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LĂ©gion

La légion est à l'origine l'unité de base de l'armée romaine — Voir l'article de fond légion romaine. Le terme a fait florès et fut repris à différentes époques.

Légion peut faire référence aux entités suivantes :

Un corps d'armée

Révolution française

XIXe siècle

XXe siècle

XXIe siècle

Une distinction

Une formation politique

Un album de bande-dessinée

Téléfilms

Films

Série télévisée

  • Legion, une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e crĂ©Ă©e par Noah Hawley diffusĂ©e depuis 2017.

Jeux vidéo

Des artistes

Personnages

Notes et références

  1. Histoire et Dictionnaire de la Gendarmerie - De la Maréchaussée à Nos Jours. Sous la direction de Jean-Noël Luc et Frédéric Médard. Jacob-Duvernet et Ministère de la Défense, 2013 (ISBN 978-2-84724-496-0) consulté le 21 janvier 2018
  2. "Légions.— La loi du 29 avril 1792 crée six légions composées chacune de deux bataillons d'infanterie légère, d'un régiment de chasseurs à cheval ou de dragons et d'une division d'ouvriers. On en forme successivement plusieurs autres ; mais les lois du 21 février 1793 et du 9 pluviôse an II ordonnent leur incorporation ; l'infanterie forme de nouveaux bataillons de chasseurs à pied, et la cavalerie sert de noyau à huit nouveaux régiments de chasseurs à cheval. Voici le nom de ces légions : Légion de Kellermann ou de la Moselle.- De Luckner ou du centre.— Des Ardennes ou de Myazinsky.— Des Alpes.— Du Midi ou des Américains composés d'homme de couleur satisfaits d'habiter la terre de la liberté, dit le décret de création, et commandée par le célèbre chevalier de Saint-George.— Nationale du Midi ou de Montesquiou.— Nationale des Pyrénées, Castelverd, chef.— De la Montagne, fille des sociétés populaires, levée à Marseille par Barras et Servières.— Nationale des montagnes des Pyrénées ou de Miquelets.— De Rosenthal, levée par le citoyen d'Hingue.— Nantaise, organisée en Vendée par le représentant Dubois-Crancé. — Des Francs, levée à Mayence en mai 1793. En l'an IV, le général Hoche forme dans l'Ouest la première légion des Francs ou légion Rouge, et la deuxième légion des Francs, toutes deux incorporées dans la ligne l'année suivante. L'arrêté du 17 ventôse an VIII, qui ordonne la formation d'une armée de réserve, prescrit l'organisation à Dijon d'une légion volontaire de la réserve du premier consul, commandée par le chef de brigade Labarbée, et composée de jeunes gens de riches familles échappés à la conscription. L'infanterie porte l'uniforme des troupes de ligne, et la cavalerie, équipée à la hussarde, a une pelisse couleur jaune clair qui fait donner aux soldats qui la portent le surnom de Canaris. Cette légion est licenciée et incorporée on l'an IX, après avoir fait une seule campagne à l'armée des Grisons. Les légions de réserve de l'intérieur, créées au nombre de cinq par décret du 20 mars 1807, pour la défense des frontières, s'organisent à Lille, Metz, Rennes, Versailles et Grenoble. Elles ont, à l'origine, pour chefs les généraux Colaud, Sainte-Suzanne, Demont, Laboissière et Valence. Contrairement au principe de leur institution, les trois premiers bataillons de ces légions entrent en Espagne à la fin de 1807 avec le corps du général Dupont, et trouvent la mort ou la captivité sur le champ de bataille de Baylen, à Cabrera et sur les pontons de Cadix. Les quatrièmes bataillons de chaque légion les remplacent à l'armée d'Espagne. On réorganise les cadres des trois premiers bataillons, qui sont complétés, et, on en forme, le 1er janvier 1809, deux régiments qui prennent dans la ligne les numéros 121 et 122." in Adrien Pascal, Histoire de l'armée et de tous les régiments depuis les premiers temps de la monarchie française jusqu'à nos jours, Paris, Publié par A. Barbier, . Notice Bnf n° FRBNF36378851
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