Justicia telloensis

Chutes de Tello.

Son épithète spécifique telloensis fait référence à la localité de Tello dans l'Adamaoua où le premier spécimen a été collecté près des chutes du même nom[3].

C'est une herbe qui peut atteindre un mètre de hauteur[4].

Endémique du Cameroun, très rare, elle n'a été récoltée que sur deux sites, aux chutes de Tello (1964 et 1967) et au cratère de Mbi (Région du Nord-Ouest) en 1998[3].

C'est une espèce en danger (EN) qui figure sur la liste rouge de l'UICN[5].

• (en) Mikael Hedrén, « Three new species of Justicia sect. Justicia (Acanthaceae) from tropical Africa », in Nordic Journal of Botany, September 1990, Volume 10, Issue 3, p. 265–271
• (en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Justicia telloensis Hedrén », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 73 (ISBN 9781842464298)
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 64

• (en) Référence Catalogue of Life : Justicia telloensis M. Hedrén (consulté le 24 décembre 2020)
• (en) Référence The Plant List : Justicia telloensis Hedrén (source : Tropicos.org) (consulté le 27 juillet 2017)
• (en) Référence Tropicos : Justicia telloensis Hedrén (+ liste sous-taxons) (consulté le 27 juillet 2017)
• (en) Référence UICN : espèce Justicia telloensis Hedrén (consulté le 27 juillet 2017)