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Kamako (République démocratique du Congo)

Histoire

La ville est touchée par la rébellion Kamwina Nsapu. À partir de 2017[1], et notamment en février et , des réfugiés, qui avaient fui le conflit vers l'Angola à partir de [2], sont refoulés à Kamako[3] - [4]. Leur situation matérielle est très difficile[5] et 23 réfugiés meurent ainsi de faim ou de maladie dans la première moitié du mois d'[6]. Les conditions de vie s'améliorent fin [2]. En , au moins 18 des 350 miliciens Kamwina Nsapu regroupés dans la ville après avoir rendu les armes sont tués lorsqu'ils tentent de prendre en otage le président de la communauté tetela[7].

Références

  1. « Plus de 500 maisons se sont écroulées après une forte pluie à Kamako », sur Radio Okapi, (consulté le ).
  2. « Kasaï : « Pour les réfugiés, la situation s’est améliorée et elle est satisfaisante », estime le HCR », sur Radio Okapi, (consulté le ).
  3. « Kasaï : plus de 2 000 Congolais expulsés d’Angola sont arrivés à Kamako », sur Radio Okapi, (consulté le ).
  4. « RDC-Angola : Des Congolais de nouveau refoulés malgré le "changement de régime au pays" », sur Actualite.cd, (consulté le ).
  5. RFI, « [Reportage] RDC : à Kamako, les expulsés d'Angola prêts à tout pour partir », sur rfi.fr, (consulté le ).
  6. RFI, « [Reportage] RDC : à Kamako, les besoins vitaux des Congolais expulsés d'Angola », sur rfi.fr, (consulté le ).
  7. AFP, « Au moins 19 miliciens tués au Kasaï par les forces de sécurité », sur voaafrique.com, (consulté le ).
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