l'Ogre et le Voleur) partent à la recherche de la statuette de Gladeulfeurha[4]. Au cours de leur aventure, ils croiseront les PNJ iconiques et pourront explorer le fameux donjon de Naheulbeuk[5].

Le Donjon de Naheulbeuk : l'Amulette du désordre prend la forme d'un tactical RPG[1]. Il s'inspire de mécaniques de jeux vidéo de rôle éprouvées dans des séries de jeu comme X-COM ou Divinity en leur adjoignant une dimension parodique[1]. Le jeu propose de combattre plus d'une centaine d'ennemis différents ainsi que des boss[4]. Il met l'accent sur la coopération entre les différents aventuriers et leurs compétences variées[6]. Dans le décor, des objets destructibles permettent de nouvelles tactiques à travers leurs effets (feu, poison, bière...)[4]. Chaque personnage dispose de son propre arbre d'évolution des compétences et de son équipement[5].

Le jeu propose une difficulté adaptable : d'un mode « Histoire » pour les joueurs voulant profiter principalement du scénario jusqu'à un mode « Cauchemar » pour les joueurs adeptes de challenge[4].

Un jeu vidéo adapté du Donjon de Naheulbeuk était envisagé en même temps que le projet de série animée[1]. C'est finalement un projet de jeu basé sur l'adaptation en bandes dessinées de la licence qui démarre en 2017[1]. Le Donjon de Naheulbeuk : l'Amulette du désordre est annoncé en juin 2018 lors de la Gamescom[7]. Il est développé par le studio lyonnais Artefacts Studio et est édité par Dear Villagers[3]. Le créateur de l'univers, John Lang, est chargé du scénario du jeu[1].

La musique du jeu reprend des titres de la saga MP3 originale ainsi que des compositions du Naheulband et des créations originales[3].

Entre autres personnes, le doublage français du jeu est notamment assuré par Franck Pitiot et Jacques Chambon (de la série Kaamelott) ainsi que par les vidéastes Benzaie et Bob Lennon[4].

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